CURRICULUM VITAE DEWILLOW SERENITY TRUTH
Featuring Jennifer Love Hewitt
••• Huuum... Je vois... •••
Nom(s) : Willow
Prénom(s) : Serenity Truth
Age/Date de naissance : 28 ans, née le 02 Avril 1969
Sang : Sang-mêlé
Richesse : Cela dépendra de mon revenu ici ! Sans trop en rire - un peu de joie, nom d'un hippogriffe - je suis issue d'une famille normalement riche. Nous avons connu des moments difficiles alors que j'étais élève à Beauxbâtons, mais une fois réinstallés en Angleterre, la famille Willow a pu redorer son blason. Nous sommes donc assez riches. Ceci dit, je ne compte pas dépendre éternellement de ma famille.
Profession : Je postule donc cette année au poste de professeur d'Etudes des Moldus après les avoir moi-même étudié pendant des années en immersion totale. « Dieu » que c'était dur !
Ancienne Maison : L'équivalent de Serdaigle à Poudlard.
École de magie : Beauxbâtons
••• Huuum... Intéressant •••
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Taille : 162 cm ; je ne suis pas un de ces mannequins aux longues jambes et il arrivera souvent que mes élèves soient plus grands que moi ! Mais je ne me trouve pas la taille d'un gnome non plus. Pas de complexe ! Pas de complexe de taille du tout ! ... Sinon, vous connaissez Pinocchio ? J'ai de la chance de ne pas avoir son problème en ce moment...
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Poids : 54kg ; bien que je trouve ça surprenant que vous me le demandez. Non pas que je vais faire tout un chapitre sur « On ne demande pas à une femme son âge et encore moins son poids » mais ça reste étrange... Ne vous en faites pas, je ne vais pas faire de trou dans le plancher !
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Style vestimentaire : En-dehors de mon milieu professionnel, j'opte pour la décontraction et le simple. Des ballerines, un gilet, un bon vieux jean et un haut au choix. Ceci dit, en professeur, je n'oublie pas de passer une cape sur mes épaules. Les robes de sorciers m'agacent un peu pour tout vous avouer... Je les trouve lourdes et encombrantes mais parfois... Quoi qu'il en soit, en tant que professeur, certains trouveront choquant ma façon de m'habiller. Avec ma cape, ça les étranglera moins je suppose. En France, on ne faisait pas de manières...
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Signe(s) distinctif(s) : Rien de particulier ou de facilement visible. Peut-être juste mes yeux qui changent de couleurs à tout va et très rapidement parfois...
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Ta baguette : Ma baguette magique est en bois de sapin. Elle mesure 29,5 cm et contient un poil de licorne. Elle est également relativement souple. Vous savez... tant qu'elle ne me fait pas défaut et exécute les bons sorts, elle pourrait cacher un bout de mon propre cerveau que ça ne me gênerait pas !
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Animal de compagnie : J'ai dû laisser mon bon gros
Croquette chez moi entre les mains de Dylan... non pas sans inquiétudes d'ailleurs. J'ai sinon aussi une tortue,
Écaille ; une souris nommée
Miette et enfin un hiboux,
Becdur. A quand un chat ?
« Ce que vous me dites... » • Jour, Crépuscule, Aube ou Nuit ? Nuit...
• Votre animal préféré ? Le renard
• Sucré ou Salé ? Sucré, le chocolat est mon péché mignon !
• Marche, Vol ou Transports ? Vol, mais je parle de l'avion, c'était excitant !
• Votre couleur préférée ? Violet ?
• Oui ou Non ? Oui ?
• Serdaigle ou Serpentard ? Serdaigle évidemment.
• Gryffondor ou Poufsouffle ? Sans commentaires.
• Poufsouffle ou Serpentard ? Pareil, j'attends de voir.
• Votre matière favorite quand vous étiez élève ? La métamorphose
• Le Héros de votre enfance ? Ma voisine... Ne pas m'en demander plus !
• Vos ambitions ? Devenir un bon professeur ici même et conjuguer plaisir, amusement avec rigueur et travail. Je ne veux pas croire que c'est impossible.
• Une chanson ? Je chante comme une casserole, ça ira !
• Calme, énervement ou folie ? Folie, énervement aussi...
• Harry ou Voldemort ou la falaise x) ? Mr Potter, nous lui sommes tous redevables de son combat, comme nous le sommes toutefois aussi à tant d'autres avant.
• Hermione ou Pansy ? Je ne choisirais pas déjà entre mes élèves voyons !
• Les règlements sont faits pour quoi ? Pour mettre mes futurs élèves dans la difficulté - rires.
« Encore des notes à votre âge ! » • Sur 10, combien es-tu sûre de toi ? 8/10
• Appliquée en classe ? 6/10
• Embêtante ? 9/10
• Chanceuse ? 9/10
• Courageuse ? De 4 à 9/10
• Loyale ? 8/10
• Franche ? 7/10
• Respectueuse ? 9/10
••• Très bien... •••
Cinq petites lignes sur mon caractère :« Je suis une femme plutôt optimiste, j'arrive à trouver des bons côtés partout même là où l'on dirait qu'il y en a pas. Il faut avouer qu'aussi, mon côté sarcastique en rajoute et y fait pour beaucoup. J'aime rire, la bonne humeur. On va me prendre pour quelqu'un de simple mais si vous saviez tout ce qu'une personne peut cacher derrière un peu de politesse et de bonne humeur ! Je suis plus stricte qu'on se l'imagine et je m'imagine déjà servir quelques retenues - si besoin est - avec un grand sourire amical. Je ne suis pas très courageuse d'ordinaire mais je suis très entêtée et je tiens à certaines choses. J'ai en fin de compte le même souci que les élèves : la motivation. Je suis rêveuse et étourdie, toujours pressée et quelques fois maladroite. Mais je ne manque pas de bonne volonté, si bien que je me laisse facilement déborder.
Par contre, poussez-moi à bout et c'est partit pour une semaine de malheur... C'est en me mettant en colère pour la première fois qu'on découvrit mes pouvoirs, pour vous donner un exemple. Je déteste qu'on se moque de moi, mais colère passée, je ne suis pas bien rancunière : je veux croire en la rédemption tant que justice est faite. Bon, ce n'est pas totalement vrai, je peux parfois faire une fixation sur une remarque d'une personne ou même ne pas adresser la parole à un(e) ami(e) proche pendant des années pour une histoire qui a mal tourné à mon goût. Mais je veux croire en la rédemption oui. Je suis également un peu menteuse sur les bords et étant encore bien jeune pour un professeur de Poudlard, j'imagine que mon métier me forgera un peu plus mais je suis pleine d'idées et de projets pour mes élèves.
Sinon, je suis très maternelle. Je suis faible quand on insiste et j'avoue être un peu manipulatrice pourtant. Il faut bien être stratège un petit peu. Je n'ai rien d'une personne calme et honnête, il m'est arrivé de ne pas être tout à fait droite... Bref, j'ai été jeune pour tout résumer. Dans la vie de tous les jours, je suis très nerveuse, j'ai développé une addiction pour le café que je compense avec le chocolat. Et ne parlons pas de la tentation de commencer à fumer ! N'en parlons pas !
Je déteste la rivalité et la compétition, ça me fatigue et je trouve qu'il n'y a pas mieux pour ruiner une ambiance conviviale. Je n'aime pas qu'on fiche le bazar comme ça... Je suis d'ailleurs en fait très désordonnée. Mon bureau ne ressemble à rien, quant à mon salon ! Mon salon ! Ma chambre sert totalement de vide grenier. Encore une fois, chez moi, je suis autoritaire et on doit suivre mes instructions à la lettre près.
J'ai la bougeotte, le sport, j'aime ça. J'adore le Quidditch d'ailleurs, j'y jouais pendant les vacances quand j'étais jeune. J'en ai fait, beaucoup, même du côté moldu. Si j'étais moldue, j'aurais probablement voulu être professeur de sport, c'était si drôle tous ces jeux et sports moldus. Bref, j'espère pouvoir exploiter ce côté dynamique ici.
Je suis plutôt sociable. Je ne fais pas de discrimination normalement, donc je veux vraiment m'adresser à tout le monde et connaitre tous les points de vue et avis. Aussi, je veux donc me rapprocher d'un maximum de personnes et comprendre au mieux mes élèves. »
Once Upon a Time... my Story :« J'ai eu une vie plutôt ordinaire. Née dans une famille de sorciers, la manifestation de mes pouvoirs n'avait rien de spectaculaire mais plutôt d'espéré. J'étais l'enfant prodige, la seule née de tous les enfants que ma mère avait attendu. Mon père était fier de sa petite fille et m'a toujours gâtée. Je n'ai eu aucun problème, non...
Ma mère, sang-pur, avait fait sa scolarité à Beauxbâtons, rien d'étonnant à ce que je reçoive une invitation pour cette même école. J'y ai fait une scolarité en dents de couteau. J'étais entêtée, parfois mauvaise, très rêveuse, j'adorais la lecture et l'écriture de récits romanesques et romantiques. Très naïve, j'avais bien de la chance qu'on soit majoritairement des filles à cette époque... On dit que ça tend à changer de nos jours. Je n'ai jamais vraiment aimé l'uniforme, j'étais un peu garçon manqué bien que j'avais une image bien floue d'un garçon ou même d'un homme en-dehors de mon père. Je passais mes vacances à jouer avec lui au Quidditch et à visiter la planète. Mais surtout l'Angleterre. Oui, mon très cher père est anglais donc forcément, il tenait à me faire partager son monde. Il me parlait souvent de Poudlard, de Gryffondor et de Serdaigle, puisqu'il pensait que j'aurais parfaitement eu ma place dans cette dernière maison ou la première sinon. J'étais fascinée, rêveuse que j'étais, tous les récits et toutes les histoires étaient souvent mieux que la vie que je menais, rêvant de changement et de différences... D'autre chose en somme.
Mes études finies à 18 ans, je me lançais dans des études de médicomagie. Rien à voir avec mes passions que sont les voyages, les moldus, le sport et la métamorphose mais que voulez-vous ? Ma mère voulait plus que tout que je fasse médicomage. Une tradition familiale à laquelle elle était très attachée... Puis comme nous avions vécu une chute sociale, elle s'imaginait certainement qu'avec ce genre de revenu, j'irais mieux. Je vivais désormais chez eux à nouveau et je fus contrainte de déménager en Angleterre à contre cœur. Oh, je ne détestais pas du tout le pays de la royauté mais que voulez-vous que je vous dise ? J'étais amoureuse de la France et de ma vie là-bas.
Mais avant de partir... Il fallait qu'il apparaisse. Toujours en retard, n'est-ce pas ? J'avais donc 18 ans à peine oui et étais toujours prude, ma mère se souciait beaucoup de ma vie sentimentale... Ce qui m'était encore plus récalcitrant quant à vouloir prendre quelqu'un dans ma vie. En fait, je vivais trop dans mon monde de conte de fées. Je profitais de mes derniers jours en France, le temps des grandes vacances quand j'ai rencontré mon prince. Francis Roman Gallagher. Un sorcier également. Qu'il était beau ! Qu'il était gentil ! On s'était connus par le biais de sa sœur. Lui était allé à Durmstrang et ça se voyait, sentait même. Il était discipliné mais toujours charmant et poli. Ah, Francis ! Il ne fallut que deux semaines pour que je ne pense plus qu'à lui et envolées toutes mes retenues. Galant, sincère, drôle, sérieux... qu'avais-je à craindre d'un homme pareil ?
Oui mais voilà, ça allait bien tant qu'on était ensemble pendant ces deux mois d'été et de chaleur. On promit de rester ensemble et de se revoir, de s'écrire. On le fit, le premier mois. Avec assiduité, on se languissait de se revoir... C'était passionnée et tendre. Puis... j'ai arrêté de répondre. Plus rien. Pourquoi hein ? Parce que ces deux mois d'amour sincère mais courts m'avaient coûté bien plus que je ne l'avais pensé. Une grossesse... J'étais enceinte... j'avais peur mais surtout je m'en voulais. Tout me semblait soudain mal. Lui en premier : c'était de sa faute ! Lui et son sourire, lui et ses "je t'aime", lui et ses "pour toujours" alors qu'on ne se voyait plus et que je me retrouvais seule à assumer tout ça. Comment j'expliquais ça à ma mère qui me voyait pourtant si sage...? Ah ! Ça avait crisé, crié, cassé, volé, explosé etc... Mon père lui en tomba malade pour moi, plus compréhensif que ma mère.
Francis ! Cela faisait deux mois qu'on avait partagé, seulement deux mois alors que... regarde ce qu'il m'attendait : 8 mois de folie, de peur, de souffrance, de crainte... Ma mère avait longtemps hésité à me mettre dehors, j'en étais certaine. Et moi, toujours incapable de t'écrire la moindre lettre alors que les tiennes s'empilaient. Cela aurait dû me rassurer... Oui : tu insistais, tu devais vraiment m'aimer ou tenir à moi. Cela se lisait. Cela aurait dû me rassurer... mais tu arrêtas un jour. Ce Lundi, ta chouette n'est pas venue Francis. Ni le Mardi... Le lundi suivant, toujours rien. Je me décidais de t'écrire enfin sans te toucher mot de l'être de trois mois dans mon ventre. A peine encore visible... Enfin bref, mon hiboux est revenu avec la lettre dans le bec. Ne l'avait-il pas lu ou Mr Dubois avait-il disparu ? Je réitérais l'expérience avant de me rendre en France à nouveau pour apprendre que Francis avait effectivement disparu, il n'avait fait que partir comme ça...
J'ai accouché deux mois à l'avance, un mois de Février, avec mon père à mes côtés. Ma mère indignée, évidemment, mais morte d'inquiétude. Elle se forçait à penser que Francis était mort mais qu'on s'était connus pendant des années avant de décider d'avoir un enfant... voilà le scénario officiel ! Pour ne pas entâcher notre belle famille ! Ha, on était ruiné il y a encore quelques mois. J'étais parfois si en colère contre elle mais j'avais si honte. Mais c'est là... ce jour-là que je vis cet enfant qui me faisait si peur et si honte. Ce petit cri, ce petit corps si frêle, ces pleurs, ce petit nez, ces yeux clos et ces fragiles poings si petits mais bien fermés. Il était si beau... Moi qui avait peur, qui n'attendait que d'en finir, je réalisais que c'était le début seulement. Le début d'un amour si grand ! Mon petit Dylan... Dylan Honest Francis Willow. Honest, car il était la pureté totale, une vérité vraie et qui ne changerait jamais... Un amour réel. Francis car, moi qui en voulait tant à son père, cet homme ne m'avait jamais trahie réellement et m'avait tout de même offert Dylan. Si... on était restés ensemble mais que je n'avais pas été enceinte, tout ce qu'il me resterait de notre histoire se résumerait à rien. J'avais des lettres désormais, auxquelles je n'avais pas répondu, des remords preuves que j'avais vécu quelque chose pourtant, mais surtout un fils. Un miracle.
Son arrivée régla tous mes problèmes. Je me sentais femme, tant que j'abandonnais les études qui ne me plaisaient pas et décidais d'étudier les moldus. Après tout, c'est du côté moldu que j'avais accouché et c'est une femme sans pouvoirs qui m'accompagna malgré les plombs qui sautaient car les miens sautaient aussi. Elle avait bravé cette inquiétude pour nous aider moi et mon petit Dylan. Cette femme sans pouvoirs étaient remarquable pour moi.
Donc c'était décidé, j'étudierais les moldus et deviendrais professeur.
Oh, vous le devinez bien, ma mère a longtemps fait la forte tête et refusait de me parler : j'étais une telle déception selon elle. Mais elle refusait d'admettre que d'une part, elle adorait à en mourir Dylan, et que d'une autre, j'avais le courage qu'elle n'avait jamais eu. Ce grâce à une femme moldue et mon bébé.
Me voilà aujourd'hui ici avec un bagage bien léger. J'ai été professeur du côté moldu et je me suis énormément amusée - j'ai été heureuse d'être la voisine de la sage-femme de mon accouchement, je l'ai fait exprès je l'avoue - mais maintenant, ma place est du côté sorcier, surtout après cette guerre. Dylan a déjà neuf ans sinon et il va sur ses dix ans, il est si responsable pour son âge, si petit par contre. Il pose beaucoup de questions et est très malin ! Papa vient souvent s'occuper de lui à mon appartement et il s'occupera de lui dans la semaine quand je travaillerai et n'aurai point de nourrice. Maintenant, tout ce que j'attends, c'est Poudlard... Je vais peut-être enfin découvrir l'école dans laquelle mon père gambadait en bon Gryffondor ! »
Exemple RP :- Spoiler:
« Cher Prongs,
Tu me vois désolé de te faire part de ce message de façon si indirecte et impersonnelle, mais les affaires, les affaires mon ami ! Qu'importe : les cuisines du Château, ce soir, après le couvre-feu ; cela va de soi. Et ne me fait pas part de tes soucis de Head Boy, pour l'amour du Quidditch si le mien n'est pas suffisant ! Sort un peu cette canaille de cerf que nous connaissions si bien ! De plus, il est question d'Evans.
Ne m'oblige pas à venir te chercher par les bois. Affamé, je suis de mauvais poil, tu le sais bien.
Blagues à part, c'est important.
Ton dévoué ami,
Un sourire satisfait, la plume volant encore au-dessus du parchemin, laissant d'ailleurs une malheureuse petite goutte d'encre tomber, Sirius était plutôt fier de son texte. Oh ! Pas sûr que James se laisse prendre par « l'importance » prétendue de ce qu'il devait lui dire. Surtout dans un cadre pareil - celui de la cuisine - à une heure pareille et après avoir fait allusion à son ventre qui aurait certainement besoin d'être plein. Ceci dit, glisser le nom de Lily dans ce mot n'était pas fait au hasard. Bien que James connaissait par cœur son meilleur ami, ce dernier était certain que l'idée de parler éventuellement de Lily pour x raison que ce soit attiserait la curiosité du si sérieux Head Boy - cernez l'ironie amère dans ces mots. Le brun aux cheveux en bataille lirait clairement à travers ce bout de parchemin laissé mais il viendrait, du moins, il le fallait sinon le Black irait réellement le chercher. Jamais, ô jamais de toute l'histoire de Poudlard, James avait planté Sirius. Si ce n'était pas écrit dans le livre intitulé de cette façon, on devrait vite l'ajouter. C'était une équation insoluble, impossible.
Il regard d'un œil mauvais un des hiboux de la volière et s'approcha de l'heureux élu.
Sirius ▬ « Tu es désormais mon complice, chanceux ! »
Lança-t-il en attachant le bout de parchemin à la patte de l'animal, le surveillant quand même. Fini les mauvaises expériences à se faire pincer, ça allait bien maintenant alors il gardait quand même un oeil sur ces bêtes. Il préférait en prendre une de la volière, que ça ne se voit pas à des kilomètres que les Marauders préparaient « un coup ». Surtout qu'il ne s'agissait absolument pas d'un coup mais d'une innocente réunion interdite dans les cuisines juste pour embêter le monde et surtout un meilleur ami.
Il lançait alors l'animal à la recherche du brun alors qu'il ne perdait pas un instant pour vaquer à ses occupations soi-disant aussi importantes que le mot qu'il venait d'envoyer. Il y avait bien entendu la routine du Black, les affaires, les devoirs, courir après telle ou telle personne. Mais surtout, il fallait qu'il règle quelques histoires autres, notamment des vilaines rumeurs qui courraient à son sujet. D'ordinaire, Sirius Black n'était pas contre un petit de publicité mais là, ça commençait à bien faire. La publicité en rapport avec les Blacks et certains Slytherins, il s'en serait très bien passé encore une fois. A croire qu'on l'aimait tant que ça chez eux ! Mais surtout, Mr Black avait encore supplié - c'était pratiquement le mot - Miss McKinnon de lui faire rattraper un petit retard mais en plus l'aider de temps à autre. Pas que Sirius avait un niveau déplorable seulement le sorcier avait un mal fou à se concentrer. La seule différence avec Marlène était que c'est elle qui en faisait les frais avant de le ramener sur son pupitre de la façon la plus plaisante qu'il soit.
Cette fois, la jeune blonde avait eu l'idée de tuer le garçon en le faisant pénétrer là où l'effet Sirius Black ne donnait pas grand-chose à part des regards interloqués et suspicieux : la bibliothèque.
Si je ne survis pas, ma moto ira à James, je suis certain qu'il sera s'en occuper... pensait-il en plein milieu de la séance de torture. Au moins, si le bruit courait qu'un Marauder avait mit les pieds à la bibliothèque pour y travailler avec une des meilleures élèves de leur maison, c'était certain que James se pointerait. Et ça y était, Sirius était repartit dans ses délires.
Non mais sérieusement, il en avait marre d'entendre parler de James de la bouche des autres. Le Black n'osait même pas demander à Marlène, de toute façon, elle lui aurait dit de se concentrer à nouveau sur son essai. Toute cette affreuse torture pour s'échapper presque en courant, le concierge sur les talons ! Bien évidemment, dans l'ambiance, le jeune homme ne pointa pas avant longtemps, ratant le dîner et finissant en colle/détention. Ce pour avoir été dans les couloirs après le couvre-feu : toujours et encore pour cette même fois.
Au nom de Godric Gryffondor, notre rouge et or ne manquait pas de culot puisque à peine sortit d'une détention pour traîner dans les couloirs après le couvre-feu, à l'heure du couvre-feu, allait encore traîner pour remplir sur le champ son ventre... En prenant soin au passage de ne pas se faire encore prendre : il n'avait aucune envie de repartir pour des jours à nettoyer les cachots. Les plans de la carte en tête, cela devrait aller pour faire des détours. Il ne mit pas long à arriver devant le fameux tableau donnant accès aux cuisines. Selon un elfe - ne pas en demander plus sur ces informations - le "mot de passe" n'avait pas changer apparemment et il n'eut aucun mal à entrer, son sourire canaille à nouveau sur les lèvres. Ses yeux brillèrent, faisant écho à ses dents, en voyant son alter-ego déjà présent.
Sirius ▬ « Content de savoir que je n'aurais pas à te tirer les bois, Prongs ! Mon ami, nous devions parler ! »
Annonça-t-il solennellement avant de foncer engouffrer quelque chose : il ne fallait pas oublier que monsieur n'avait pas mangé. S'il en avait fait autant, il n'aurait pu en même temps embêter son monde, préparer son plan de vengeance et aller en punition à l'heure. Et la vieille McGonagall ne riait pas avec ça, la ponctualité, encore moins en détention...
Sirius ▬ « Mais tu m'excuseras, j'ai une faim d'ogre ou au moins de dragon... En espérant ne pas t'avoir trop manqué au dîner. Même si je suis certain que tu as trouvé meilleure compagnie. »
Il se retourna pour faire un clin d’œil des plus embêtants : pour ce qu'il passait de temps avec Lily... Autant insinuer déjà quelque chose au sujet de leur discussion à venir. Vous devez vous demander où il en était de ses sentiments personnels : comme avant, il se résignait et supportait son cher James. Puis mince, il était Sirius Black ! Un morceau de pain dans la bouche, il demanda en marmonnant ce qu'ils avaient eu la chance de manger, oubliant et reléguant sciemment la discussion à plus tard.
••• On y est presque... •••
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