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 RON ϟ From The Beginning

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« Ronnyᶘᵒᴥᵒᶅ Bear »
destiny calls follow the King
Ronnyᶘᵒᴥᵒᶅ Bear
Masculin
Messages : 289
Age : dix-sept citrouillettes
Camp : Cey le mal èé le vrais mal
Ta Baguette : Bois de frêfrêne, 35 centimèmètre avec crin de licocorne
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Date d'inscription : 16/07/2011
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Matricule de Sorcier
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Patronus & Epouvantard: Jack Russell terrier // une araignée géante (ou comment Harry ma tromatiser dans la foret)

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MessageSujet: RON ϟ From The Beginning   RON ϟ From The Beginning Icon_minitimeMar 30 Aoû - 0:24




ronald weasley
the real story



hiboux living diary history

what the fuck ?
« Je suis le sixième à aller à Poudlard, dans la famille. J'ai intérêt à être à la hauteur. Bill et Charlie, mes deux frères aînés ont déjà fini leurs études. Bill était Préfet en chef et Charlie capitaine de l'équipe de Quidditch. Maintenant, c'est Percy qui est préfet. [...] Fred et George font pas mal de bêtises, mais ils ont de bonnes notes et tout le monde les trouve très drôles. Et moi, on voudrait que je fasse aussi bien que les autres, mais même si j'y arrive, personne ne s'en apercevra, parce que je serai le sixième à le faire et on trouvera ça normal. »
Harry Potter à l’École des Sorciers; J.K.Rowling
_______________________________
Qui a dit qu’un jour moi Ronald Weasley j’écrirais ce genre de truc ? Bordel c’est chiant d’écrire ça me prend la citrouille et plus encore, mais il faut bien que moi aussi j’ai une histoire, non? Ce n’était pas juste que Harry et Hermione est toujours tout pour eux, alors si personne ne veux m’écrire une histoire je le ferais moi-même ! Ceci n’a rien d’un journal, ce ci et mon histoire écrite par moi-même ! Les contes d’un rouquin qui aurait voulu devenir un homme, mais qui ne restera surement toujours qu’un petit garçon. Ici c’est moi le héros, c’est mon monde et j’emmerde le Monde !

Je suis Ronald Bilius Weasley Roi d’un royaume qui n’existe pas…
Je suis Ronald Bilius Weasley Roi de la connerie humaine...
Je suis Ron ... juste Ron ...









Dernière édition par Ronald B. Weasley le Dim 13 Nov - 21:38, édité 14 fois
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https://anotherchance.forumactif.com/t441-ron-ou-comment-survivre-avec-un-nom-pareille https://anotherchance.forumactif.com/t258-ron-s-links-weasley-is-the-lion-of-gryffindor-you-see

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MessageSujet: Re: RON ϟ From The Beginning   RON ϟ From The Beginning Icon_minitimeMar 30 Aoû - 10:01




« TA TA TA TAIN ! TA TA TA !»
« Il y a une troisième option outre chasser ou être chassé, c’est celle qui consiste à être discret… »
C H A P I T R E 1

THE SMALL ADVENTURER « Je suis Ronald Weasley, ou Ron. Enfin quand j’étais petit j’étais plutôt Rony. Rony le petit frère, le dernier garçon aussi courageux qu’un gnome de jardin en hiver. Nous étions beaucoup dans la famille. Il y avait d’abord Bill et Charly qui finissaient leurs études à poudlard, il y avait ensuite Percy, Fred et George puis moi et enfin Ginny. Bill ayant 10 ans de plus et Charly 8, nous ne pouvons pas dire que j’ai beaucoup passé de temps avec eux. A peine née ils étaient déjà à Poudlard. Remarquez avec Percy j’aurais dû être plus proche… 4 ans ce n’est rien au fond par rapport à nos ainées, et pourtant Percy n’a jamais était drôle. Toujours plonger dans des bouquins, toujours sérieux à ne pas vraiment supporter les blagues des jumeaux, voir jamais. Percy a toujours était aigrit, mais c’est mon frère, il nous a toujours aimé et je l’aime aussi malgré ce qui est arrivé… Enfin, après il y avait les jumeaux, Fred et George, il n’y a que 2 ans d’écart entre nous. J’ai toujours était très proche avec eux, comme avec Ginny… elle est un peu la mienne de jumelle, 1 ans de différence mais quand on était petits cela ne se voyait pas vraiment. C’était Fred et George contre Ginny et Moi. Cela n’a jamais vraiment changé, bien que Ginny soit devenu beaucoup plus autonome, elle n’a plus besoin de moi depuis longtemps pour se défendre à présent… C’est un truc de famille ça, on est très soudée mais en même temps c’est chacun pour soi.

Je me souviens de mon enfance, ce sont les plus beaux souvenirs que j’ai. Les seul ou j’étais encore innocent ou je n’avais pas peur de mourir ou de voir quelqu’un que j’aime disparaitre. Je me souviens de ce jour, nous étions le 1er mars 1985, c’était mon anniversaire. J’étais tout heureux, quand je suis descendu dans la cuisine voir maman, d’habitude à mon anniversaire elle faisait un gros gâteau au chocolat et comme c’était mon jour j’avais le droit d’en manger au petit déjeuner. Seulement ce jours-là il n’y avait rien sur la table, maman n’était même pas là et le four était éteint. J’allais alors la chercher dans la maison, un grand sourire sur le visage, sur cette bouille rousse que j’ai toujours eux. Seulement je ne l’ai jamais trouvé. Percy lui était dans le salon, sur le canapé lisant et m’approchant j’avais tiré la manche de mon frère de 9 ans. Il avait levait les yeux vers moi attendant sans rien dire de savoir pourquoi le petit Rony venait l’embêter. Voilà une chose que j’ai toujours apprécié chez mon frère, son calme incontesté face à sa famille. « Percy ? Dit, Momon elle est où ? » « Rony, tu sais bien que Papa et Maman devaient allez a Poudlard à cause de Bill. » Mon regard avait surement perdu de son pétillant et mon sourire de sa sincérité par ce que Percy me sourit lui. « Aller, Rony, ils vont revenir ! » . Moi petit garçon à 5 pommes ne fut pas convaincu par le ton rassurant de mon grand frère. Je partis monter les escaliers ou Ginny était en train de descendre marche après marche sur les fesses. Elle leva ses deux grands yeux sur moi et m’attrapa le pantalon. « Hey, Won ! Tu joues ? » Ginny ne s’en rappela plus aujourd'hui, mais très longtemps elle m’avait appelé Won, papa disait que c’était normal, elle avait toujours eu du mal avec les "r" alors du coup j’étais "Won" pour Ginny. J’aurais pu être vexé, mais c’était ma petite sœur vous comprenez ? Et puis à cet âge je m’en ficher, tant que ce n’était pas "Ronald". « Non, Ginny… j’pas envie. » « Pouquoi ?! » Son regard affoler me fit m’assoir a coter d’elle. Je n’en voulais pas à ma sœur, je me sentais triste, aujourd’hui était mon jours et pour l’instant personne ne s’en était aperçu. C’était le seul jour ou on faisait vraiment attention à moi et Bill me l’avait volé en faisant encore des bêtises à Poudlard.

« Hey, Rony ! » Pas besoin de se retourner Fred était derrière moi, c’était sur, « Tu as oublié » George aussi bien sur « Ton ours !! » la voix des jumeaux retentirent dans un même concert. Ginny rit alors que George… ou peut être Fred pour le coup, me donna ma peluche. Seulement voilà avec mes frères il ne fallait pas s’attendre a ce que tant de gentillesse soit donné sans rien en retour. Quand je pris la peluche je ne fis pas attention, mais quand mes yeux ce posèrent sur elle mon esprit ne prit pas longtemps avant de réagir. Cette peluche n’avait rien d‘un ours, c’était une araignée en peluche. Me levant avec la peur qui me prit a la gorge un crie aigue sortit de ma bouche d’enfant. Seulement dans ce mouvement brusque ou je jetai la peluche et me leva en même temps mon pied glissa de la marche. Je fini en bas des escaliers, après deux étages dans un bruit impossible. Arriver en bas mon bras me faisait un mal abominable et je pleurais toute les larmes de mon corps sous la douleur. Je ne me souviens pas vraiment de la dispute entre les jumeaux et Percy qui était venu voir, je sais juste que Ginny pleuré à coter de moi par ce qu’elle avait eu très peur elle aussi. « Rony ! Rony, ça vas ? » « Il faut prévenir Papa et Maman ! » « WonWon! WonWon! » « Mais comment on va faire ? » Et là j’entendis trois voix s’écrié « HEROL !! » Comme l’évidence du siècle pendant que moi je pleuré comme un bébé en me tenant le bras.

Le temps ne me parut jamais aussi long, enfin à mon souvenir ce fut pour moi une éternité. Je suppose que j’ai fini sur le canapé grâce à eux, mais je me suis endormit. Quand je me suis réveillé j’étais à sainte Mangouste dans un lit avec le bras en écharpe. « Ah mon bébé, tu es réveillé ! Mon Rony ! » Les bras de Maman… Le parfum de Maman… J’avais eu si peur et si mal que l’avoir à mon réveille fut pour moi le plus profond soulagement. J’attrapai sa robe de sorcière de ma seule main libre et je la serra contre moi aussi fort que la force d’un petit garçon de 5 ans le pouvait. Je me remis a pleuré, chouiné contre elle. Le monde aurait bien pu s’effondrait, j’avais ma mère qui me tenait fermement contre elle, alors le reste je m’en ficher. Papa entra dans la pièce et il s’approcha pour m’ébouriffer ma tignasse. « Tout est réglé, Ron vas pouvoir rentré à la maison et nous retourné a Poudlard. » « Arthur, enfin, tu n'y pense pas! On ne peut plus les laisser seul ? Et si Fred et George recommençaient leurs bêtises ? Percy n’est pas assez grand pour les contrôler, ils sont d’ailleurs incontrôlable ! » « Molly… Ils viennent de casser le bras de leur frère et vu les remontrances faite, je ne pense pas qu’ils pourront faire pire. » Je la sentis m’embrasser et me serré plus fort. « Oh mon petit, si tu n’avais pas des frères aussi turbulent… » Je sais aujourd’hui qu’elle parler de tous, pas que des jumeaux, mais je n’y étais pas encore inclus à ce moment-là.

Je fus donc ramener chez moi. Papa et Maman retournèrent à Poudlard, apparemment Bill avait fait une très grosse bêtise. Je restai toute la journée dans le canapé à la maison. Au final j’avais un bras cassé pour mon anniversaire et personne n’avait l’air de savoir ou de se souvenir qu’aujourd’hui je devais avoir un gâteau au chocolat. Mon nounours contre moi que je serré fort je rester à fixer la fenêtre voyant dehors un gnome creuser un trou comme si de rien était. Je sentis alors le canapé s’affaisser des deux coter de mon petit corps. Les jumeaux bien sur… « Hey Rony, tu nous en veux pas hein ? » « Ouais par ce que nous on voulait juste te faire une blague … » « Pour ton anniversaire ! » Je levai les yeux vers eux soudain mon cœur ce mit à battre dans l’espoir qu’enfin on me le fête, mais c’était sans compter sur l’humour de mes deux frères. « On est vraiment désoler que Papa et Maman ais oubliaient… » « Ouais, cette année tu l’aura pas ton gâteau Rony. » Je me levai du canapé en un bon et les larmes aux yeux, blesser au plus profond de mon petit être. « C’est pas vrais !! C’EST PAS VRAIS !! » Ils chantaient tous les deux « Le petit Rony n’aura pas son gâteau ! Le petit Rony n’aura pas son gâteau ! » Et le petit Rony fini dans sa chambre a pleuré dans son lit répétant que tout ça n'était qu'un mensonge, pourtant... j'y croyais…

Voilà comment ma journée tourna au cauchemar. Le premier anniversaire dont je me souvienne vraiment… et pour cause n’est-ce pas ? Enfin je ne suis pas honnête. Quand Papa et Maman son rentré il son venu dans ma chambre et Maman m’a offert un gâteau, pas un des sien mais c’était mon gâteau et elle me promit d’en faire un avec moi le lendemain… Ce qu’elle fit. Le simple « Joyeux Anniversaire » de mes parents avant d’éteindre la lumière ce soir-là, suffirent a soigné toute mes blessures de petit garçon. »

C H A P I T R E 2

YOU ARE AN ANGEL « Je suis un idiot, je le sais bien, je pense qu’on me là assez répéter pendant 17 ans. Pourtant aujourd’hui je me suis souvenu. C’était elle… Bien sûr cela parait évidant n’est-ce pas ? J’aurais dû le voir la première fois que je l’ai vue, mais j’étais si petit comment ce rappeler d’un souvenir si floue ?

Je n’avais que 6 ans, peut-être 7 je ne sais pas trop. C’était une journée ensoleillé au Terrier et papa m’avait promis de me faire visiter le Londres moldu, juste une journée entre lui et moi, entre père et fils. Maman avait bien voulut pourtant ce n’était pas facile, elle était très inquiète mais papa savait toujours la rassuré, d’ailleurs on s’est toujours demander comment il faisait pour contrôler maman, il n’y avait que lui pour cela. Moi j’avais un autre souci. Ginny qui ne me quitter jamais était là coller à moi me serrant dans ses petits bras et je ne pouvais rien faire pour m’en défaire. « Won, je veux venir avec vous !! C’est pas juste !! » « Ginny… ! C’est pas moi qui décide et puis t’as cas jouer avec mes figurines si tu veux. » « C’est vrais ?! » « Oui » « Vrais de vrais ?! » « Oui » Elle me lâcha alors un grand sourire aux lèvres et disparut dans les escaliers non sans faire un bruit du diable. Il fallait dire que mes figurine de dragons était des jouets au quel je tenais beaucoup et que je lui interdisais de toucher, par ce que pour une fois j’avais eu un vrais cadeau qui n’avait jamais était à mes frères avant. Du coup j’y tenais à mes figurines moi, mais si c’était le seul moyen pour qu’elle me laisse partir seul avec papa et ne vienne pas avec nous, ce qui aurait gâché ma journée, eh bien j’étais prêt à prendre le risque qu’elle m’en casse une. « Rony, met ton manteau ! » entendis-je mon père crié de la cuisine. Je courus alors vers l’entrée de la maison, décrochant mon manteau je l’enfilai avant de fermer mes boutons puis de levait ma petite tête rousse vers mon père munie d’un grand sourire. Il me le rendit en prenant son propre manteau. « Tu es près fiston ? » « OUIIIIIII » Je lui montrai un magnifique sourire ou il manquer encore deux dents. Il me sourit et me prit la main. « Poudre de Cheminette ou transplanage ? » « Cheminette… » Je crois que je fis une grimace de dégout car il rit à ce moment, je m’en souviens bien. Il fallait dire que le transplanage me faisait vomir à chaque fois, le voyage ne me réussissait jamais alors je préférais mile fois passer par la cheminer. Alors papa me mit devant la cheminer et me donna une poignet de poudre « Mais papa ? » « Oui Rony ? » « Les moldus ils ont pas de cheminer, si ? » « Si, Rony, mais c’est vrais qu’il ne fond pas partit de notre réseau. Nous allons passer par le ministère. » « Alors je vais voir là où tu travailles ? » « Un peu oui Rony » « Cooool ».

Une fois dans la cheminer je fus envoyait au ministère. Je fi un pas pour sortir de la cheminer où j’étais arrivé et je me retrouvai au milieu d’une foule d’adultes qui marcher tous dans le même sens. Si mon père ne m’avait pas attrapé par le col de mon manteau pour me tirer vers lui, je me serais surement fait écraser pas un homme gigantesque en robe sombre. « Ron ! Fait très attention, je ne veux pas que tu t’éloignes » « On est au Ministère de la magie papa ? » « Oui, fiston on y est mais je te le ferait voir un autre jour, sinon on aura jamais le temps d’aller visiter le monde moldu ». Je n’ouvris plus la bouche laissant mon regard bleu ce balader autour de moi observant le monde des adultes si fascinant pour un enfant. Mon père me tiré par le bras et je le suivais sans pouvoir ou voir même vouloir résister à sa puissante prise sur ma petite main fragile. Je ne sais comment on est sorti du Ministère… je crois bien que c’était par les toilettes par ce que ça m’avait vraiment amusé à ce moment-là.

Quand nous furent dans la grande rue entourée de moldu je me sentis soudain très excité. Je ne connaissais rien de ce monde et papa n’avait jamais amené mes frères dans le monde moldu, sur tout pas les jumeaux, ils auraient pu faire des bêtises et puis Percy ne voulait rien savoir sur eux… il était vraiment ennuyeux. « Papa regarde une voiture ! » En réalité il y en avait partout, mais cella ressemblé à la Ford Angélina de papa qui était ensorceler pour voler. Un jour il m’avait emmené faire un tour avec Ginny, on c’était bien amuser, mais elle marcher très mal et maman avait crié. Levant les yeux vers mon père il me sourit « Oui, tu sais bien que c’est comme cela qu’ils se déplacent, mais Ron qu’est-ce que j’ai dit hier ? » « Ne pas parler de magie et ne pas dire le mot moldu par ce qu’il faut pas se faire remarquer » J’étais tout penaud de ne pas avoir respecter les règles que papa m’avait pourtant bien expliquer, si je transgresser ces règles on rentré directement à la maison car c’était vraiment pas bien. « Bien alors viens, on va aller boire un chocolat, tu vas voir que leurs café son fascinant. » Au mot chocolat je devin soudain aussi docile qu’un chien devant un gigot. Papa chercha pendant un moment le café qu’on lui avait conseillé, enfin un de ses collègue je crois en tout cas. Moi je restai un long moment sur le trottoir a regardé en face. Je parler tout seul, imaginant si les moldu découvrait une licorne dans leurs ville comme ce serrait drôle. Puis mon esprit c’était arrêter de tourner. Il y avait une petite fille qui venait de sortir d’une librairie. Elle était petite, enfin moi j’étais plutôt grand pour mon âge, déjà à cette époque, mais elle… Elle avait un petit sac de boutique à la main et arboré un magnifique regard. De là ou j’étais je voyais son regard marron clair pétiller de joie et je ressentais son intense bonheurs. Elle tourner sur elle-même et ses cheveux châtain voler autour de son visage. « Rony ? Ron ! Aller viens j’ai trouvé » Mon père était revenu et me prit la main mais j’étais fasciner par cette divine apparition. « Papa est ce que c’est un ange ? », mon père suivit mon regard et je crois qu’il cacha son amusement quand il me répondit. « Je ne sais pas, mais en tout cas c’est une mignonne petite fille » « Mais ça excise les anges papa, hein ? Par ce que je sais que c’est un ange… j’en suis sûr ! » « Bien sur Rony… Tu veux aller lui demandé ou tu veux plutôt ton chocolat ? » Je du rougir comme une tomate car mon père rit et me tira vers le café, je ne pus protester un peu honteux d’avoir crue voir un ange alors que ce n’était qu’une petite fille comme une autre.

Assit a une table dans l’endroit chaleureux, j’avais enlevé mon manteau comme mon père. On était bien ici et on avait chaud, je sentais des odeurs de gâteaux et de chocolat. Une serveuse arriva et je levai mes yeux vers elle « Mais mon dieu ! Tu as les plus beau yeux bleu que je n’ai jamais vu mon petit » « N’est-ce pas ? » « Vous êtes un papa chanceux d’avoir un petit garçon aussi mignon. Alors qu’est-ce que ce sera pour toi mon garçon ? » « Un jus de citrouille ! » Je ne vis pas le regard noire de mon père, mais ce fut sorti tout seule et quand la serveuse rit je crois que je devin aussi rouge que la banquette ou j’étais assis. « Mignon et drôle en plus ! Tu en feras craquer des filles toi. » « Ce serra deux chocolat s’il vous plaît » « Très bien Messieurs, je vous apporte ça ! » La fille partit mon père me fit un sourire, alors que je crue qu’il aller me punir il me souriait. « Je crois que tu as une fan, et je crois aussi que ton ange viens de rentrer ». Je crois que je ne me suis jamais retourné aussi vite que ce jour-là si bien que je ne sais toujours pas comment j’ai échappé à un torticolis. En effet la petite brune était là assise a une table avec une femme qui lui ressemblé un peur, sa maman surement. Elle avait sorti son livre et le lisait comme si ses yeux aller le dévoré. Elle balancer ses jambes par ce qu’elle ne toucher pas le sol elle non plus, et le monde avait l’air de ne pas tourner autour d’elle, juste elle et son livre. Mon père riait en se moquant de moi ce qui e fit rougir et sortir de ma contemplation. Mon cœur frappé dans ma poitrine… La serveuse revins avec les chocolat et je me mis a le boire sans ouvrir la bouche, j’avais tellement honte, j’étais vraiment gêner, mais elle était si jolie. Après ça mon père me changea les idées en me parlant de plein de chose sur le monde moldu, des choses vraiment étranges que je ne compris pas mais j’étais vraiment passionné par les histoires de mon père. Puis vint le moment de partir. « Je vais au toilette ! » « Bien je t’attends devant la porte alors, n’oublie pas ton manteau » « Non, papa. » je partis alors vers les toilettes, la serveuse mit conduisit gentiment.

Quand jus fini mon affaire et que je me fus bien laver les mains comme ma maman me l’avait appris je sortis des toilette et sans le faire exprès je butai dans quelqu’un. Pas un adulte sinon je me serais fait mal, mais un enfant que je faillis faire tomber. « Tu pourrais faire attention ou tu vas la brute ? » « J’suis pas une brute ! » « Eh bien en tout cas ta maman ne ta jamais apprit à t’excuser quand tu bouscule les gens. » Je la fixai. C’était mon ange, mais elle avait un air supérieur et agacent qu’avant elle n’avait pas eux, et cette voix au ton presque méprisant. Je la fixai la bouche ouverte un peu perdu, c’était aller trop vite pour moi et je ne savais plus quoi lui dire alors je pris mon courage à deux mains. « Dit, t’es un ange ? » « Un ange ?! Mais les anges n’existent pas, idiot ! » Elle partit sans un autre mot cette air supérieur et contente d’elle qui lui coller a la peau et moi penaud dans mon couloir sombre, blesser au plus profond de moi. Je pense que c’est à ce moment que mon esprit c’est mis à ne pas vouloir ce souvenir d’elle… Quand je suis sorti retrouver mon père il m’avait parlé mais je bouder et il ne comprit pas pourquoi bien que sur le chemin du retour il me posa des questions je lui dis que les anges n’existait pas et je suppose qu’il avait compris car il ne me demanda plu rien.

C’était il y à a peu près 10 ou 11 ans la première fois où j’ai vraiment rencontré Hermione pour la première fois. Cette fois j’en suis sûr. Ce matin en cour alors que je me bâter avec une blatte que j’étais sensé tué avant de la mettre dans le chaudron, j’ai frappé trop fort et elle a volé dans le visage de ma meilleurs amie « Tu n’es qu’une brute, Ron ! » Oui… ça ne pouvait être qu’elle la petite fille aux cheveux touffu, ses yeux pétillant face à un livre et cette façon de me réprimandé…
Hermione, l’ange moldu… était en réalité une sorcière, ma sorcière a défaut d'être mon ange. Enfin... ça c'est une autre histoire. »
C H A P I T R E 3

CHECKMATE « Ce n’est pas comme si je pouvais vraiment me vanter mais je crois que je suis un champion au échec. Qui peut ce venter d’avoir battue l’échiquier géant de McGonagall ? Enfin… j’ai encore battue Harry aujourd’hui « Echec et mat ! », ma reine a alors purement et simplement mit fin à la vie du roi de Harry. « Je me demande pourquoi je joue encore contre toi.» Le pauvre avait l’air blazer habituer à ce que je le batte toujours, mais moi j’avais un sourire jusqu’aux oreilles. « Tu devrais sur tout arrêter de jouer tes galions, donne-moi ta clef de Gringotts ça ira plus vite ! », mon rire couvra tout le bruit de la salle commune, pas bien remplit cela dit, mais il fallait dire que la petite bourse de galion que Harry me lança me rendit de très bonne humeur. « Tu as raison, je vais perdre tout mon héritage à jouer à ça.» « Bon aller, on se refait une partie pour fêter ma victoire ? », je crois que mon sourire carnacié fini de faire éclater de rire mon meilleur ami. « Je te vois venir, mais je n’ai plus rien sur moi, alors à part si tu me fait crédit... » «Nan, je ne te ferait pas subir une telle humiliation, c’est pas mon genre… hum, tu veux combien ? »

Les échecs on toujours était une passion, en réalité ça là toujours était depuis le jour où on a découvert mon " don " pour ce jeu. J’étais petit, je n’avais que 6 ans quand Bill et Charly étaient revenu à la maison pour Noël. Je me souviens que Ginny et moi étions en train de fabriquer un bonhomme de neige avec les affaires des Percy, ses écharpes et ses bonnets en avaient pris un coup. En réalité nous n’avion pas habiller le bonheur avec, nous les avions enterré dessous, ainsi il était forcé d’attendre la fin de l’hiver pour les retrouver… Je crois me souvenir que c’était une vengeance car il nous avait balancé a maman pour je ne sais plu qu’elle bêtise alors que les jumeaux auraient très bien pu ce faires punir à notre place. « Dit Won on lui fait comment le nez ? Avec la baguette de papa ? » « Gin, la dernière fois qu’on a touché à la baguette de papa tu te souviens de ce qui est arriver ? » Je la vit ce toucher les fesse dans une grimace et je fis la même en posant le dernier cailloux pour les yeux. « Oui … » « Ronald et Ginerva Weasley ne vous ai-je pas interdit de sortir ? » Je crois que j’u un sur saut en sentant l’aura maléfique de maman derrière nous. Oui, après tout nous étions punie et donc obliger de rester dans la maison, il n’y avait pas que les fesser qui marché, c’était surtout de voir la neige blanche nous narguer qui était vraiment une torture et amman le savait bien. « Pardon maman… » « Oui … padon maman». Face à elle, si grande, ses poings sur les hanches pencher sur nous avec son regard qui lancer des éclaire elle avait quelque chose de terrifiant. « Ah, ne me faite pas ces regard-là ! Punie, c’est être punie, vous y penserez à deux fois avant de jouer avec le four. » Elle leva les mains au ciel en soupirant avant de nous prendre no petite mains gelé, bien qu’enfermer ans des gants. Maintenant que j’y pense, nous avions failli mettre le feu à la maison, normal que nous ayons prit une grosse punissions, enfermer tout l’hiver alors que les frangins étaient revenu. D’habitude avec Bill et Charly on jouait dans la neige, bataille, igloo, statue de glace magique avec papa et puis course de luge ensorceler entre els gnomes. Une fois dans la maison maman nous retira tous nos vêtements mouillés pour les mettre devant la cheminer, puis une grande tornade rousse déboula sur nous, enfin sur…

« GINNYYYYYYY !! » « CHALYYYY !! » Mon faisait faire le super balais a la seul fille de la maison, qui riait comme une folle, mais une fois poser il se mit à la chatouiller et ce fut comme ça toute la soirée. Je crois que j’ai toujours étaient un peu jaloux de la relation qu’avait Ginny avec mes frères. Elle n’avait cas sourire pour qu’ils lui cèdent n’importe quoi, que ce soit Bill, Charly ou même Percy et les Jumeaux. Je suppose que c’est normal que ce soit toujours le cas aujourd’hui, elle est notre seul sœur, la seul par de délicatesse chez les Weasley. Seulement j’étais jaloux dans les deux sens, j’jaloux qu’elle soit toujours la préféré, mais jaloux aussi qu’on me la vole… c’était la seule avec qui je pouvais jouer, un an d’écart ce n’est rien… « Hey petit Rony, ça vas ? » je me suis retourner aussi vite que mon corps me le permit, face au visage de Bill pencher sur moi, ces cheveux déjà trop long lui tombant sur le visage. Bill avait toujours eux ce charme, ce sourire qui vous invite à lui rendre et vous dit « viens ». Bill le charmeur et Charly le colosse, c’est ainsi que de mes yeux de petit garçon je voyais mes deux frères ainé, ainsi que je voyais mes héros de mes petits yeux d’enfant. « Qu’est-ce que tu fais ? Ça fait un moment que tu es là… » C’était vrais, sens m’en rendre compte j’étais rester planter dans l’entré à fixer un point sans vraiment penser, comme déconnecter, dans mon monde… « Je fais rien. » Il ce redressa en me souriant encore et fasciné par cette aura de douceur et de maturité ? je le fixer sans rien rajouter penaud. « Aller, viens on vas bientôt manger. » J’étais resté si longtemps sans bouger ? Je ne sais toujours pas ce qui m’était arrivé ce jour-là, comme un trou dans ma vie, un vide ou pendant une ou deux heures je n’ai pas bougé. Je fus bouger vers la cuisine et assit avec tout le monde je repris le sourire en mangeant le magnifique repas de maman. Cela est bien un truc Weasley, nous passons depuis toujours notre Noël ensemble, papa travailler toujours plus avant noël pour que nous ayons le plus beau de tous et à chaque fois c’était merveilleux. Je me suis toujours plein d’être pauvre, mais enfant je ne l’ai jamais ressenti, entouré de tant de bonheurs et d’amour à en étouffer j’étais heureux et n’est-ce pas le but d’une vie ? Maman arriver toujours à faire des repas de rois avec presque rien ou des ingrédients de médiocre qualité, mais personne ne fait mieux la cuisine que maman, Bill et Charly disaient tout le temps que les elfes de Poudlard devraient prendre des cours avec elles ce qui-là faisait rougir et rire tout le monde.

A la fin du repas ce fut bien sur l’ouverture des cadeaux, il était un peu plus de minuit et donc Ginny et moi avions la permission de foncer vers notre petit sapin. Vite suivit des jumeaux et du reste de la famille j’avais contre moi mes rois cadeau, c’était la premières fois que nous avions plus d’un cadeau. Bill et Charly en avaient acheté un pour nous tous, même papa et maman, j’avais donc le cadeau des parents et un que Bill et Charly avaient acheté ensemble pour moi, j’étais d’ailleurs le seul à en avoir que deux pour le coup, mais il était bien plus gros que les autres. Je me souviens que le cadeau de papa et maman était une boites pour ranger mes carte de collections, maman devait en avoir marre d’en trouver par tout dans ma chambre… Celui de Bill et Charly était lui, un échiquier. Au début je fus très heureux, c’était magnifique et puis il n’y en avait pas à la maison. Je crois que je l’ai contemplé pas mal de temps, regardant chaque pièces et chaque détaille, il n’était pas d’une grande qualité, mais pour moi il était le plus beau des cadeaux. « Alors, Rony ? Ça te plaît ? » Je sentit des doigts se glisser dans ma tignasse et me les ébouriffer. Levant la tête vers mon frère je lui souris de toute mes dents, enfin presque toute… « C’est dément !! » Le rire de Charly me fit me tourné sur le coter et il me prit l’échiquier pour le mettre sur la table basse face au canapé. « Aller viens, je vais t’apprendre à jouer. » Je me souviendrais toute ma vie de ce moment passer avec Charly, assit devant le feu de la cheminer à l’écouter me parler de la façon de jouer, des régler et bientôt des techniques. Je buvée ses paroles, tout était si logique, si clair dans mon esprit, je du bien sur poser bien des questions et il fut obligé de me réexpliquer plusieurs choses mais j’étais prêt à jouer seulement… « Merlin vous avez vu l’heur ? Allez hop, tous au lit ! » « Votre mère a raison, les enfants, dépêchez-vous. » Je crois que mon regard refléta ce sentiment profond de déception que je ressentit à ce moment par ce que Charly m’ébouriffa les cheveux avant de me soulever et de me prendre sur ses épaules comme si je pesé un poids plume. « Désoler Rony, mais on jouera demain » « Moui … » J’entendit son ricanement alors qu’il me poser à terre devant la chambre que je partager avec Ginny. « Bonne nuit Rony, Bonne nuit Ginny. » J’entendis Ginny dans la chambre, qui se faisait bordé par maman, lui répondre mais moi ronchon j’allai jusqu’à mon lit pour me mettre en pyjama. Je bouder, j’ai toujours boudé pour un rien et ce jour-là c’était bien la même chose. Une fois dans mon pyjama trop grand, ce qui est paradoxal par rapport à aujourd’hui, maman vin me faire un bisou et je m’endormis… Enfin, j’u beaucoup de mal car tous ces truc d’échec que Charly m’avait montré et parler mon remplit l’esprit et je crois que mes rêves en furent remplit.

Le l’lendemain je fus le premier levais et déjà devant mon échiquiers par terre sur le tapis du salon. La maison dormait encore, mais j’étais fasciner par mon nouveau jeu. « Eh bien Rony tu ne dors pas ? » « Non, je veux jouer. » Bill rentra dans la cuisine avant d’en ressortir et de s’assoir face à moi deux verres de laits entre les mains « Tu crois que tu pourrais me battre ? » Il me tendit un verre et je le pris pour le boire lui jetant un regard de défit. Posant le verre vidé d’une traite je lui souris avec ma moustache. « Bien alors je te laisse les blanc, petit champion. » « Pion E2 en E3 » et fasciné je suivit des yeux le pion qui se déplaça. Le jeu ce fit petit à petit et je me remémorais ce que Charly m’avaient dit sur les règles et les tactiques de jeu. Pendant la partit je vis maman ce levais et venir nous embrasser, puis Percy, papa, les Jumeaux et enfin Charly et Ginny. Ginny c’était assise a coter de moi, enfin c’était coller a moi plutôt, ce qui m’avaient beaucoup agacé un long moment. Heureusement Charly débarquas avec des cookies et fini avec mon parasite entre les jambes grignotant les gâteaux. « Mais dit moi Bill, on dirait que Rony ce débrouille bien. » « Hum… oui et je ne sais plus quoi jouer. » « Bouge ton fou vers son cavalier. » « Tu crois ? » « Mais oui, regarde sinon il te prendra ta reine ! » « Rony tu est un démon, comment j’ai pu passer a coter de ça ? Fou B5 en D3. » J’u une grimace car ma petite faille venait de se refermer et je vis Bill sourire, mais bientôt il perdit son fou… Ce fut une longue bataille, Bill était aidé par Charly ce que je trouver injuste mais je crois que c’était par ce que Bill n’était pas très douer si bien cas la fin ‘était les deux qui jouer d’un même concert contre moi. Papa s’assit sur le canapé pour lire son journal, avant de nous regarder jouer, puis Percy débarquas avec son livre mais devant les disputes de stratégie de nos ainée il s‘intéressa au jeu. A la fin je crois que tout le monde étaient pencher sur le jeu, même maman, jusqu’à ce que… « Toure C5 en C8… Echec et Mat. » Le roi en perdit sa couronne et je me mit à rire, j’avais gagné contre mes ainées qui n’en revenez pas tous les deux. Leurs regards incrédules seront a jamais graver dans ma mémoire, ce fut un des moments les plus beaux de ma vie. J’étais si fière de moi, je venais de bluffé toute la famille, mais pour moi c’était si clair, si évidant. « Mais comment il a fait ? » « C’est très impressionnant Ron, bravo. » « Tu mérites bien une part de gâteau de plus Ron. Aller venez il à du finir de cuire.» Ainsi je suis devenu le champion des échecs de la maison et tout le monde se mit à vouloir me battre. Les jumeaux trichèrent, Ginny eu son premier cours ou elle abandonna vite, Percy n’arrêter pas de regarder dans son bouquin irrité puis papa riait mais je sais qu’il en jouer pas vraiment, pas comme les autres qui voulait me battre à tout prix, non c’était juste pour passer du temps avec moi.
C’est lui qui m’apprit le reste, tout ce que je sais sur les échecs c’est grâce aux temps que j’ai passé à y jouer avec lui dans sa cabane au truc moldu. D’ailleurs il m’a montré les échecs version moldu, mais c’est vraiment nul… enfin, c’est la même chose, mais ça n’as pas le même charme pour moi.

« Alors, tu joues Ron? » « Ouais, ouais désoler … Cavalier G5 en F6. Echec et Mat. » «Je rêve ? Mais comment tu fais ? » « Désoler vieux, tu me doit 20 galions. » Il soupira en se levant pour aller chercher dans notre dortoir ce qu’il me devait et je souris en rangent mon échiquier que j’ai de puis gamin. Je suis Rony le petit champion, je suis Ron le cavalier dompteur de pièces d’échecs et ce n’est pas McGonagall qui dira le contraire hein ? »





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Ronnyᶘᵒᴥᵒᶅ Bear
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i'm an mother fucker &#!§@£

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    i'm a wizard ;
    I'M RONALD BILIUS - FUCKING - WEASLEY
INVICTUS

Out of the night that covers me,
Black as the pit from pole to pole,
I thank whatever gods may be
For my unconquerable soul.

In the fell clutch of circumstance
I have not winced nor cried aloud.
Under the bludgeonings of chance
My head is bloody, but unbowed.

Beyond this place of wrath and tears
Looms but the Horror of the shade,
And yet the menace of the years
Finds and shall find me unafraid.

It matters not how strait the gate,
How charged with punishments the scroll,
I am the master of my fate:
I am the captain of my soul.
William Ernest Henley (1875)

l'histoire d'une vie ;

▷ i let it fall, my heart, and as it fell, you rose to claim it. it was dark and i was over, until you kissed my lips and you saved me. my hands, they were strong, but my knees were far too weak to stand in your arms without falling to your feet. ~ Adele





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MessageSujet: Re: RON ϟ From The Beginning   RON ϟ From The Beginning Icon_minitimeVen 9 Sep - 12:59




« LE DÉBUT D'UNE AUTRE VIE »
« Dans la vengeance et en amour, la femme est plus barbare que l'homme. »
▬ Friedrich Nietzsche
C H A P I T R E 4

I'M A WIZARD « Ce matin j’ai encore eu un problème avec ma baguette. Quand on y pense je ne suis vraiment pas doué. En seconde année ma baguette c’est briser et tous les sortilèges que j’ai jeté ne non pas vraiment donner ce que je voulais. Je m’en souviendrai du crache-limace tien. Puis à chaque sort entreprit je ne le fait jamais correctement, comme en première année, il a fallu que Hermione et Harry soit en danger pour que je réussisse enfin. Peut-être que je suis bon que dans l’urgence après tout… ou simplement que mes pouvoir se développe ce son développer moins vite que les autres. Quand j’y pense je suis le Weasley qui a eu l’apparition de ses pouvoirs le plus tard. Tous mes frères et même Ginny ont eu leur première apparition entre 5 et 6 ans et moi rien…

Je me souviens de ce jour, en réalité c’était tout un week-end, pas l’apparition de mes pouvoirs, mais le pourquoi du comment si vous voulez… J’avais 8 ans, j’étais déjà plutôt vieux pour ne pas avoir eu de preuve que j’étais bien un sorcier, je sais que mes parents on était très inquiet que je sois un cracmol, mais ce n’était jamais arrivé dans la famille alors ils imaginer qu’il n’y avait pas de risque. Seulement c’était malgré tout très inquiétant et l’idée que je n’ai pas de pouvoir était tout à fait possible. Moi je ne m’en rendais pas compte, à 8 ans sincèrement quand on est entouré de magie on n’imagine pas ne pas être un sorcier, ça coule de source. Maman était très angoisser ce samedi-là, je m’en souviens elle courée par tout dans tous les sens. Je me souviens qu’elle m’avait forcé à enfiler mon manteau et m’avais trainé jusqu’à la porte en me promettant des bonbons, seulement je savais qu’elle était bien trop angoisser pour me dire la vérité, après tout je connaissais très bien les ruses de ma mère pour m’emmener voir le médicomage car moi je n’ai jamais aimé y aller. « Aller Ron dépêche-toi sinon il n’y en aura plu ! » « Tu mens ! On ne va pas acheter des bonbons, on va chez le médicomage ! » Je me souviendrai toute ma vie du regard qu’elle m’a jeté ce jour-là, aussi furieuse que surprise « Ronald Weasley viens-tu de traiter ta mère de menteuse ?! » J’aurais dû baisser les yeux, m’excuser pour éviter la fesser mais je la défier du regard aussi fière qu’un hippogriffe. Je me souviens encore de ce regard noir que me lancer ma mère mais pourtant elle ne me punie jamais, la raison était qu’elle savait que je disais la vérité, elle me mentait. Elle prit ma main et la serra fort dans la sienne, je compris qu’elle était vraiment en colère et pourtant elle se mit à ma hauteur en soupirant, ferment correctement mon manteau elle parut ce calmer mais rien n’était moins sur et je rester crisper dans mon air de défit pour prendre la tête. « Rony tu veux faire plaisir à maman ? » Cette phrase m’avait choqué, adouci, elle parler tendrement avec cette inquiétude qui lui était propre et j’u honte de lui avoir tenu tête. Je n’ai jamais aimé me battre avec ma mère, sur tout petit, je culpabiliser très vite en le voyant si soucieuse. Elle en avait déjà bien à faire avec les grands et les jumeaux, je n’avais pas à en rajouter… J’acquiesçai alors devant son aire grave. « C’est vrais on ne va pas acheter de bonbon, on va voir le médicomage mais c’est très important Ron, il faut que tu le vois, fait le pour moi d’accord ? » « Oui, maman » Elle m’embrassa la joue avant de me reprendre la main en se redressant et de me faire entrer dans la cheminer. « Sainte Mangouste ! »

Dans l’établissement qui me paraissait immense je trainai des pieds derrière ma mère, sans un mot. Je ne bouder pas, ne ronchonner pas non plus, je faisais juste en sorte de ne pas y arriver trop vite et je crois que maman me laissa faire car elle ne me demanda jamais d’aller plus vite. Maman connaissait le chemin par cœur vers l’étage de pédiatrie, avec tout ce que mes frères lui avait fait vivre… D’ailleurs c’était toujours le même pédicomage qui s’occuper de nous, le docteur O’Connel.
Devant sa porte maman me sourit avec cette douceur maternel qui apaiser l’angoisse que j’avais au ventre. Elle toqua à la porte et on nous laissa entrer. C’était le cabinet du docteur, quelque gens attendait déjà et je montai sur une chaise restant là sagement assit. Je n’ai jamais était très calme enfant, mais j’avoue cas force de me faire rappeler à l’ordre par ma mère et sur tout par l’angoisse de passer sous l’œil du médicomage je rester sagement assis sur ma petite chaise. Les noms passer, les enfants défiler avant d’enfin arriver au notre « Ronald Weasley ? » Maman ce leva alors que je faisais une grimace face à ce nom horrible. Elle me prit mon bras et me poussa vers la porte. J’entrai dans la pièce coloré en passant devant le docteur qui me fit un grand « Bonjour » auquel je ne déniai pas répondre. Je pris place sur la table d’occultation, habitué à le faire maintenant. Mon regard se posa sur ma mère et le médecin qui lui serré la main. « Comment allez-vous Mrs.Weasley ? Je n’ai pas vue Fred et Goerge depuis un moment vous avez réussi à les enfermez ? » La réflexion me fit sourire et le rire de maman me soulagea, depuis toujours les jumeaux avaient pris un abonnement, tous les moins ils trouvaient un moyen pour se retrouver à l’hôpital. « A un an de leurs entré a Poudlard je leur ai dit que Dumbledor ne voudrait pas d’eux si ils ne se calmaient pas un peu et je crois que ça a fait son effet » « Je vois, c’est excellant ! » Ils rirent tous les deux et j’u l’espoir quelque seconde qu’ils m’avaient oublié et que trop e temps passerait dans leur discussion pour qu’il est le temps de me regarder. « Je suppose qu’ils ne pourront pas résister longtemps mais ça doit être plus calme chez vous. » « Oui, j’espère que ça vas durer longtemps, mais ce n’est pas encore assez calme pour moi » « Je comprends avec eux de toute façon… Bon alors et toi Ron, qu’est-ce que tu as ? » Et voilas… pour une fois que j’aimer qu’on ne fasse pas attention à moi et qu’on n’en est que pour mes frères. « He bien vous savez, je vous ai envoyé une lettre à ce propos. » « Hum, oui le petit problème de magie ? » « Oui c’est ça » Je n’aimais pas vraiment ce qui ce passer autour de moi et sur tout je ne comprenais pas du tout ce qu’on voulait dire par "problème de magie". Le docteur O’Connel était pencher sur moi et me fixer étrangement. Sous son regard je me sentis tout petit, il m’inspecter d’une telle façon… « Je vois… on va déjà commencer par le plus simple. Ouvre la bouche et fait ah, Ron. » « Ahhhhh » il prit sa baguette et éclaira ma bouche avec. « C’est bon… » Je fermais la bouche alors qu’il se mit à regarder mes oreilles, une fois fini il ce recula et me sourit. « Aller hop enlève-moi ton manteau, tu vas mourir de chaud comme ça. » C’est vrais j’en avais complètement oublié de me dévêtir. Je me mis sur mes jambes et retira donc mon manteau, puis mon pull et mon t-shirt sachant que je devais me mettre en sous vêtement pour le reste. Maman m’aida à tout enlever pendant que le médecin préparé la balance et le mètre. « Tu viens, Ron ? » Je montai alors sur la balance pendant qu’il noter mon poids je partis contre le mur pour me coller au mètre. Il me mesura et ce mit a sifflet comme admiratif. « Tu as vraiment une croissance fulgurante. » Je souris pour le compliment et puis il m’invita à me rassoir sur la table. C’est là que je n’aimais pas, il me tripoter les bras, les jambes puis me faisait faire des mouvements pour voir ma coordination, mes reflexe puis cocher sur une feuille si tout aller bien ou non, ça duré toujours plusieurs minutes qui pour moi étaient interminable. « C’est bon tu peux de rhabiller… » Je ne me fis pas prier. Maman m’aida à tout remettre avant de me faire m’assoir sur une chaise face à une table couverte de jeu divers. Il s’assit face à moi et demanda à ma mère de sortir, ce moment-là non plu je ne l’aimer pas, c’était vraiment étrange et sans ma mère je me sentais terriblement vulnérable. Depuis quelques années déjà on me faisait faire ça alors que les autres ne le faisait pas… pas d’entretient avec le docteur, jamais, sauf moi et ça me perturbé un peu.

« Alors Ron, tu connais le principe pas n’est-ce pas ? » « Oui, je dois vous parler librement » « C’est ça, tu ne dois pas avoir peur, je suis là pour t’aider. Si tu ne veux pas répondre à mes questions tu me le dit, il n’y a aucun souci, tu le sais ? » J’acquiesçai sans un mot. « Bien alors nous allons commencer, tien prend cette balle et serre la fort, elle va changer de couleurs en fonction de tes émotions comme ça je peux bien comprendre ce que tu me dis, c’est très important. Sur le parchemin sous toi des images vont défiler, tu les regardes et puis je te poserais des questions, tu tant souviens ? » « Oui » Tout ce que je voulais c’était que ça se termine alors je me mis à fixer le parchemin. Soudain un dessin apparut, je suivis les trais sans un mot en froncent les sourcils et je fini par apercevoir des araignées, plein comme sortir du parchemin. Je crois bien que je fis un bon si haut sous la peur que je tombât de ma chaise. Le docteur me ramassa en riant pour me remettre sur a chaise. « Tant fait pas Ron, ce n’est rien, ce n’est rien, calme toi et regarde le parchemin, elles ont disparu. Tu as donc toujours peur des araignées ? » « Oui, beaucoup… » « Ce n’est pas grave, n’en est pas honte, on a tous peur de quelque chose. Personne n’as peur de rien tu sais ? Moi par exemple j’ai peur du vide, dès que je suis sûr a plus de deux mètres du sol je ne me sen pas bien. Aller regarde … » Je baissa une nouvelle fois les yeux, ma peur passé et un peu rassuré. Le docteur voyait tout ce que je ressentais grâce à la balle, de la peur à l’angoisse en passant par la honte et maintenant au calme, il pouvait lire en moi comme dans un livre ouvert. Je fixer le parchemin nouvellement vierge avant d’y voir un lion apparaitre un gros lion qui marcher avec toute sa puissance et sa présence. Je souris, il était majestueux et imposer une telle force, j’étais simplement impressionné. « Alors, tu aimes les lions ? » « Toute ma famille a toujours était à gryffondor ! » Pour moi c’était logique j’aimer les lions par ce que c’était la maison de ma famille « Ah je vois, tu aimerais être un gryffondor ?! » « OUIIIIII ! » « Tu ne crois pas qu’une autre maison serrait bien ? Tu les connais n’est-ce pas ?, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard ? » La grimace que je fis à la fin de sa phrase le fit rire, il faut dire que la maison des vert et argents m’avais toujours étaient décrite horriblement par mes frères. « Je vois pas Serpentard, mais les autres ne te plaise pas ? » « Il faut être intelligent pour Serdaigle… » « Tu ne crois pas l’être ? » Je baissai les yeux sur mes main qui tenait le bal magique à présent orange, j’avais honte… « Pas autant que Percy… » « Percy est très intelligent mais il est à Gryffondor, tu vois cela ne veut rien dire, tu pourrais être à Poufsouffle. » « Mais je ne veux pas aller à Poufsouffle, je veux aller à Gryffondor ! » « Par ce que tout tes frères y sont allé, tes parents aussi et que tu crois que Fred et George y irons ? » « Oui… » « Ron ce n’est pas la maison ou tu vas qui importe, c’est qui tu es. Ce que font tes frères n’est pas important n’est-ce pas ? » « … non. » La balle montré bien que je mentais et le docteur n’envisagea pas d’aller plus loin dans la discussion. « Bien continuons… » Mon regard fut pris automatiquement par le parchemin, je le fixai encore et encore, rien ne se passa avant qu’enfin apparut deux bonhommes, un plus petit que l’autres. Je ne sais pas du tout ce que c’était censée représenter avant d’entendre le docteur « Je vois… » Mon regard bleu monta sur lui perdu et il me sourit avant de me reprendre la balle. « Bien, c’est fini Ron, tu as était très sage c’est bien. Alors tu es prêt pour les questions ? » « Oui… » Il me tendit un bonbon à sucer et je me pris avec un grand sourire, il savait comment parler aux enfants c’est sûr.

« Bien, est ce que tout vas bien chez toi ? Tu n’es pas malheureux ? Les jumeaux ne t’enferme plu dans les placards n’est-ce pas ? » « Non plu les placards. » « Autre chose ?! » « Non, depuis que maman leur a parler il ne m’embête plu, ni Ginny » « Est-ce que ça te … manque ? » « Non, je n’aime pas les placards et puis gouté à leur gâteaux… beurk ! » Le rire du docteur me fit rougir. « Alors qu’est-ce qu’il y a Ron ? Tu as l’air contrarier… tu sais-tu peut me le dire si tu veux je le garde pour moi. » Je me souviens que je n’étais vraiment pas bien à ce moment-là. Enfaite depuis des jours je savais qu’il y avait quelque chose, maman me tourné autour, elle m’observait et elle l’angoisser énormément. Je ne savais pas pourquoi mais je sais que c’est de là que vienne toute mes peurs et mes angoisse sur la vie. Mes complexes face aux autres viennent de très loin au fond… « Bah maman est bizarre avec moi. Je l’ai entendu dire que je n’étais pas normal… Je sais qu’elle voulait une fille, et puis tous les autres sont toujours, mieux. » « Ron je suis sûr que tu as mal comprit, tu sais qu’on on intercepte des discutions comme ça on peut se faire beaucoup d’idée » « Mais Bill et Charly son dément ! Percy est super intelligent ! Freddie et George son drôle et Ginny est une fille ! Moi je ne suis pas comme eu, c’est pour ça que je suis ici et qu’on me fait toujours faire plus de chose que les autres, que je dois regarder des images et que vous me poser des questions ! » « Ron allons calmer toi, ce n’est pas par ce que tu es diffèrent… » J’étais rouge de colère, je n’en pouvais plus de tout ce qui ce passer autour de moi, je sentais tellement de pression, tellement d’angoisse que ça me rendait fou et de mes yeux d’enfant je voyais qu’on surveiller tout de moi. « ALORS POURQUOI VOUS ME POSER TOUTE CES QUESTIONS ?! » Debout j’avais crié sans le vouloir. Quand je m’en rendis compté j’u honte mais ma colère ne désemplit pas. Le docteur me prit et me força à me rassoir soudainement moins souriant, il était même très … terrifiant par son sérieux. « Écoute-moi Ron. Tu as déjà vu ta sœur et tes frères faire de ma magie n’est-ce pas ? » Je ne répondis pas, bondant « Bien… et tu sais que c’est très important par ce que ça veut dire… » « Que ils pourront aller a Poudlard » « Exactement, Ron, hors toi tu n’as jamais… » Mon regards s’agrandit soudain, mon esprit de petit garçon ressue un coup de lumière et la peur me prit aux tripes, une terrible angoisse dans ma gorge fit monter les larmes à mes yeux. « Je ne peux pas aller à Poudlard ? Je ne suis pas un sorcier ?! » J’étais en train de paniquer d’étouffer soudain dans mon pull tricoter par ma mère. Je me levai, je voulu voir ma mère, mais quelque chose m’en empêcha. J’avais peur qu’elle ne veuille plu de moi, si je n’avais pas de pouvoir j’étais un cracmol, je n’étais pas normal.

Arriver là je ne me souviens plus très bien de ce qui c’est passer. La panique m’avait fait faire une vraie crise d’angoisse, j’étais tombé à terre en criant et pour le reste je ne m’en souviens plu. Juste la voix du docteur qui crier de me calmer, que tout irait bien que ce n’était pas ce qu’il avait voulu dire. Je me suis évanouit peut après… enfin je crois puise que je me suis réveiller dans les bras de ma mère. « Docteur O’Connel ! Il ce réveille ! Ron ? Rony est ce que ça vas mieux mon chérie ? » J’ouvris les yeux sur ma mère avec du mal à me réveiller, j’y voyais un peu floue mais je sentais le parfum floral de ma mère et sa main dans mes cheveux et je me sentais profondément bien. « Tu nous as fait très peur Ron tu sais ? Mais si je te dis que tu pourras aller a Poudlard je pense que ça ira mieux n’est-ce pas ? » En m’évadant de se profond sommeil je laissas mon regard parcourir le cabinet du docteur, dévaster, tout était détruit et dans un bizarre sans no, comme si une guerre avait eu lieux ici. Je me souviens de ma surprise et quand je me redressai du poids qui se posa sur mon corps soudain trop lourds pour moi et du mal de tête qui me prit. « Qu’est-ce… qu’est-ce qui c’est passer ? » Le docteur rit « C’est toi qui a fait tout ça, mais je ne tant veux pas, c’est la preuve que tu n’as aucun problème de magie, bien au contraire. » Tout ça c’était moi qui l’avait provoqué et cette révélation me rendit aussi rouge de honte que de plaisir. Il s’assit à son bureau face à nous et tendit un papier à ma mère. « Bien maintenant qu’il est réveillé on peut en parler. Je crois que Ron a juste eu un retard de croissance magique, sa croissance physique étant très importante son corps magique a ralentis. Pour autant vous pouvez voir que s’il a pris plus de temps pour ce développé il porte une extrême puissance. Je pense que Ron aura toujours du mal à contrôler ses pouvoirs. » Me redressant je sortais de mon coma doucement et le docteur me fit un splendide sourire « Mais quand ce sera le cas tu seras un sorcier très puissant, j’en suis persuadé » « Je vous remercie Mile fois Docteur, je m’excuse pour votre bureau, voulez-vous de l’aide pour arranger ça ? » « Non ne vous en fait pas Mrs.Weasley, un coup de baguette et tout est réglés, je suis ravis de vous avoir rassuré, mais il va falloir filler, mes rendez-vous on prit beaucoup de retard… » « Oh, oui bien sûr, nous parton… Merci encore docteur ! » Elle se leva et me garda dans ses bras, je dis un vague « au revoir » avant de quitter le cabiner pour rentrer. Il fallait payer la visite à la secrétaire avant de retourner à la cheminer pour aller à la maison.

Je crois bien que maman m’emmena directement dans ma chambre à cause de ma forte fatigue. Une fois dans mon lit, dans mon pyjamas des Cannon de Chylden ma mère m’amena un chocolat chaud et rien cas l’odeur mon sourire devin aussi grand que mon visage. Elle vin s’assoir au bord de mon lit et me donna le muge. Assis-je le but tout de suite même si il était brulant, sentant la main de ma mère dans les cheveux. « Le docteur m’a dit que tu avais cru que je ne t’aurait pas aimé si tu n’avais pas eu de pouvoir… Tu sais Ron je vous aime tous, tous autant que ce soit Bill, Charly, Percy, les jumeaux qui me rende folle ou bien toi et Ginny. Vous êtes tous mes bébés et tout ce que je veux c’est votre bonheur et que vous soyez en bonne santé. » Mes yeux levait vers elle j’avais la gorge serré soudain. Je m’en voulais pour l’avoir rue et pourtant un doute persisté en moi. Elle me prit contre elle et je sentis ses lèvres sur mon front. « Je vous aimes tous, mon chéri. J’avais simplement peur que tu ne sois pas heureux si tu n’avais pas de pouvoir, je savais que tu en souffrirais beaucoup et sa m’angoisser énormément. C’est pour cela que j’avais peur, je n’ai jamais eu honte, jamais Ron, de toi ou d’un autre de mes enfant. J’ai hontes des bêtises de tes frères mais je suis fière de vous malgré vos erreurs… je vous aime, vous êtes mon sang et ma chair, le reste n’as pas d’importance, d’accord ? » Je ne répondis que par des sanglots, pleurant contre elle. Je me sentais soulager, vraiment soulager d’un poids énorme qui me fit un bien fou. Un dernier baiser et elle me prit mon muge. « Aller dore mon Rony… si tu as besoin tu m’appelle, ou papa d’accord ? » « Oui… » Je m’allongeai et me mit bien confortablement dans mon lit pendant qu’elle fermer la lumière et sortit dans un dernier sourire « Je t’aime mon fils » « Je t’aime maman ».… Je ne pris pas longtemps avant de m’endormir. Le docteur avait dit que je serais un sorcier puissant et bien que maintenant je sais bien que ce n’était que pour me consoler, à ce moment je le crue et pour une nuit je nu plu de doute sur rien… J’étais un sorcier, j’irais a Poudlard a Gryffondor et je serais aussi cool que Charly et Bill !. »
C H A P I T R E 5

YOU ARE MY FRIENDS ? « Je ne sais pourquoi ce matin en me levant j’ai pensé à ma première année ici. Dans ce château, dans cette maison, dans ce dortoir… Le jour même où j’ai mis le pied dans le Poudlard Express ma vie a complètement changé. Le jour où mon chemin à croiser celui de Harry mon destin fut celer.

« Ron dépêche toi, tu ne voudrais pas rater le train ? » « Ouais Ron ça ferait tâche pour ta première rentré » « Mais cassez-vous de ma chambre ! » Entre maman, Fred et George j’en avais vraiment marre… J’étais en plus de cela à la fois excité et stresser par cette première rentrée à Poudlard. J’allais enfin voir a quoi ressemblé Poudlard, cette immense château, le lac noire, la forêt interdite, le stade de Quiddicth, tout ce que j’allais voir serrais pour moi une grande découverte, mais en même temps il y avait l’appréhension. J’aller surement avoir les jumeaux et Percy sur le dos, et puis les cours et si je n’étais pas à Gryffondor ? Depuis le début de la fin des vacances j’étais remplit de doute et d’une profonde angoisse et ça ne me quitter pas. J’avais ressues ma malle, Bill m’avais donné la sienne, transformant le B par le R de mon prénom. Quand j’y pense je n’ai jamais rien eu à moi, jusqu’à ma baguette n’était pas à moi mais a Charly, et mon rat venait de Percy. Je fini de tout mettre en vrac dedans et la ferma comme je pu en sautant un peu dessus, histoire de tasser tout ça pour que ça rentre. « Ron nous y allons ! » « J’arrive ! J’arrive M’man ! » Je trainai ma malle jusqu’en bas des escaliers comme je pu, manquant de tomber et de me faire écraser a plusieurs reprise avant que les jumeaux ne finisse par faire un acte aimable et vienne m’aidée. « Mais tu as mis quoi là-dedans Ron ? » « Tous tes jouets ? » « Mais fermez là ! »

Marchant vers l’entré a pas rapide pour me défaire de ses deux démon j’entendis encore Ginny supplier maman de partir avec nous. J’étais tout à fait conscient du fait que Ginny vivait mal le faite que cette fois elle serrait belle et bien toute seul avec les parents, mais ce n’était que pour une année, après elle serrait avec nous. « Ginny arrêtes tes caprices ! De toute façon ton père ne peut pas venir donc c’est moi qui emmène les garçons, si tu veux venir très bien, mais tu restes sage. » « Merci M’man ! Merci ! » Je vis débouler ma sœur de la cuisine à une vitesse fulgurante pour aller prendre et enfiler sa veste avant de me faire un grand sourire « Je viens ! » « Je vois. » Maman arriva et vérifia ce que je porté, si j’avais bien mon rat et ma malle avant de crier aussi fort qu’elle put pour que Fred et George arrivent. « Maman ? Où est Percy ? » « Déjà partie sans nous, aller hop on y va, on va être en retard. FRED, GEORGE VOUS AVEZ INTERET A DESSENDRE TOUT DE SUITE ! » J’échangeai un regard terrifier avec Ginny, quand maman était comme ça il ne fallait vraiment pas en rajouter… Une fois tout le monde là on prit la cheminette pour aller aux chaudrons baveux et de là il fallait faire le chemin jusqu’à la gare moldu de Londres. C’était assez amusant de voir les gens se retourner sur notre passage, une famille de 5 roux tirant des valises plus grosse que nous… En arrivant à la gare on prit des chariots et retrouvâmes par la même occasion Percy « Vous étiez où ? Ça fait 20 minutes que j’attends ! » « Je sais chéri, j’ai eu du mal à faire sortir ces deux… FRED ! GEORGE ! LES CHARIOTS NE SON PAS DES JOUETS ! C’est pas vrai, combien de fois je vais devoir vous le dire ? » Et c’était repartie… pendant que maman gronder les jumeaux, Percy m’aider à mettre mes affaires sur mon chariot avant que maman finisse par revenir avec les deux démons. « Bon cette fois on va vraiment être en retard, allé on y va ! » Elle prit la main de Ginny et ce mit presque courir nous poussant à a aller comme des taré sur les quais en échappant eu gens de justesse avant d’enfin apercevoir le mur du quai 9 3/4. Je me stoppai en soupirant soulagé, alors que maman ce plainiez du trop-plein de moldus dans la gare. Je pouvais soufflet un peu avant de me lancer. « C’est quoi, le numéro de la voie ? » Je crois que les jumeaux et Percy levèrent les yeux au ciel en même temps. Maman avait-elle vraiment un problème de mémoire ? « 9 ¾, moi aussi je veux aller à Poudlard » « Tu n’es pas encore assez grande, Ginny, ce sera pour plus tard je te l’ai déjà dit. Percy, passe le premier. » Percy s’exécuta alors que Ginny bouder encore à l’autre bout de la main de maman. Mon regard fixa mon ainée qui traversa le mur et j’avalai difficilement, foncer dans un mur était la dernière chose que je voulais… « Fred, à toi maintenant » « Fred, c’est pas moi, moi, c’est George. Franchement, tu crois que c’est digne d’une mère de confondre ses enfants ? Tu ne vois pas que je suis George ? » Sincèrement j’en avais marre des blague des jumeaux, mais c’était un truc a eu ça, embêter maman jusqu’à la fin. « Désoler, mon chérie. » « C’était pour rire, En fait, Fred c’est moi. » « Aller magne toi Fred ! »¬ Ils passèrent tout deux le mur en riant et maman levant les yeux au ciel dépasser. J’expiré profondément pour prendre mon courage à deux mains quand une voix inconnue m’empêcha d’aller jusqu’au bout de ma volonté. « Excusez-moi. » On se retourna sur un garçon brun, aux cheveux complétement décoiffé et aux lunettes rondes. « Toi, je parie que c’est la première fois que tu vas à Poudlard. Ron aussi est nouveau. » Je fis un petit sourire comme je peux, compatissant a sa douleur. « C’est… c’est ça et je… je ne sais pas comment on fait pour… » Le pauvre avait l’aire encore plus paumé que moi… « Ne t’inquiète pas. Il suffit de marcher droit vers le mur qui est devant toi. Ne t’arrête pas et n’aie pas peur de te cogner, c’est très important. Si tu as le trac, il vaut mieux marcher très vite. Vas-y, passe devant Ron. » Ouais comme ça si il se rater c’était moi qui me le prenais… Je crois bien de toute façon que j’avais autant la trouille que lui, alors moi ou lui c’était la même chose. « Euh… oui, d’accord » dit-il avant de foncer droit devant lui et de disparaitre derrière le mur comme mes frères. « Aller, aller, Ron ! Dépêche-toi. » Prenant mon souffle je me mis à courir en ferment les yeux avant de me retrouver sur le quai. Le train sifflet, la fumer s’échapper de la locomotive et le quai grouiller de monde. J’y étais enfin !

Derrière moi maman apparut à son tour avec Ginny et se mit à me pousser pour se frayer un chemin dans cette cohue impossible. Je crois qu’avant cela je n’avais jamais vu autant d’enfant dans un espace comme celui-là. Tout ce bruit et cette agitation ne faisait qu’augmenter mon appréhension mais je tentais de rester le plus calme possible, du moins en apparence. Elle me traina à la porte d’un wagon ou elle crue voir les jumeaux « Fred ? George ? Vous êtes là ? » « On arrive, M’man. » Je ne les vis pas descendre que maman m’appliquer déjà un mouchoir sur le nez en me le frottant comme une folle « Ron, tu as quelque chose sur le nez » Est-ce que c’était de ma faute si la cheminer me couvrais toujours plus que les autres de sui ? Je fis mon possible pour lui échapper, mais c’était peine perdu « M’man ! Laisse-moi tranquille ! » Grace a Merlin elle finit par me lâcher et je me touchai le nez me sentant agresser. « Ma parole, le petit Ron à sa maman a quelque chose sur son nez ? » « Ferme-la » J’en avais vraiment marre d’eux et quelque part j’imaginer que si j’étais dans une autre maison qu’eux ils me foutraient la paix ! « Où est Percy ? » « Il arrive » Vrais, Percy déboula avec cette démarche pleine de volonté qui le caractérisé tant. Il avait l’air d’un idiot pour moi, mais ce n’était que ma façon de penser. En plus de cela il était déjà dans son uniforme, j’avais presque honte car c’était bien le seul… « Je ne peux pas rester très longtemps, Maman. Je dois aller à l’avant du train, les préfets ont un compartiment réservé » et blah blah blah… pas un pour rattraper l’autre, dès qu’il fallait ce vanter Percy était le premier. Il se fit charrier par les jumeaux pour le coup et je décrochai de la discussion, fatiguer par cette foutu mâtiné déjà trop riche en émotion pour moi. Je revins à la discussion quand j’entendis mon nom, remarquant que Percy avait disparu. « Et occupez-vous bien de Ron » « Ne t’en fais pas, le petit Ron à sa maman n’aura rien à craindre avec nous » Non, mais en plus elle leur en donner pour qu’ils est des raisons de m’emmerdé cette année ?! Pourquoi ma mère était-elle si cruel avec moi ? « Ca suffit. »

« Hé, M’am, devine qui on vient de voir dans le train ? » Le petit brun qui était à coté de nous, à la gare ? Tu sais qui sait ? » « Qui est-ce ? » « Harry Potter ! » Ma bouche s’ouvrit toute seul. Non d’un gnome ma luné ! Je venais de voir le seul être au monde à avoir survécu au sort de la mort, une légende vivante. Je l’avais imaginé plus grand et plus fort, mais c’était déjà impressionnant ! « Oh, M’man, je peux monter dans le train pour aller le voir ? » Ginny était vraiment folle, ou de ce type, ou est ce qu’elle avait un plan pour aller a Poudlard malgré son âge. « Tu l’as déjà vu, et d’ailleurs, ce pauvre garçon n’est pas une bête curieuse qu’on va voir au zoo. Comment tu sais que c’est lui Fred ? » Et c’était quoi un zoo au juste ? Le reste de la discussion fut la même sur Harry Potter et moi j’imaginer déjà qu’avec un peu de chance je serais dans la même maison que lui, il irait à Gryffondor, c’était certain de toute façon ! Un type qui résister à la mort ne pouvait aller cas Gryffondor ! Le train sifflât, signe qu’il fallait partir. Une dernière embrassade a maman et nous étions dans le train, a la fenêtre George en profita pourtant pour ennuyait encore maman a propos d’une cuvette de toilette de Poudlard sans que je ne comprenne trop pourquoi… En soupirant fatiguer je cherchai un compartiment loin des jumeaux, seulement tout était bondée, c’était la guerre pour se trouver une place. Je fini par en trouver un qui avait l’air vide, enfin presque car quand j’ouvris la porte je me confrontai au garçon brun qui était donc Harry Potter. « La place est libre ? » Je montrai la banquette face à lui « Les autres compartiments son pleins. » Il hocha la tête et je pris place sans rien rajouter. Il fallait dire que j’étais un peu intimidé, c’était la première fois que je rencontré une légende et ce n’était vraiment pas commun de résister à la mort et tué par la même occasion un monstre a à peine un an ! Quand on y pense, c’est complètement dingue quand même… « Hé, Ron » Je sur sauta à cause de Fred. « On va dans le wagon du milieu. Lee Jordan a une tarentule géante, on va aller voir ça » J’u un long frisson en imaginant qu’une bête pareille était dans le train. « D’accord » « Harry » George était rentré à son tour. « Je ne sais plus si nous nous sommes présentés. Fred et George Weasley. Et lui, c’est Ron, notre frère. A plus tard » Ils disparurent derrière la porte du compartiment nous laissant seul sans plus de cérémonie. Moi je me tournai vers le brun la curiosité étant plus forte que la timidité. « C’est vrais que tu es Harry Potter ? » Je fus peut être un peu brusque sur le coup, amis il me répondit en hochant de la tête. »Je m’étais dit que c’était peut-être une blague de Fred et George. Et tu as vraiment cette… tu sais là… » Je pointa le front du garçon, bien que cela était mal polie, je n’u rien a faire des bonnes manières à ce moment-là. Il releva alors la mèche qui cacher sa cicatrice en forme d’éclaire et je le fixai stupéfait. «Alors c’est là que Tu-Sais-Qui… » « Oui, mais je ne m’en souviens pas. » « Vraiment pas ? » ma curiosité me jouer des tours… « Je me souviens d’une lumière verte éblouissante, c’est tout. » « Eh ben, dis donc… » J’étais vraiment impressionner pour le coup. Je le fixai quelques seconde, peut-être même minutes, fasciné et quand je m’en rendis compte je déviai vite mon regard vers la fenêtre. « Ils sont tous sorciers dans ta famille ? » Mon regard revint sur lui, surprit qu’il s’intéresse à moi et ma famille. « Oui, je crois. Il parait que M’man a un cousin qui est comptable, mais on ne parle jamais de lui à la maison. » et d’ailleurs je n’ai jamais su pourquoi. « Alors tu dois être déjà très fort en magie » J’haussa les épaules et ne répondit pas, on ne pouvait pas dire vraiment ça. Je préférai changer de sujet supposant que c’était à mon tour d’être curieux. « J’ai entendu dite que tu avais vécu dans une famille de moldus. Ils sont comment, ces gens-là ? » Papa qui parler toujours d’ex serrait comptant que je puise lui donner d’autres informations et puis c’était si étrange… j’avais envie de tout savoir de Harry. « Horrible. Enfin, pas tous. En tous cas ma tante , mon oncle et mon cousin son abominables. J’aurais bien voulu avoir trois frères sorciers. « Cinq » j’avais perdu mon sourire en y repensant, il n’y avait rien de génial à être le sixième fils, au contraire… « Je suis le sixième à aller à Poudlard, dans la famille. J’ai intérêt à être à la hauteur. Bill et Charly, mes deux frères ainés ont déjà fini leurs études. Bill était Préfet en chef et Charly capitaine de l’équipe de Quidditch. Maintenant c’est Percy qui est préfet. » « Préfet ? Qu’est-ce que c’est que ça ? » C’était plutôt amusant comme question. « C’est un élève chargé de maintenir la discipline. Une sorte de pion… Tu ne savais pas ça ? » « Je ne suis pas beaucoup sorti de chez moi. » Je ne fis pas très attention à sa remarque et je continua mon récit. « Fred et George font pas mal de bêtises, mais ils ont de bonne notes et tout le monde les trouve très frôles. Et moi, on voudrait que je fasse aussi bien que les autres, mais même si j’y arrive, personne ne s’en apercevra, par ce que je serais le sixième a le faire et on trouvera ça normal. Quand on a cinq frères, on n’a jamais rien de neuf. J’ai les vieilles robes de sorcier de Bill, la vieille baguette magique de Charly et le vieux rat de Percy. » Je le sortit de ma poche ou il dormait tranquillement. « Il s’appelle Croutard et l ne sert à rien. Il dort tout le temps. Mon père a offert un hibou a Percy quand il a été nommé préfet, mais il n’avait pas les moyens de… Enfin, je veux dire, c’est moi qui ai hérité de Croutard. Je sentis mes oreilles sous la honte, j’en avais trop dit. Harry savait que j’étais pauvre, maintenant il ne pouvait plu imaginer autre chose et je me sentis minable au possible. Je n’avais plus envie de parler, mais en même temps ce silence me tuer, heureusement Harry le cassa et je ne l’en remerciai jamais assez. « Jusqu’à ce que Hagrid me l’annonce, je ne savais pas que j’étais un sorcier, je ne savais même rien de mes parents, ni de Voldemort. » Je sentis mon souffle ce couper et mes yeux sortir de ma tête sous le choc. Il était fou ! J’avais peur et en même temps je trouvai ça dément ! « Tu as prononcé le nom de Tu-Sai-Qui ! Je pensais que tu serais le dernier à… » « Ce n’est pas pour faire le malin. Simplement je ne me suis pas encore habitué à ne pas dire son nom. J’ai beaucoup de choses à apprendre… Je suis sûr que je serais le plus mauvais élèves de ma classe. » Je secoua la tête, il n’avait rien comprit… « Oh non. Il y a plein d’élèves qui ont vécu dans des familles de Moldus et ils apprennent très vite. » Un silence tomba et je fixa le paysage défiler. Il ne dura pas si longtemps que cela, on reprit quand le chariot de bonbons passa, Harry avaient de quoi tout s’acheter et il fut très sympa de m’en donner, ce fut presque lui qui me força à en prendre car au début je n’avais pas du tout envie de profiter de sa gentillesse, mais mon estomac fut plus fort que ma volonté. Enfin ce fut très amusant, sur tout avec les dragées surprises et puis en plus Harry apprit que sur nos photos les personnes bouger et j’appris que sur celle des moldus ils rester immobile… pas très amusant hein ?

Je crois que c’est en voyant Neville chercher son crapaud par tout que je fini par avoir brandit ma baguette sur Croutard pour montrer mon fameux sort qui ne marcher pas du tout a Harry. Ce dont je suis certain c’est que c’est comme ça que j’ai croisé la route d’Hermione pour la seconde fois de ma vie. La porte du compartiment ‘ouvrit et une fille aux cheveux brun ébouriffer fit son entrain l’air pincé. « Vous n’auriez pas vu un crapaud ? Neville a perdu le sien. » On aller finir par le savoir qu’il avait perdu son foutu crapaud Neville, il était déjà passer par là, pourquoi il ne lui disait pas après tout il était juste derrière elle ! « On n’a rien vu du tout » J’u l’espoir qu’on aller enfin nous laisser tranquille. « Tu étais en train de faire de la magie ? On va voir si ça marche. » Elle était sourde ? Elle prit place sur la banquette et je fus plus que prit au dépourvu de ce retournement de situation. Apparemment elle voulait vraiment voir alors je me racla la gorge et me concentra sur mon rat. « Bon… allons-y :
Soleil, jonquille et canari,
Que ce gros gras rat gris
En jaune soit colorié
De la tête jusqu’aux pieds. »
J’agita ma baguette mais rien ne se passa. Croutard était toujours aussi gris cas la première heure et dormait encore comme si rien en c’était passer autour de lui. « C’est ça que tu appelles jeter un sort ? Pas très brillant, comme résultat. Moi, j’ai essayé de jeter des sorts pour m’entrainer et à chaque fois, ça a marché. Personne n’est sorcier dans ma famille, j’ai eu la surprise de ma vie en recevant ma lettre, mais j’étais tellement contente ! On m’a dit que c’était la meilleure école de sorcellerie. J’ai déjà appris par cœur tous les livres qui sont au programme, j’espère que se sera suffisant pour débuter. Ah au fait, je m’appelle Hermione Granger, et vous ? » Au début je me demanda si elle avait respiré en disant tout ça d’une seule traite et puis après je me dit que de toute façon elle ne devait être humaine. Dès sa première phrase je l’ai trouvé très agaçante mais alors là avec tout ce qu’elle avait déballait je n’en revenais pas et en croisant le regard de Harry je compris qu’il était dans le même état que moi. Comment elle avait pu apprendre tour les livres du programme par cœur ?! Sincèrement je crois que je m’en remis jamais. « Je m’appelle Ron Weasley. » « Moi, c’est Harry Potter. » « C’est vrais ? Je sais tout sur toi, j’ai lu quelques livres supplémentaires pour ma culture générale et je peux te dire qu’on parle de toi dans Histoire de la magie moderne, Grandeur et décadence de la magie noire et Les Grand Evénements de la sorcellerie au XXe siècle. » Je lança un regard paniquer a Harry pour qu’il la stoppe, cette fille était terrifiante, mais non cette idiot rentra dans son jeux complètement décontenancer qu’on parle de lui par tout. Il s’attendait a quoi au juste ? Il était considérait comme l’un des plus grand sorcier du monde magique ayant fait le plus grand exploit jamais réaliser, on n’aller pas taire son nom et l’oublier… « Ah bon ? » « Tu ne savais pas ? Si c’était à moi que c’était arrivé, j’aurais lu tous les livres où on en parlait. Vous savez dans quelle maison vous serez ? Moi, j’espère bien aller chez les Gryffondor, ça m’a l’air d’être la meilleure. On m’a dit que Dumbledore y a fait toutes ses études, mais les Serdaigle ne doivent pas être mal non plus. Enfin, bon, on va essayer de retrouver le crapaud de Neville. Vous feriez bien de mettre vos robes de sorcier, vous deux, on ne va pas tarder à arriver. » Et elle disparut derrière la porte du compartiment avec Neville. Comment peut-on être comme ça ? C’était carrément incroyable ! « J’espère en tout cas qu’elle ne se sera pas dans la même maison que moi, celle-là… »

Voilà comment ma première rencontre officiel entre moi Harry et Hermione ce fit, sans oublier Neville bien sur… Si vous saviez comment il a retrouvé son crapaud… C’est assez amusant mais ce sera sûrement pour une prochaine fois, si j’en est le courage… »





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    i am beastly ;
    IN A BOX - IN A BOOK - IN A CLOSET
KING ▬ "So it's now or never isn't it ?"

By or by the way of an explanation. Cast adrift off the shore's of shotter's nation. I had a lick it caved my skull in like a brick. Oh now what use am I to anyone. I'm fucked, forlorn, frozen beneath the summer. Don't sing along or you'll get what I got. Here comes a delivery straight from the heart of my misery. Here comes a delivery straight from the heart to you. Yeah you now you now you you've finally left school. Oh what on earth do you intend to do. See if you can tick the man go downtown. Where all you skins and mods you get together. Make pretend it's 1969 forever. Find a girl have a drink have a dance and pray. This song might deliver me straight from the harshness of misery. Cos this song's a delivery straight from the hearth to you. Yes here comes a delivery straight from the hearth of my misery. This song might deliver me straight from the hearth to you. Yes here comes a delivery straight from the hearth of the misery. Here comes a delivery straight from the hearth to you.


l'histoire d'une vie ;
when something bad happens you have three choices. you can either let it define you, let it destroy you, or you can let it strengthen you. ─ Dans les livres il y a des chapitres pour bien séparer les moments, pour montrer que le temps passe ou que la situation évolue, et même parfois des parties avec des titres chargés de promesses: La rencontre, L'espoir, La chute; comme des tableaux. Mais dans la vie il n'y a rien, pas de titre, pas de pancarte, pas de panneau, rien qui indique attention danger, éboulements fréquents ou désillusion imminente. Dans la vie on est tout seul avec son costume, et tant pis s'il est tout déchiré.





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«DIRE QUE C’ÉTAIT LE PLUS SIMPLE »
«.Toutes les grandes personnes ont d'abord été des enfants, mais peu d'entre elles s'en souviennent.» ▬ Le Petit Prince.
C H A P I T R E 6

I'M A GRYFFINDOR « Je me souviens du pire repas de ma vie… C’était Harry qui avait cuisiné l’or de nôtre petite escapade en campagne pour aller chercher les horcrux. Il avait fait des lentilles avec de la viande, c’était pourtant simple, mais sa viande était une vrais semelle et ses lentille avait le gout de vinaigre seulement j’avais trop faim pour y faire attention si bien que j’ai même fini l’assiette d’Hermione. Ce n’est pas comme si je m’étais jeté dessus, elle m’a presque supplié ce manger, tout ça pour ne pas vexer Monsieur Potter alors qu’après elle a tout fait pour qu’il ne cuisine plu… M’enfin à chaque fois qu’il a cuisiné c’était à moi de manger tout ce qu’il faisait, je suis sûr que même lui avait conscience qu’il manquer de me tuer à chaque fois, mais en bonne amie Hermione ne disait rien et pour ne pas me confronter à la colère de l’un ou de l’autre je n’ai jamais rien dit non plu. Je suppose que ce n’est pas sa faute, il a était traumatiser de la cuisine chez son oncle et sa tante, mais bon par respect pour nous il aurait pu nous prévenir dès le début… « Ron comment tu fais pour manger ça ? » Hermione avait l’air dégouter alors que je raclé son assiette. « Quoi tu vas te plaindre alors que je te rends service ? » « Je ne me plain pas ! » « Alors ne dit rien ! Quand j’ai faim mon estomac est capable de tout supporté et toutes ces heurs de marches me rende dingue… » « Je vois… » et elle repartit a son bouquin que Dumbledore lui avait donner l’air agacer. Je partis laver les assiettes en grognant. Chacun son truc, elle, elle pouvait absorber des tonnes d’informations et bien moi mon estomac était capable de tout supporté, moins glorieux et alors ? Ca n’empêche pas que je sache faire d’autres choses ! Comme jouer exclament aux échecs, au Quidditch, suivre Harry même devant la mort ou bien sauver les gens que j’aime quoi qu’il arrive ! Cela me fait pensait aux pire choses que j’ai pu faire pour sauver Hermione et ma Sœur, aller à la rencontres des pires créatures qu’il existe a à peine 12 ans. Quand je repense aux araignées géante, a Aragoc et son dôme en toiles remplit a rabor de ses semblable… j’en frisonne encore… et le basilic ! Bon ok, ce n’est pas moi qui l’ai combattu mais s’il n’y avait pas eu quelques péripéties je me serais surement trouver devant…

Je me souviens de cette journée horrible, déjà que l’année n’avait pas était génial avec ce qui ce passer, tout ceux qui avaient était pétrifier, dont Hermione et ensuite l’annonce que ma sœur avait était kidnappé dans la chambre des secret ou on venait tout juste d’apprendre qu’un Basilic résidé… Non sincèrement ça avait était la pire de mes journée sur tout quand j’avais entendu le professeur McGonagall dire : Son squelette reposera à jamais dans la Chambre. Même face aux araignées je n’ai jamais eu aussi froid dans le dos cas cette phrase. Ma sœur était en prise au mal et ni moi ni mes frères ne sachions quoi faire, pas même Harry. Assit dans la salle commune nous restions là sans rien dire jusqu’à ce que les jumeaux parte ce coucher a la tombé de la nuit, ce que Percy avait fait bien avant trop bouleverser, je suppose… Je ne pouvais m’empêcher de pensait que si Harry et moi l’avions écouté au diner elle ne serrait peut être pas dans ce pétrins. « Elle savait quelque chose, Harry. C’est pour ça qu’elle a était capturée. Ce qu’elle voulait nous dire n’avait rien à voir avec les imbécilités de Percy. Elle avait découvert quelque chose sur la Chambre des Secrets. C’est la seule raison possible… » Je m’essuyai les yeux, humide, ma sœur était en danger et j’avais l’impression que c’était de ma faute, que je n’avais rien fait pour l’écouter, la protégé alors qu’elle avait cherché à me parler… « Elle vient d’une famille de sorciers au sang pur… » Je sais que cette pensée n’était pas juste, que c’était horrible de pensée que par ce qu’elle avait un sang-pur Ginny n’aurait jamais dû être capturé par l’héritier de serpentard dans la Chambre. C’était horrible pour Hermione, mais j’étais si perdu, si désespéré au fond de moi… la penser qu’elle puise être déjà morte me rendait dingue, bien que j’avais l’espoir que ce ne soit pas vrais, la peur me tenais au tripes, j’avais vraiment besoin de réconfort « Harry, est-ce que tu crois qu’il y a une chance qu’elle soit pas… » De toute façon comment Harry l’aurait su ? Tout ce que je voulais c’était faire ce qu’il fallait pour que ce ne soit pas vrais, c’était mon devoir de faire en sorte de sauver ma sœur, mon devoir de la protégé et si j’avais raté ma mission je devais tout donner pour me rattraper. « Tu sais quoi ? Je crois qu’on devrait aller voir Lockhart et lui raconter ce qu’on sait. Il va essayer d’entrer dans la Chambre. On peut lui dire où elle se trouve, à notre avis, et lui révéler qu’elle abrite un Basilic. » Bien que je n’avais aucune confiance en ce professeur j’avais au moins l’espoir que tout ce qu’il avait écrit sur ses exploits était vrais et qu’il pourrait sauver ma sœur, c’était ma seul chance de la revoir en vie. Harry ne me répondit que par un hochement de tête et se leva pour sortir de la salle commune, je le suivis la tête basse, me confrontant aux regards désoler de nos camarades.
Quand nous fumes devant la porte du bureau de Lockhart les bruits qui en venait me firent levait els sourcils, il devait être vraiment inquiet, ce qui pouvait ce comprendre vu ce qu’il aller arriver… Ce retrouver face à un Basilic, c’était terrifiant ! Harry frappa a la porte et un brusque silence ce mit en place. La porte s’entrouvrit alors et un œil de Locakhart apparut. « « Ah, heu… Mr.Potter… Mr.Weasley… Je suis très occupé pour le moment. Si vous pouviez faire vite… » « « Professeur, nous avons des renseignements à vous donner. Nous croyons qu’ils pourraient peut-être vous aider. » Derrière Harry j’acquiescer doucement dans l’espoir qu’il nous écoute, mais il n’avait pas l’aire très bien derrière sa porte, Lockhart. « Heu… Ce n’est pas vraiment… enfin, bon… d’accord… » Il ouvrit enfin la porte pour nous laisser entrer et ce n’est pas vraiment ce à quoi je m’attendais en voyant son bureau. Son bureau avait l’air vide, deux malles était ouverte au sol et à moitié pleines, ils y avaient des boites remplis de ses photos… En outre c’était comme si il était près à partir et je sentis une boule d’angoisse plus grosse que les autres venir dans mon ventre, tout comme une certaine colère qui m’empêcha de dire quoi que ce soit. « Vous allez quelque part ? » « Heu… oui, c’est ça… » Il arracha un poster de lui qui était sur sa porte. « Un appel urgent… Impossible de faire autrement… Il faut que je m’en aille… » Il voulait laisser ma sœur pour un appel urgent ?! « Et qu’est-ce qui vas se passer pour ma sœur ? » J’étais à la fois paniquer, décontenancer et furieux. « Une bien triste histoire. Vous ne pouvez pas savoir à quel point je suis bouleversé par… » « Vous êtes le professeur de Défense Contre les Forces du Mal ! Vous ne pouvez pas partir maintenant ! Pas avec les horreurs qui se produisent en ce moment ! » « Je… je dois dire que… quand j’ai accepté ce poste… rien ne laisser entendre que… » « Vous voulez dire que vous prenez la fuite ? Après tout ce que vous avez écrit dans vos livres ? » je ne savais pas quoi dire, en réalité j’étais incapable d’ouvrir la bouche face à tout ça, j’étais incrédule. Il abandonner ma sœur, purement et simplement alors qu’il disait a tout le monde qu’il n’avait peur de rien… « Il ne faut pas toujours se fier à ce qui est écrit dans les livres » « Mais c’est vous qui les avez écrit ! » Je crois que j’ai sursauté au moment où Harry à crier tellement je n’en revenais pas de tout ce qui ce passer autour de moi, j’étais dans la pièce, mais en simple spectateur, comme si Harry s’occuper de s’indigner et de crier à ma place par ce que j’en étais incapable à ce moment-là. « Mon garçon, fais donc preuve d’un peu de bon sens. Mes livres ne se seraient pas vendus moitié aussi bien si les gens n’avaient pas crue que c’était moi qui avais fait tout cela. Personne n’aurait envie de lire l’histoire d’un vieux sorcier arménien lais comme un pou, même s’il à sauver tout un village d’une attaque de loups-garous. Il ferait peur si on montrait sa photo sur la couverture d’un livre. En plus, il ne savait pas s’habiller. Et la sorcière qui a fait fuir le Spectre de la mort avait un bec-de-lièvre. Il faut être réaliste, voyons… » « Alors, vous vous êtes attribué les exploits des autres ? » Je crois que je le regardé la bouche grande ouverte tellement je trouver ça incroyable. Ce type était un pur escroc ! Avant j’avais juste pensé qu’il se prenait pour le centre du monde par ce qu’il avait réalisé quelques exploit et avait dû en inventé d’autres pour étoffer sa légende, amis enfaite il avait tout prit aux autres ! « Harry, Harry… Ce n’est pas du tout aussi simple que ça. J’ai fait un très gros travail. Il a fallu que je retrouve tous ces gens, que je leur demande de raconter très précisément ce qu’ils avaient fait. Ensuite, je leur jetais un Sortilège d’Amnésie pour qu’ils oublient qu’ils l’avaient fait. S’il y a une chose dont je puis être fier, c’est bien de mes Sortilèges d4Alnésie, je les réussis à merveille. Non, vois-tu, Harry, tout cela représente beaucoup de travail. Il ne suffit pas de dédicacer des livres et des photos. Quand on veut devenir célèbres, il faut se préparer à accomplir un long et difficile travail.. » J’aurais surement du dire quelque chose, mais sincèrement c’était de plus en plus impossible tellement ce gars m’avait cloué. Comment Hermione avait pu se faire avoir par un mec comme ça ? Comment ma mère avait pu en être folle ? Et surtout comment Dumbledor avait pu nous le mettre en professeur de Défense contre les Force du Mal ?! Lockhart ferma ses malles en les verrouillant nous laissant toujours aussi… choqué ? « Voyons, je crois que tout est prêt. Ah oui, il me reste encore une chose à faire. » Il se tourna vivement vers nous sa baguette nous menacent dangereusement. « Désolé, jeunes gens, mais il va falloir que je vous jette à vous aussi un Sortilège d’Amnésie. Je ne peux me permettre de vous laisser colporter mes petits secrets dans toute l’école. Sinon, je ne vendrais plus un seul livre… » Grace a Merlin Harry a toujours eux des reflexe hors-norme et sortit sa baguette « Expelliarmus ! » Lockhart fut projeter en arrière et lâcha sa baguette qui vola, si bien que je l’attrapa avant de la jeter pas la fenêtre ouverte pas précession. « Vous n’auriez pas dû laisser le professeur Rogue nous apprendre cette formule » Harry avait vraiment l’air en colère, mais surement pas plus que moi, j’étais furieux que cette homme est eu à un moment ou un autre réussit à être le seul espoir que je pouvais avoir pour ma sœur ! Enfin, j’avoue que Harry avait quelque chose de terrifiant à menacer Lockhart de cette façon, je ne me serais pas sentit bien à sa place et je crois que c’était bien le cas « Qu’est-ce que vous voulez que je fasse ? Je ne sais pas où se trouve la Chambre des Secret. Je ne peux rien faire. » « Vous avez de la chance. » Harry le prit et l’obligea a ce levait. « Nous croyons savoir où elle est et ce qui se cache à l’intérieur. Alors, Allons-y. » Je crois que je n’ai jamais vue un homme aussi blanc que Lockhart à ce moment-là. On dû le trainé de son bureau jusqu’au toilettes de Mimi Geignarde, la pauvre chose trembler comme un feuille, c’était vraiment pitoyable… On le lâcha et Harry partit chercher Mimi au fond des toilettes. Je vous épargne l’explication de Mimi sur sa mort et sur le pourquoi elle était revenu hanter les toilettes, tout ce qui est bon de savoir c’est cas la fin de sa tirade elle nous dit que l’endroit où elle avait vu les yeux jaune qui l’avait tué était vers les lavabos. Je mis précipita avec Harry pour regarder le lavabo désigner. Ce n’était qu’un pauvre lavabo normal, rien d’incroyable. On le regarda bien attentivement, l’inspectant centimètre par centimètre mais moi je ne vis rien. Harry, lui eut l’aire de voir quelque chose et tenta de l’actionné… sans succès. « Ce robinet n’a jamais marché » Je fixai Mimi avant de me reconcentré sur Harry avec une soudaine illumination ! « Harry, essaye de dire quelque chose en Fourchelang. » C’était évidant non ? Harry eu l’air tout à fait d’accord avec ça et il se mit à fixer le lavabo sans rien ajouter. « Ouvre-toi » Non, là c’était rater pour le coup. Il se tourna vers moi et je secouai la tête. « Non, tu as parlé normalement. » Harry ce remit face à son lavabo. Si il n’y arriver pas, a ca train on aurait pu y rester toute la nuit, mais miracle quand la bouche de Harry ce rouvrit je ne compris rien, ce n’était qu’un étrange sifflement qui faisait un peu froid dans le dos. Le tuyau du lavabo s’éclaira alors d’une lueur blanche aveuglante avant que tout le lavabo ne bascule en arrière et ne disparaisse pour laisser apparaitre une sorte de gros trous qui devait être l’entrée de la Chambre si j’avais tout comprit.

« J’y vais » J’acquiesça bien d’accord. « Moi aussi. » J’avais beau avoir la trouille de voir ce qu’il y avait là-dedans, ça ne pouvait pas être pire que l’armé d’araignée géante prêtent à nous manger et puis si c’était la seul chance de retrouver Ginny vivante autant se jeter dans ce trou, quoi qu’il advienne. Un silence plana alors, jusqu’à ce que cette idiot de Lockart l’ouvre « Eh bien, je crois que vous n’avez plus besoin de moi. Je vais… » Il était prêt a partir ma je levai ma baguette sur lui tout comme Harry. Il était hors de question qu’il ne vienne pas et qu’il fuit ! « Passez donc le premier. » J’avais grogné ma rage contre lui, avec la légère envie de le torturé pour me venger et venger tout ceux dont il avait pu profiter. Forcer de s’approcher il chercha à voir ce qui était au fond du tuyau, mais comme nous il ne vit rien, ce qui je l’avoue était sacrément effrayant. « Ca ne servira à rien, voyons… » J’avais honte pour lui tellement il était livide et tremblant. Harry le poussa de sa baguette et il fut forcé de mettre ses jambes dedans en s’asseyant au bord. « Je crois vraiment pas que… » Je le poussa, agacer par ces enfantillage a son âge… on aurait perdu Ginny si je ne l’avais pas fait, il faut être réaliste, et il m’énervait tellement que d’entendre ses cris de terreur me donna une satisfaction sans nom. Harry ce lança après lui et puis je dus en faire de même attendant un peut, non seulement pour ne pas entrer dans Harry mais aussi par ce que j’avais la trouille de voir ce qui m’attendais en bas. C’était assez effrayant au début, pourtant à force d’attendre la fin de ce toboggan géant et visqueux, j’avoue que j’aurais presque voulu refaire un tour… enfin si ma sœur n’avait pas était en danger de mort. Quand enfin j’arrivai en bas, je me confrontai durement au sol dur et poussiéreux, à quatre pattes. « On doit être à des kilomètres au-dessous du château. » Cette constatations ne me fit pas très plaisir et l’écho que cela enchaina ne fut pas très agréable non plu… Comment allaitons retrouver Ginny là-dedans ? Je me confrontai à un mur en me levant, il était plein de vase et ça me frappa… « Sous le lac, sans doute » « Lumos. Venez.» De toute façon il était la seule lumière alors nous n’aurions pas pu faire grand-chose d’autre… Marchant alors dans ce vaste tunnel, pataugent dans les flaques et n’y voyant pas à plus de un mètre devant nous, je crois que ce fut le plus long moment de ma vie en ajoutant à cela mon angoisse terrible pour la vie de ma sœur. « N’oubliez pas, si jamais vous entendez quelque chose bouger, fermez immédiatement les yeux » D’un coter il avait parfaitement raison, mais de l’autre c’était vraiment effrayant de ce dire que face à un basilic on était aveugle et qu’il pouvait simplement nous manger au lieu de nous tuer d’un seul regard… très rassurant, oui, vraiment. La première chose suspecte que j’entendis ce fit quand mon pied écrasa quelque chose de très… croustillant… Harry l’éclaira et ce fut très rassurant de constater que le sol était couvert de squelettes de petits animaux divers. Reprenant notre chemin j’aperçu alors quelque chose de plutôt terrifiant pour le coup. Je prit sans réfléchir l’épaule de Harry et la serra furieusement « Il y a quelque chose, là-bas » Sincèrement ça ressembler vraiment à un Basilic, c’était énorme et très long, comme une courbe mais ça ne bouger pas du tout, alors l’idée me vin. « Il est peut être endormi. » Lockhart ce cacha les yeux de ses mains, claquant presque des dents et j’avoue avoir fermé si fort et rapidement mes yeux que je vis des étoiles derrières mes paupière. Je sentis juste Harry bouger à coter de moi alors que dans mes oreilles je pouvais entendre mon cœur battre. Je fini par les rouvrir et suivant Harry pour observer comme lui la chose qui était là. Ce qui fut constaté fut que cette gigantesque peau d’un vert vif était vide. Il avait mué… ce qui était à la fois terrifiant et très impressionnant. « Incroyable » Mon soupire fut couper par la chute de Lockhart qui était tomber, ses jambes ne pouvant surement plu le porté. « Levez-vous. » Je le pointé de ma baguette, pas franchement fiable, mais j’en avais marre de ce gars, il me sortait par les yeux, même pas capable de prendre ses responsabilité et pire que Malfoy question courage, ce qui est un modèle dans le genre Je-suis-un-trouillard… Lockhart se leva, seulement ce que je n’avais pas calculer c’est qu’il se jeta sur moi et sous la surprise je laissai ma baguette qu’il me prit sans attendre en se redressant pour nous menacer Harry et moi avec son sourire satisfait, fraichement retrouvé. « L’aventure se termine ici, les amis. Je vais prendre un morceau de cette peau et le rapporter à l’école. Je leur dirai qu’il était trop tard pour sauver la fille et que vous avez tragiquement perdu l’esprit à la vue de son corps mutilé. Vous pouvez dire adieu à vos souvenirs ! » Il leva ma vieille baguette rafistolé « Oubliettes ! » Une petit explosion eu alors lieux et tout ce mit à trembler autour d’eux, Lockhart c’étant fait expulser plus loin, je fis de mon mieux pour échapper au roches qui nous tomber dessus… Quand ce fut fini je soupirai bien contant de ne rien trop avoir. Je tournai la tête vers le corps de mon professeur étalé au sol, assommé. « Ron ! Tu n’es pas blessé ? Ron ! » Harry était de l’autre coter du mur de roches, ce qui était rassurant en soit. « Je suis là ! Moi, ça va, mais l’autre idiot en a pris un coup » Je donnai un coup dans la jambe de cette abrutie et il se réveilla dans un gémissement étouffer. « Ça va, il est toujours vivant. Et maintenant qu’est-ce qu’on fait ? Je n’arriverai jamais à passer de l’autre côté. Ca nous prendrait un temps fou de creuser un trou dans ces rochers… » J’étais en plein désespoir. Ce serait impossible de le rejoindre et d’ici là Ginny serait peut-être… « Attends-moi là avec Lockhart. Je continue. Si je ne suis pas revenu dans une heure… » Un lourd silence s’abattit soudain sur nous. Je ne pouvais pas croire que je pouvais perdre en une seule fois ma petite sœur et mon meilleur ami, ça me rendait dingue. Je sentais une boule dans ma gorge. Trop d’émotion, trop de douleur et d’angoisse à l’idée que tout ça finisse mal. Pourtant je fis de mon mieux pour garder une voix ferme, Harry avait raison, il devait y aller et faire son possible pour Ginny, c’était notre seul chance. « Je vais essayer de déplacer un peu ces rochers pour que tu puisses passer tout à l’heure. Et, heu… Harry… » « A tout à l’heure. » Je ne pu rien répondre sous l’émotions le remercient intérieurement. J’entendis des bruits de plus en plus sourds, il partait. Je me mis alors à creuser comme je pouvais évacuant le plus de roches possible pour former un passage.


Je me souviendrais toute ma vie de ce moment où la voix de Harry me criant que Ginny était vivante, toute ma vie je me rappellerais du visage de ma sœur pleurant comme jamais et de la joie que j’ai ressenti en la voyant et en la serrant contre moi. En réalité je suis doué pour pas mal de choses, mais ce qui compte vraiment c’est ça, le plaisir de tenir sa petite sœur dans ses bras quand on a crue pendant des heures qu’elle aller mourir. Je ne pourrais jamais assez remercier Harry pour l’avoir sauver, jamais je ne pourrais… Je suppose que c’est pour ça que je ne l’ai pas tué quand il est sorti avec elle. Ouais, par ce que même malgré ça il a sauvé ma sœur et sa vie n’as pas de prix ! »


C H A P I T R E 7

HYSTORY « Soyons sincère, je ne suis pas Harry, je n’ai pas tué Voldemort mais on ne peut pas dire non plus que je ne m’en soi pas pris plein la tête non plu. Tien par exemple rien que la morsure de Sirius en troisième année, j’ai encore la marque sur l’avant-bras, ça s’accorde d’ailleurs merveilleusement bien avec les cicatrices que m’ont fait les cerveaux, sans compter la fois où j’ai bu le poison qui avait était destiner a Dumbledor pendant ma première sixième années, cette fois avec les acromentules dans la forêt ou bien même la fois où j’ai vaincu le jeux d’échec de McGonagall. Oh je ne me plain pas, pour la plus part de ces choses si elles sont arrivées c’est bien par ce que je l’avais choisi, du moins j’ai choisi d’aider mon meilleurs ami par ce que la vie sans lui aurait était bien moins drôle. Par contre il y a bien des choses que j’ai subi et que je subi encore et que je n’ai pas choisie, comme des frères que j’adore mais qui me rende dingue sans parler de la petite sœur juste la cerise sur le gâteau voyez ? Oh et Hermione ! Je veux dire… elle n’est pas une plait, non pas elle, mais ce qu’elle engendre. Je ne parlerais pas de certaines choses mais pour donner un exemple : elle a fait rentrer dans ma vie un vrais monstre, le seul que je ne peux m’en débarrasser sans qu’elle ne me tue après, mais sérieusement qu’est ce qui lui a pris ce jour-là ?!

C’était un peu avant la rentrée de notre troisième année à Poudlard. Nous étions, moi et ma famille partie en Egypte voir Bill et ça a était magnifique, la première fois que j’ai mis les pieds dans un pays étranger. Bref ce jour-là je l’avais passé avec Hermione au chemin de traverse pour acheter toute nos fournitures. On avait fini par faire une pause, et heureusement par ce qu’avec elle pour faire ce genre de course j’ai bien cru que jamais ça n’aller s’arrêter et qu’elle aller encore et encore acheter des livres. Je crois bien que c’est à ce moment que j’ai réalisé qu’Hermione avait quand même beaucoup d’argent, c’était impressionnant, elle pouvait tout ce permettre alors que moi j’avais était forcer d’acheter le strict minimum, des livres user et toute mes fourniture en occasion. Nous nous étions donc arrêter chez Florian Fortarôme me restant juste assez d’argent pour manger une petite boule de glace ou deux. Hermione en profita pour ce moqué encore de moi par ce que j’avais de la crème glacé sur le nez. Heureusement un miracle ce produisit a cette instant et me sauva d’un rouge cramoisie intense. Harry venait d’apparaitre dans mon champ de vision et justement on avait pensé le croiser en faisant notre petit marcher, mais à croire que c’est quand on ne le cherche pas qu’il nous tombe dessus. « Harry ! Harry ! » je leva la main et Hermione stoppa son ricanement pour en faire de même l’air ravie de voir notre ami, son bronzage faisant un sacré effet avec son sourire blanc et c’est dents toujours trop longue a cette époque. Je me serrait bien moquer d’elle pour me venger de ce moment, mais je lui avait déjà fait remarquer qu’elle avait cuit alors je me concentras sur le survivant qui vin nous rejoindre a notre table de terrasse. « Enfin ! » Je lui fit un large sourire alors qu’il prenait place, il fallait dire que ça me faisait plaisir de le voir de puis tout ce temps, c’est que les vacances était bien calme sans Basilic, Acromentul ou tout autre chose de ce genre-là. Je n’aller pas me plaindre non plu, au contraire me reposer en Egypte, même trainé par ma mère partout, m’avais fait le plus grand bien. « On est allés te chercher au Chaudron Baveur, mais ils nous ont dit que tu étais parti. » « J’ai déjà acheté toutes mes fournitures. Mais comment avait-vous su que j’étais au Chaudron Baveur ? » Je fis un petit sourire à mon ami. « Par mon père » C’était aussi simple que cela, mon père travaillant au ministère de la Magie il était au courant des histoires du genre de celle de Harry et de sa tante Marge. Il fallait bien dire que pour échapper à une chose pareille son père n’aurait pas pu. « C’est vrais que tu as gonflé ta tante comme un ballon ? » Je ne sais pas si c’était la façon dont Hermione le dit avec son air grave ou juste de l’imaginer une nouvelle, mais j’éclatai de rire à ce moment. Il fallait avouer que c’était dément. « Je ne l’ai pas fait exprès » nous assura Harry alors que je n’arriver pas à m’en remettre « J’ai simplement… perdu mon sang-froid. » « Ce n’est pas drôle, Ron » Son ton sec me calma un peu, mais quel rabat-joie sérieusement « Honnêtement, je suis stupéfaite que Harry n’ait pas été renvoyé de Poudlard » « Moi aussi. Je m’attendais même à me faire arrêter. Ton père ne sait pas pourquoi Fudge a fermé les yeux ?» J’haussa les épaules en ne pouvant m’empêcher de rire encore, de plus Harry ne se rendait pas compte, mais j’imaginer bien la situation pour moi. « Sans doute parce que c’est toi. Le célébré Harry Potter. Je préfère ne pas savoir ce que le ministère me ferait-moi si je m’amusais à gonfler une de mes tantes. Remarque, il faudrait d’abord qu’ils me déterrent, parce que ma mère m’aurait tué. » Mais je trouvais l’idée bonne tout de même. « Nous aussi, on va passer la nuit au Chaudron Baveur. Comme ça, tu pourras venir avec nous à la gare demain. Hermione reste aussi. » Elle ne put qu’approuver mes dire d’un signe de tête aussi rayonnante que possible, ayant apparemment oublier qu’elle était agacer quelque secondes avant contre moi. « Mes parents m’ont laissée ici avec toutes mes affaires. » « Formidable ! » Harry ne manquer pas de joie en tout cas, ça faisait plaisir de voir que le plaisir de rester avec nous était là. « Alors, vous avez tout acheté, il ne vous manque plus rien ?» « Regarde ça. » Ce fut alors à ce moment que fier comme un coq je sortis la plus précieuse des boites à mes yeux et que le l’ouvrit avec la plus grande des précaution « Une baguette magique toute neuve. Trente-cinq centimètres de long en bois de saule avec un crin de queue de licorne à l’intérieur. Et on a acheté tous nos livres. » Je referma mon trésor et lui montra le gros sac sous ma chaise. « Tu as vu un peu, ce Livre des Monstres ? Le libraire a failli fondre en larmes quand on lui a dit qu’il nous en fallait deux. » « Et tout ça, qu’est-ce que c’est ? » Harry montra les trois sac entourant Hermione et je soupira en me replongent dans ma crème glacer pour la finir. « Cette année, j’ai pris davantage d’options que vous. Ça, ce sont les livres d’Arithmancie, de Soins aux créatures magiques, de Divination, d’étude des Runes, d’étude des Moldus…» « Pourquoi étudier les Moldus ? » je lança un regard effaré a Harry, c’était vraiment maladif chez elle mais à ce point-là… « Tu es née dans une famille de Moldus ! Tes parents sont des Moldus ! Tu sais déjà tout sur les Moldus ! » Avoué que mes argument était juste non ? « Ce qui me passionne, c’est de les étudier du point de vue des sorciers. » Son sérieux allé me tuer. « Est-ce que tu as quand même l’intention de dormir ou de manger un peu, cette année ? » J’éclata d’un rire goguenard a la remarque de Harry, ça c’était mon meilleur ami et il avait raison, elle était complétement folle d’en faire autant, mais elle était ainsi, n’est-ce pas ? D’ailleurs dans l’exemple le plus Hermionesque possible, elle fit mine de ne rien avoir entendu gardant sa fine dignité et changea aussi vite de sujet. « Il me reste dix Gallions d’or. En septembre, c’est mon anniversaire et mes parents m’ont donné un peu d’argent pour m’acheter un cadeau d’avance » « Tu pourrais t’offrir un livre, par exemple ? » Je pris un air faussement naïf, me moquant d’elle l’air de rien. « Non, je ne crois pas. J’ai envie d’un hibou. Harry a Hedwige, toi, tu as Errol… » « Je n’ai rien du tout. » Je la coupa agacer, elle voulait m’enfoncer ? « Errol, c’est le hibou de la famille. Moi, tout ce que j’ai, c’est Croûtard. » Je sortit le vieux rat de ma poche pour le poser sur la table. « Il faudrait que je le fasse examiner. Je crois que l’Egypte ne lui a pas fait de bien. » Croûtard avait l’air plus maigre qu’à l’ordinaire et ses moustaches tombaient tristement. Il était vieux, mais cela m’inquiéter tout de même, c’était le seul animal à « moi ». « Il y a une boutique de créatures magique, là-bas. Tu n’as qu’à aller voir s’ils ont un remède pour Croûtard, et Hermione pourra acheter son hibou. » J’acquiesça et nous quittions la terrasse en payant nos glace pour suivre Harry à la Ménagerie Magique, de l’autre coter de la rue.

La boutique n’était pas bien grande et les murs étaient entièrement recouvert de cages renferment différente créatures. Il y régnait un vacarne permanent, accompagné d’une forte odeur. Les créatures qui occupaient les cages passaient leurs temps à piailler, couiner, caqueter, siffler. Derrière le comptoir, une sorcière donner des conseille a un client sur les soins à prodiguer aux tritons à double queue. En attendant qu’elle finisse avec ce client Harry, Hermione et moi nous observions les différentes créatures dans les cages. Le client au triton fini par sortir de la boutique alors je m’approcha du comptoir. « J’ai des ennuis avec mon rat. Il est un peu patraque depuis qu’on est allés en Egypte. » « Mettez-le-moi sur le comptoir. » Me répondit la sorcière en sortant une grosse paire de lunettes noir. J’extirpai alors Croûtard de ma poche pour le déposé a coter d’une cage remplit de ses congénères qui cessèrent aussitôt leurs jeux pour ce précipiter sur les barreaux pour regarder de plus près. Comme presque tout ce que je procédé, j’avais hérité Croûtard de l’un de mes frères et le pauvre animal n’avais jamais était très reluisant. Quand je regardé les rat juste a coter avec leur poile soyeux rassemblé dans la cage je compris que le mien était particulièrement pitoyable. « Mmhhh » Ce grognement me fit levait les yeux vers la sorcière qui examiner mon rat. « Il a quel âge, ce rat ? » « Je ne sais pas. Il est vieux, ça, c’est sûr. Avant, il appartenait à mon frère. » « Qu’est-ce qu’il a, comme pouvoirs ? » « Hein ?» C’était un rat, un simple te pauvre rat, qu’est-ce qu’elle voulait de plus ? La vérité, c’était que Croûtard n’avait jamais manifesté le moindre don pour quoi que ce soit. La sorcière regarda son oreille gauche en lambeaux puis sa patte de devant amputé d’un doigt. « Il est au bout du rouleau. » Me dit-elle. « Il était déjà comme ça quand Percy me l’a donner. » Dit-je pour me défendre, j’avais l’impression qu’elle m’accuser ou quelque chose comme cela et quelque part je me sentais honteux de ne pas m’en être mieux occuper que ça mais il était vrais que je l’avais eu dans ce même état, mais en plus vivant tout de même. « Un rat ordinaire comme celui-là vit rarement plus de trois ans. Mais si vous chercher quelque chose d’un peut plus résistant, vous pourriez peut-être essayer un de ceux-ci… » Elle me montra es rats noir qui c’étaient mis à recommencer a sauter a la corde. Croûtard était depuis 13 ans dans leurs familles, alors peut être que ça longévité était son don mais moi je ne voulais et sur tout ne pouvait changer de rat de cette façon. « Des cabotins » « Si vous n’en voulez pas d’autres, essayez ce Ratconfortant, c’est un tonique pour ratbougris.» Elle prit un flacon sous le comptoir. « D’accord, c’est combien ? OUILLE ! »Je me plia rapidement en deux, ne finissant pas ma phrase, les mains levées pour me protéger. Je ne sais pas ce qui m’avait touché mais c’était énorme, lourd et j’avais belle et bien senti des griffes tâté mon cuir chevelu. Quand je me redressa je vue ceette grosse masse orange qui c’était donc jeter sur moi pour ensuite s’en prendre à Croûtard en se précipitant vers lui avec des sifflements furieux sur le comptoir. « NON ! CA SUFFIT, PATTENROND ! » S’écria la sorcière contre la chose, seulement mon rat lui était déjà tomber des mains sous l’agitation pour s’étaler par terre comme une crêpe sur le sol, et s’enfuit vers la porte de la boutique. « Croûtard ! » Je partit à sa poursuite bien décider à ne pas perdre mon rat, j’en était responsable et il représenter la confiance qu’avait ma mère en moi alors si il lui arriver quelque chose je ne vous raconte pas ce qui me serrait arriver. Harry me suivit dans ma course, à bousculer les gens dans a rue en ne lâchant pas des yeux l’animal. Au bout de dix bonnes minutes ont fini par le récupéré sous une poubelle à proximité du Magasin d’Accessoires de Quidditch. Le pauvre était allé se réfugier là. Etant tout tremblant je le mis dans ma poche pour ne plus qu’il s’enfuit et pour le rassuré, là normalement il se sentait en sécurité. Puis me levant le me massa la tête, c’est que ce truc m’avait fait mal en plus. « Qu’est-ce que c’est que ce truc qui m’est tombé sur le crâne ? » « C’était soit un très gros chat, soit un petit tigre. » J’oublia la remarque de Harry en remarquant autre chose. « Où est Hermione ?» « Sans doute en train d’acheter son hibou »

On fit alors chemin inverse, au milieu de la foule, sur le Chemin de Travers pour aller retrouver notre amie. Lorsqu’on fut de retour devant la Ménagerie Magique, Hermione en sortit, mais ça n’était pas un hibou qu’elle serrait dans ses bras, mais l’énorme chat orange qui m’avais attaqué. « Ne me dis pas que tu as acheté ce monstre ! » Je n’en revenais pas, elle avait osé faire ça. « Il est magnifique, tu ne trouves pas ? » Je ne sais pas si c’était cette phrase ou son air rayonnant avec lequel elle l’avait sorti mais je sentis la colère monté en moi. Elle avait acheté ce truc touffu et si orange qu’il me bâter sur ce point-là. Il donner l’impression de c’être prit un mur en pleine gueule ce qui lui donner un air grincheux à en décoiffer un gobelin. En tout cas il était plus rassurant de le voir ronronner dans les bras de Hermionne que sifflant contre mon rat mais je savais qu’il aller ce remettre à s’en prendre à lui et je ne pouvais pas laisser faire ça. En plus ça n’était pas un chat, c’était un monstre ! « Hermione, cette chose ma quasiment scalpé ! » « Il ne l’a pas fait exprès, n’est-ce pas, Pattenrond ? » « Et pour Croûtard, il n’a pas fait exprès ? » Je montra ma poche indigné par ça remarque à mon propos. « Ce rat a besoin de repos et de tranquillité ! Il n’aura jamais la paix avec ce machin-là autour de lui. » Elle pourrait me reparler du bienêtre animal plus tard, tien. « Ça me fait penser que tu avais oublié ton Raconfortant. » Dit-elle en me glissant la fiole dans ma main, elle l’avait acheté pour moi ? « Et cesse de te faire du souci, Pattenrond dormira dans le dortoir des filles et Croûtard dans celui des garçons. Alors, je ne vois pas le problème. Pauvre Pattenrond, cette sorcière m’a dit qu’il est resté dans cette boutique une éternité. Personne ne voulait de lui. » « Je me demande bien pourquoi. » Dit-je, sarcastique alors que nous repartions vers le Chaudron Baveur.

Ainsi Hermione eu son foutu chat, ainsi commença mon calvaire. Je vous épargne le faite que Croûtard était en réalité Peter Petigrow, mais bref, ce qui est sûr c’est que à cause de ce vieux chat pas beau que chaque année je me retrouve avec des griffures par tout. Ce chat en a contre moi et c’est le seul mal contre lequel je ne peux rien car Monsieur le chat est toujours protéger par Hermione. A croire qu’elle aime me torturé. »





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MessageSujet: Re: RON ϟ From The Beginning   RON ϟ From The Beginning Icon_minitimeJeu 13 Oct - 16:51




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Much Ado About Nothing ▬ Wake me up, wake me up stop my fall every time you go. Tape me up then break me up. Ever so gently when I'm at my weakest, it's not so hard every time you go. I run a mount to meet you when I knew the storm had come And I felt the rain on your face and the damage you had done. I know what you're thinking - it will never be the end And when the storm is over, you won't see me again. A drop in the ocean A change in the weather I was praying that you and me might end up together It's like wishing for rain as i stand in the desert But i'm holding you closer than most, Cause you are my heaven. I dont wanna waste the weekend If you don't love me, pretend a few more hours, then it's time to go As my train rolls down the east coast I wonder how you keep warm Its too late to cry To broken to move on


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❝ GO FUCK YOURSELF ❞ ─ You, too, can master the art of the book report. Any novel, no matter when, it was written, just argue that the author’s intention was to write a main, character who’s a latent homosexual. Most English teachers are either gay or too frightened to disagree and be called homophobic.



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MessageSujet: Re: RON ϟ From The Beginning   RON ϟ From The Beginning Icon_minitimeJeu 13 Oct - 17:23




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