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 « Now that you know I'm trapped... » || ft Lea

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« Florian Z. Shadow »
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Florian Z. Shadow
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MessageSujet: « Now that you know I'm trapped... » || ft Lea   « Now that you know I'm trapped... » || ft Lea Icon_minitimeMer 21 Sep - 21:52


[ PS : Je n'arrive à rien pratiquement, désolée >< ]
Mauvaise femme. Voilà ce qu'il pensa alors qu'elle lui volait son précieux "intoxiqueur de poumons" comme il disait si bien lui-même. Le garçon ouvrit la bouche avec un air dépassé avant de sourire et secouer la tête. Ce qui ne l'empêcha pas de se prendre de la fumée en pleine figure, l'observant toujours fixement. Il devait bien accorder que ce geste avait une certaine classe bien qu'il incarnait tout le culot qu'elle avait.
Alors si je comprends bien, si on reste je devrais trouver des arguments mais dans tous les cas il faudra que je « paye » ta générosité ? Tsss l’argent c’est le bien mon cher. Florian resta stoïque lorsqu'elle l'enchaîna de ses bras et le plaqua aux murs du château. Cela ne voulait pas dire qu'il n'eut pas le plus grand mal à le faire sur certains points. Alors oui, j’ai des tas d’arguments, mais non tu ne les connaîtras pas parce que je crois bien, que si quelqu’un viens encore nous déranger, je vais tester la pertinence de mon endoloris sur ce « quelqu’un ». Et qu'il serait dommage de finir dans le bureau de McGonagall pour de vilaines tâches - surtout que la vieille femme les lui faisait laver les tâches le soir, oui encore un peu... Il hocha la tête avec une grimace, montrant à quel point cela pourrait être contraignant. Original, mais contraignant. Puis pas sûre que le professeur de métamorphose les laisse s'amuser même si elle prononçait un renvoi pur et simple. Pas que Florian envisageait que ça lui arrive... quoique, si. En fait, il avait pensé plutôt à ce qu'il plaiderait si c'était sur le point de lui arriver...
Un sourire déclenché automatiquement par le touché de son index sur son torse, petit geste qui avait eu son petit effet - d'autant que monsieur n'avait plus de quoi se cacher derrière une clope en pinçant fort. Il ne la lâchait toujours pas du regard, c'est ainsi qu'il la vit alors profiter d'une dernière taffe avant de suivre du regard son objet de décontraction finir dans le vide. Ses yeux doublèrent de volume alors qu'il la regardait à nouveau, prêt à demander si des fantômes de lutins avaient prit possession de son cerveau mais obéit sagement au doigt posé sur ses lèvres. Ceci dit son regard exprimait un vif "WTH?"
Là où je t’emmène, crois moi, tu n’auras pas besoin de ça pour te détendre, ou alors c’est que tu as un souci neuronal. Il grogna : tiens, il espérait bien ! Ca avait l'air de valoir le coup... Il n'aimait pas quand on lui faisait ça, d'ailleurs un de ses frères l'a très bien comprit. La réaction qu'il aurait eu si Léa lui en avait laissé le temps aurait toutefois été rien comparé à ses crises quand ça arrivait. Le Poufsouffle la regarda s'approcher de lui et ne tarda pas à sentir ses lèvres. Il l'accueillit vivement et lui aurait certainement manger les lèvres si ce ne fut pas si court. Prend ça comme un acompte.
Il hoqueta un rire : Eleanor avait intérêt à avoir la mémoire longue car un Shadow n'oublie jamais. Par défaut, ils sont trop préoccupés à enterrer et déterrer leur passé tous les deux mois que le reste de leurs souvenirs, ils préfèrent ne pas les laisser filer. Donc il n'oublierait certainement pas : l'acompte et la clope, il prendrait son prix... J'espère que tu le sais ma grande... pensa-t-il avec un sourire et regard pseudo angélique alors qu'il la suivait à nouveau dans la salle où tous s'amusaient paisiblement. Le jeune homme en profita pour faire un signe à Mickaëlian qu'il croisa, le plus grand des Shadows - en taille - qu'il était roula des yeux et se retourna. Florian s'excita presque sur place mais su parfaitement que Mika se chargerait de Roxane. Alors qu'il jetait encore des regards noirs vers son frère d'adoption, il se remarqua entouré soudain d'autres présences : Eleanor avait apparemment à discuter avec ses camarades. Je t’en conjure Léa dit moi qu’il a le sang pur… Florian allait lui dire qu'en fait il était probablement un sang-mêlé même pour les moldus, moitié-lutin, moitié-dieu, d'où les deux côtés très agaçant : un lutin est agaçant par défaut, un dieu agace par sa perfection et il faut vivre avec ! Ceci dit Léa répondit pour lui et il ne trouva qu'à sourire odieusement à la compagnie. Il haussa même les sourcils quand la préfète l'examina et il ouvrit un peu sa veste, qu'elle regarde bien : c'est vrai que le sang dans les veines se détermine par le tissu des vêtements et l'allure ! Voyons, qu'il était bête ! Ceci dit, rien que dit penser, lui-même ne savait plus ce qu'il était niveau "valeur du sang"... Et s'il s'en fichait, c'était surtout qu'il ne pouvait rien en penser : il n'y connaissait plus rien du sien.

Avant que l’idée t’effleure l’esprit j’en ai rien a tapé de ton sang, je n’ai pas d’ascendance vampire (enfin pas trop), d’ailleurs mon sang n’est même pas totalement pur, cette histoire est complètement débile … C’est juste le seul moyen qu’ils ont trouvés pour compenser leur manque de cervelle, la CONsanguinité porte bien son nom que veux tu. Il se réveilla d'un coup de sombres pensées et l'écouta avec un petit sourire.

Florian ; « Je me fiche encore plus du sang que de la moyenne qui s'en fiche, tu vois. J'y connais que dalle. Après, si ça les flatte de copuler entre eux... Faut bien des excuses pour tout et surtout n'importe quoi. »
Maintenant qu'il y réfléchissait, jamais Léa ne s'était effectivement intéressé à son sang donc ce qu'elle disait lui semblait évident. Les gens en général ne se mêlent pas des histoires des Shadows, puis les ragots sont encore meilleurs à ce sujet donc jamais n'allait-on chercher la vérité quand il était question d'eux. De toute façon, il était un peu tard pour qu'elle se préoccupe de son sang maintenant qu'il estimait qu'elle avait de sérieuses dettes... Il ne la lâcherait que dans un seul cas : sa mort ; et il ne la souhaitait pas, évidemment.
Il rit presque en voyant où ils atterrissaient et peut-être le sorcier l'aurait applaudit pour cette idée si il ne voulait pas se priver de la pression de sa main. Mot de passe soufflé, les portes s'ouvrirent et il hocha la tête : c'est partit pensa-t-il. Florian était venu une unique fois grâce à Cedric - qui ne se méfiait pas assez de lui - et avait presque noyé la salle... Il entra avec fascination et allait même tenter l'insonorisation quand on le coupa encore, ce qui le rendit un peu plus nerveux : ça faisait beaucoup de fois ce soir et il s'impatientait. Tu es revenue ? Tu veux de nouveau potins ? Oh ! Tu n’es pas seule hihihi. Merlin merci, ses lunettes marchaient. Flo fit un sourire qui ressemblait plus à une grimace, espérant qu'elle avait oublié ses blagues en première année - quoique, il avait tout fait passer sur le dos de Kylian. Rien que d'y penser il voulu se cacher pour rire mais en pensant à la correction qu'il s'était prise ensuite...
Bordel, elle tournait autour de lui Hihi tu n’as pas pris le plus moche hein ? Hihihi oh de me regarde pas comme ça, je m’en vais je m’en vais ! Mais n’oublie pas notre marché héhé ! Il la regarda avec son expression de WTH une fois encore.

Florian ; « Whoah, c'était intense. Je sais enfin ce qu'est une rencontre du troisième genre : tu sais, un truc qui n'est pas masculin, ni féminin et pourtant... » il arrêta son explication « C'est qu'elle ferait peur... Oh et... très bonne idée. De l'eau, des bulles, de la folie avec Geignarde, puis... de la solitude. Tu sais, il manquerait de la musique. Mais, mais je m'en passerai... »
Disait-il en gesticulant des bras en déambulant dans la salle, ouvrant déjà les robinets au hasard. Il leva les yeux sur elle et revint vers elle, enlevant sur le chemin sa veste-cape : faut pas rigoler, elle lui plaisait quand même comme pièce. Il la jeta sur le banc où elle était assise et resta planté devant.

Florian ; Alors qu'est-ce qu'on fait ? On est de propres enfants et on se change ? Je te jette dans l'eau toute habillée sans ménagement ? On inonde la pièce ? » il s'assit d'un coup sur le banc et s'approcha de son oreille « Peu importe, il ne faudra pas oublier ce que tu me dois... » et sur cette courte phrase, il se redressa. « Tu m'excuses, je ne suis pas pudique... »
Il se mit debout et se débarrassa de sa cravate en manquant de s'étrangler encore avec. Puis s'attaqua à sa chemise découvrant avec grande satisfaction son t-shirt d'un de ses groupes de rock favori dessus. Il l'ôta en le faisant tournoyer à bout de bras comme s'il faisait un strip-tease et marcha près du bassin, faisant voler le bout de tissu à l'autre bout de la pièce.

Florian ; En exclusivité, mademoiselle... il imita un roulement de tambours puis se retourna en étendant les bras MOI ! A ne pas rater...
Il lui fit un clin d'oeil en se montrant sous toutes les coutures fièrement bien qu'à part ses tatouages par-ci par-là, il n'y avait encore rien de bien amusant à mettre en avant sauf sa peau, sa peau et sa peau. Après avoir fait le mannequin dans tous les coins, il retira au final son pantalon, s'attardant un bon instant sur la ceinture en faisant le crétin. Le sorcier était désormais en boxer uniquement, déambulant comme ça sans gêne pour finir à la flotte dans un fracas pas possible. Visiblement, il n'y avait pas encore suffisamment d'eau pour l'empêcher de se cogner les genoux au fond après son saut. En sortant la tête de l'eau, de la mousse sur le visage, il grimaça avant de joindre le bord le plus près de l'élève de Serpentard.

Florian ; Alors ton idée était de m'offrir du spectacle j'espère, car j'attends... il sourit un peu en la regardant d'un air enfantin toujours, l'air d'attendre J'ai abandonné ma sœur dans les mains d'un demi-humain, j'espère que ça vaut le coup, tu comprends ?
Il la provoquait un peu bien qu'il n'avait pas de quoi faire le malin à toujours revenir sur sa sœur : il passerait certainement pour un des frères les plus insupportables de l'école - étrangement, ça collait finalement bien au personnage.

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MessageSujet: Re: « Now that you know I'm trapped... » || ft Lea   « Now that you know I'm trapped... » || ft Lea Icon_minitimeDim 25 Sep - 23:03


Je me fiche encore plus du sang que de la moyenne qui s'en fiche, tu vois. J'y connais que dalle. Après, si ça les flatte de copuler entre eux... Faut bien des excuses pour tout et surtout n'importe quoi.

Eléanor esquissa un sourire, elle n’avait jamais douté du fait que Florian se fichait de la provenance du sang des sorciers… De toute façon il se fichait de tout, sauf de sa sœur apparemment, c’est une partie de lui qu’elle était heureuse de connaître, comme quoi il accordait bien de l’importance a quelque chose, enfin quelqu’un. Léa se demanda alors (par pur esprit égoïste et surtout parce qu’il était sans doute plus important pour elle qu’elle ne souhaitait se l’avouer) s’il s’en fichait d’elle ou si elle était importante pour lui, même un tout petit peu… Elle grimaça légèrement lorsqu’elle se rendit compte de ce a quoi elle pensait… Eléanor n’aimait pas l’idée qu’un garçon puisse avoir autant d’importance pour elle… Elle fut vite sortit de ses pensées par son ami :

Alors qu'est-ce qu'on fait ? On est de propres enfants et on se change ? Je te jette dans l'eau toute habillée sans ménagement ? On inonde la pièce ? » il s'assit d'un coup sur le banc et s'approcha de son oreille « Peu importe, il ne faudra pas oublier ce que tu me dois... »et sur cette courte phrase, il se redressa. « Tu m'excuses, je ne suis pas pudique... »

Bonne question… En fait elle avait juste eu l’intuition d’aller ici, elle était sure qu’ils seraient seuls, après… Elle n’avait pas réfléchit au reste, elle ne réfléchissait rarement aux conséquences de ses actes, c’était s’encombrer de détails futiles… Oh et oui… Bien sur qu’elle n’oublierai pas ce qu’elle lui devait, elle n’oubliait rien, jamais…enfin si… souvent, mais quand elle s’en fichait, hors là, elle était loin de s’en ficher. Attend… Comment ça pas pudique ? Elle ecarquilla de grand yeux alors que Florian commençait a se déshabiller, elle haussa les sourcils puis s’adossa a la paroi du mur en étendant les jambes sur le banc, tout en se mordant l’index. Tiens, ils avaient les mêmes gouts musicaux… Tant mieux, elle se voyait mal trainer avec quelqu’un qui écoutait des merdes commerciales, même si, Florian n’avait pas franchement le profil de se genre de fan… Elle suivit le t-shirt des yeux jusqu'à l’autre bout de la pièce puis reporta son attention sur son collègue :


En exclusivité, mademoiselle... il imita un roulement de tambours puis se retourna en étendant les bras MOI ! A ne pas rater...


Oh non ça pour sur qu’elle ne voulait pas le raté… même si elle avait voulu, les yeux de la jeune fille était littéralement scotché sur le corps de Florian, elle se mordit la lèvre inférieur tout en se rasseyant correctement. Elle respira profondément tout en prenant soin de croisé les jambes fermement. Elle détailla avec un plaisir plus que certain le corps qui lui faisait face, elle constata qu’il était tatoué. Comment était-ce possible qu’une seule personne puisse réunir autant de critères de perfection ? Plusieurs étoiles vers le bas de son ventre coté gauche et une phrase de l’autre coté, qu’elle ne pouvait pas lire d’où elle était. Léa tortilla une de ses mèches de cheveux machinalement. Elle tâchait de respirait profondément afin de calmer ce que son corps ressentait a se moment même.

Il fallait absolument qu’elle plonge dans l’eau, son corps atteignait une température relativement indécente, notamment lorsqu’il sortit la tête de l’eau, ruisselant, BON DIEU !

Alors ton idée était de m'offrir du spectacle j'espère, car j'attends...
il sourit un peu en la regardant d'un air enfantin toujours, l'air d'attendre J'ai abandonné ma sœur dans les mains d'un demi-humain, j'espère que ça vaut le coup, tu comprends ?

Elle haussa les sourcils en ouvrant légèrement la bouche, puis eu un petit rire nerveux, c’était simple pour un garçon, surtout quand on avait plusieurs couches de vêtements, mais elle… elle n’avait que sa robe, et ses sous vêtements… Elle s’approcha doucement de son ami et releva doucement la tête du jeune homme avec son index, elle lui chuchota.


-Ce n’était pas mon idée première, parce que, tu vois le spectacle va être court, je n’ai pas grand-chose a part cette robe, c’est le soucis quand on est une fille tu vois…


Elle passa son index et son majeur entre ses seins et ressortit une nouvelle fois sa baguette, elle mis un petit coup sec en direction des robinets, de l’eau et des bulles en sortirent aussitôt, au moins, elle ne s’exploserai pas les genoux en plongeant. Elle se releva et fit quelques pas vers le banc et y posa sa baguette, puis se retourna en prenant un aire de petite fille apeuré.


-Oh mon dieu, votre charme me désarme complètement !

Puis elle rit légèrement, elle fixa un instant les yeux de Florian, puis lui tourna le dos, elle pris la fermeture éclair sur le coté de sa robe entre ses deux doigts et la fit glisser doucement, découvrant une partie de son dos, mais beaucoup moins que ce que l’on aurait pu soupçonner. Elle leva les bras et les croisa derrière sa nuque avant de relever ses cheveux tout en bougeant ses hanches de droites a gauches afin de faire glisser la robe sur son corps, ce qu’elle fit en se faisant prier, comme si, même les vêtements de la jeune fille aimaient embêter les autres et faire languir les garçons. Au fur et à mesure qu’elle glissait, la robe découvrait non pas des sous vêtements basiques, mais un magnifique corset en velours rouge surmonter d’une broderie plus foncée, des baleines noirs sculptait le corps de la jeune fille. Pour finir, de la dentelle noir délimitait le haut et le bas du corset. La jeune fille portait également un shorty et un porte jarretelle assortie, et des bas en résilles, qui, finalement, aux vues de la longueur de la robe ne servaient pas a grand-chose. Mais Léa ne laissait jamais rien au hasard. Elle s’aimait trop pour ça. Elle mis ses mains sur hanches et tourna la tête vers son compagnon en lui décrochant un sourire et un clin d’œil, puis tourna légèrement sur la pointe de son pied droit et fit un petit saut au dessus de sa robe froissée sur le sol.

Spoiler:

-Désolée, ce fut court mais je n’ai que ça sur moi.

Elle tourna une nouvelle fois sur elle-même afin de le laisser profiter du spectacle. Puis elle fit le tour du bassin avant de plonger dedans, elle disparu quelques secondes sous la mousse puis réapparut contre le rebords du bassin collée contre Florian. Heureusement que son maquillage était waterproof, sinon elle ressemblerais a un panda mouillé. L’eau était chaude, de toute évidence ça ne ferais pas baissé la température de son corps (et vu comme elle était collée a Florian rien ne le pourrais), mais au moins, elle camouflerai tout effet qu’il avait sur elle, parfois être une femme avait définitivement du bon ! Elle disparut une nouvelle fois sous l’eau, passa entre les jambes de Florian et réapparut derrière lui et fit quelques longueurs sur le dos, elle adorait l’eau. Elle s’approcha des robinets et les ferma avant de se tourner vers Florian.


-On ne peu pas inonder la pièce, sinon ça va attirer d’autres personnes, je n’ai pas envie de tuer quelqu’un parce qu’il viendra nous déranger, ou de devoir expliquer a un professeur ce que je fou dans une baignoire avec un garçon a moitié nu tu vois ? Donc je ferme tout ça, on inondera cette pièce un autre jour si tu veux.

Elle lui fit un sourire mauvais avec un clin d’œil, oui, ça serait surement très drôle d’inonder cette foutue pièce, juste pour que personne ne la réutilise après eux… Les préfets avaient la belle vie ! Ni une ni deux, elle repris sa place initiale contre le rebord du bassin afin de laisser une illusion de pouvoir a son ami, après tout les garçons aimaient ça, autant lui faire plaisir de la sorte. Elle passa ses bras autour de lui en le ramenant contre elle, difficile d’être plus proche maintenant. Elle s’approcha de son oreille et lui demanda doucement.

-Bon, j’ai trouvé l’idée du lieu, tu trouve l’idée de l’activité ?

Elle plissa légèrement les yeux en penchant la tête sur le coté, tout en entendant son cœur marteler sa poitrine et ses oreilles, elle essayait de respirer le plus doucement possible, mais c’était un exercice qui se releva assez difficile pour la jeune femme peu habituée a ressentir se genre de chose.


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MessageSujet: Re: « Now that you know I'm trapped... » || ft Lea   « Now that you know I'm trapped... » || ft Lea Icon_minitimeJeu 29 Sep - 0:12


« Now that you know I'm trapped... » || ft Lea Tumblr_lqpkyqw9Ps1qkoz3vo1_500


On pouvait le dire agaçant, collant, chiant, impossible et intolérant envers certaines choses, il se fichait bien de tout ça. On lui avait promit d'être payé, d'être relaxé, de s'amuser et on l'avait tiré d'une partie je-te-casse-la-figure-sans-te-toucher avec Mr le cavalier d'une Shadow, il était parfaitement en position d'exiger. Puis, il le faisait gentiment, enfin "gentiment" selon Florian Shadow.
Alors quand elle s'approcha et lui souleva la tête avec son index, il crut que c'était bon, déjà un pas dans cette direction. Bien évidemment, il connaissait le genre de Eleanor Loackter, elle lui semblait bien être des filles qui jouent et font durer les choses... Oui mais un homme, dans l'attente, à moitié nu, dans une piscine, avec une fille plus qu'à son goût sous ses yeux, c'est très faible psychologiquement.

Ce n’était pas mon idée première, parce que, tu vois le spectacle va être court, je n’ai pas grand-chose a part cette robe, c’est le soucis quand on est une fille tu vois…
Oh il ne voyait aucun souci et il l'exprima en secouant subtilement la tête, si bien que c'était presque imperceptible. Il suivit son autre main du regard, se mordant le coin de la lèvre avant de la regarder à nouveau dans les yeux avec un sourire qu'il ne cherchait pas à cacher depuis quelques minutes. Florian ne se préoccupa même pas de l'effet du coup de baguette de la jeune femme et ne trouva qu'à poser les avants bras sur le bord de la piscine quand elle s'éloigna. Il posa sa tête sur ses mains rassemblées en la regardant toujours, tant qu'elle devait presque sentir son regard insistant. Il suivait le moindre de ses gestes. Aussi, une grande impatience le dévora quand elle se retourna Oh mon dieu, votre charme me désarme complètement !
Il aurait bien éclaté de rire mais resta le plus silencieux possible, élevant un sourcil l'air de dire que cela ne l'étonnait pas une seule seconde, pour prendre au mot la verte et argent. Florian baissa la tête en l'entendant éclater de rire mais la releva très vite, un soupçon plus sérieux. Avec le regard qu'elle venait d'envoyer, c'était inévitable et il faut presque heureux d'avoir l'excuse de l'eau pour avoir un peu chaud.
Il se pinça les lèvres en la voyant se retourner à nouveau, il suivit sa fermeture qui tomba et le tissu qui découvrit son dos. Il grogna un peu, sous l'impatience - heureusement qu'elle n'en avait pas trop finalement des vêtements, c'était totalement inutile ces trucs-là selon lui d'un coup - mais ne lâcha le spectacle des yeux. Elle releva sa chevelure d'encre et ondula de droite à gauche ce corps qui se révélait être encore plus intéressant à chaque parcelle de peau révélée en plus... De peau... ou autre tissu... Florian s'impatienta d'un coup, s'agitant un peu puis ramena son pouce et son majeur à sa bouche pour siffler un peu, avant de manifester son impatience en criant un coup comme l'idiot qu'il aimait montrer qu'il était - bien qu'il n'était pas vraiment idiot, juste complètement timbré.
Il avala la salive qui était bloquée dans sa gorge, avant d'ouvrir la bouche un peu sans rien dire pour autant : c'était de la pure provocation. De la provocation qu'il avait cherché, oui, il l'admettait mais ce qu'elle portait défiait les lois même du fairplay selon les Shadows (mâles). Etait-ce seulement autorisé à Poudlard ? Ha ! La tête des professeurs s'ils tombaient sur ça, la McGonagall en perdrait sa coiffe ! Mais il était loin de se préoccuper de ça et peut-être qu'il serait un jour capable d'en débattre sérieusement mais certainement pas à cet instant. Le clin d’œil qu'elle lui envoya finit par réveiller son sourire canaille. D'accord, quand est-ce qu'ils nageaient ? Voilà sa pensée... Diabolique, jusqu'au choix de la couleur même du corset... Les portes-jarretelles, le shorty et les bas résilles. Était-elle toujours parée ?

Désolée, ce fut court mais je n’ai que ça sur moi. Il leva des yeux un peu hébété avant de faire une moue en secouant la tête pour assurer que ça allait parfaitement comme ça. En fait, plus longtemps et il serait sortit de l'eau pour l'y tirer ou la pousser à l'eau sans ménagement avant d'y sauter. L'idée était plus que séduisante d'ailleurs mais Eleanor venait de sauter à la flotte avec bien plus de classe que lui avec son attitude de Peter Pan et les indiens ! Il était déjà prêt à joindre le centre du bain quand elle réapparut contre lui : encore mieux, elle lisait divinement bien dans les pensées. Il inspira profondément, une énième fois, pour tenter vainement de se contrôler, son torse gonfla incroyablement, si bien qu'elle a du le sentir sans le moindre doute. Tant pis, soit elle comprenait, soit elle croyait qu'il faisait le gorille !
Le Shadow allait passer un bras autour d'elle quand elle s'éclipsa. Vous savez, un peu à la façon de clochette - au moins, Léa n'était pas blonde car Florian et les blondes... Bref ! Elle venait de réapparaitre près des robinets et il éleva un sourcil perplexe en la voyant fermer les robinets. On ne peu pas inonder la pièce, sinon ça va attirer d’autres personnes, je n’ai pas envie de tuer quelqu’un parce qu’il viendra nous déranger, ou de devoir expliquer a un professeur ce que je fou dans une baignoire avec un garçon a moitié nu tu vois ? Donc je ferme tout ça, on inondera cette pièce un autre jour si tu veux. Inonder... la pièce ? A mais oui, c'est vrai que c'était un de ses projets à la base. Il étouffa un râle à ça : mince, il n'y pensait même plus, il serait très sage, mais il fallait vraiment qu'elle arrête de le faire tourner en bourrique. Surtout qu'elle marquait un point avec l'histoire tue-l'amour des professeurs ou, pire, de Rusard qui débarqueraient... Il finit par faire une petite moue : pas d'objections.

Florian ; Je suis un homme faible, je vous obéirai sagement !
Fit-il avec un air de victime, ce qui n'était pas difficile avec ses yeux brillants. Mais ses paroles sonnaient affreusement faux. Ceci dit, il nota : inonder la pièce, partir avant de se faire prendre et regarder ceux qui devraient nettoyer ; à faire plus tard, si possible avec sa nouvelle camarade de jeux.
Il la laissa approcher à nouveau avec un sourire accueillant, ravi de l'initiative et l'attrapant directement par les hanches sans grandes hésitations en la collant plus contre lui et regardant encore sa "tenue" avant de bloquer son regard sur le fond de salle quand elle lui chuchota à l'oreille Bon, j’ai trouvé l’idée du lieu, tu trouve l’idée de l’activité ? Il ricana un peu en tournant la tête vers elle pour la regarder en élevant les sourcils. Il serra sa prise autour de sa taille légèrement pour la soulever - facile dans l'eau, bien qu'il ne pensait pas que ce serait un problème hors, c'était parfois un boulet mais pas à ce point - et la plaquer convenablement contre le rebord. Florian approcha son visage du sien et planta ses yeux dans les siens, son sourire de renard sur les lèvres.

Florian ; Je pourrais te trouver mille trucs à cet instant, plus débiles les uns que les autres, et je suis certain que je trouverais un moyen de te faire apprécier... mais...
Il avait chuchoté ça en faisant la navette entre ses yeux et ses lèvres doucement, son nez touchant le sien alors que son souffle était toujours profond pour se maintenir un peu. Le sorcier recula sa tête, incroyablement sérieux et délivra d'un bras la taille de la brune pour l'appuyer au bord.

Florian ; ...comme je suis un faible garçon... il cligna innocemment des yeux avant de sourire à nouveau ... je me suis laissé influencé par de très mauvaises idées. Comme...
Il s'était à nouveau rapproché de son visage, lentement, donnant l'air de réfléchir à ce qui se tramait dans sa tête mais pas grand-chose s'y passait. Son corps était bien trop prenant comme chose à gérer : la salive qui passe mal, les pulsions qu'il fallait retenir par fierté et jeu, la chaleur intenable, le souffle ingérable et insuffisant, sans compter son unique vêtement qui était gênant pour les émotions du jeune homme... non, ce qui se passait dans sa tête ressemblait à un vide en comparaison.

Florian ; ...par exemple, quelque chose comme ça...
Il prit d'un coup possession de ses lèvres, sans que ce soit brutal mais direct. Il la plaquait d'ailleurs si c'était possible plus contre le bord, autre moyen de se coller à elle le plus possible. Depuis le petit jeu avec sa clope, il en avait terriblement eut envie de ces lèvres qui savaient jouer un jeu dangereux. Mais il ne fit pas durer la chose : elle le torturait, il ne lui accorderait pas le répit facilement non plus. Il sourit comme un angelot.

Florian ; Ce n'était qu'une idée, quoique, comme...
Il planta un baiser sur ses lèvres, puis sur sa mâchoire, il descendit dans son cou, en planta quelques-uns ça et là avant de ricaner contre sa peau en disant "mais ce n'est qu'une idée". Cela ne l'amusait pas vraiment, au contraire mais impossible de s'arrêter dans son idée : il ne savait faire que ça, embêter le monde après tout.
Son bras libre d'action joua avec certaines coutures émergentes du corset avant de finalement caresser la peau de son épaule dans le même élan, très concentré. Florian se mordit les lèvres sans la regarder encore.

Florian ; J'ai des tonnes d'idées...
Avait-il sortit dans le vide avant de lui faire face réellement à nouveau. Son air sarcastique et taquin avait doucement fané sur ses traits laissant enfin apparaitre à nouveau du sérieux. Il resta quelques secondes comme ça, sa main libre descendant le long du corset jusque sa cuisse. Il n'en fit rien d'abord, étant enfin sérieux, et clôtura enfin de nouveau l'espace entre leurs lèvres. D'abord doucement mais très vite, il se retrouvait à apprécier le goût de ses lèvres jusqu'à littéralement les dévorer et allant au toupet pour insérer sa langue usant de son autre main. Son sourire espiègle était déjà de retour dans leur échange alors qu'il se séparait, quelques temps après, de sa bouche pour reprendre le chemin de son cou, agrippant la jambe de la Serpentard et la levant légèrement contre sa propre cuisse jusqu'à son bassin. Si sa peau était mangeable, il n'en resterait probablement pas grand-chose tant il mettait d'ardeur déjà.
Eleanor Loackter pouvait complètement oublier de vouloir partir, plus maintenant vu les conséquences dans le boxer du Poufsouffle dont elle était la cause.

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MessageSujet: Re: « Now that you know I'm trapped... » || ft Lea   « Now that you know I'm trapped... » || ft Lea Icon_minitimeDim 2 Oct - 22:35


Les hommes sont des êtres faibles, oh oui ils sont terriblement faibles et a la merci de leur pulsion… Elle avait longtemps exploité cette faiblesse pour obtenir d’eux ce qu’elle voulait, des biens matériels essentiellement (en toute femme vénale qu’elle était). Promettre, obtenir, ne pas tenir sa promesse, c’était aussi simple que ça, toujours le même processus, ils marchaient tous, sans exception. Elle était a chaque fois surprise par leur naïveté et par le fait que sa réputation « d’allumeuse » n’avait absolument pas fait le tour de poudlard ses victimes avaient elles trop honte pour oser en parler ?

Toujours était il qu’a l’instant présent, lorsque Florian avait poser ses mains sur ses hanches pour la coller d’avantage contre lui, Eléanor avait distinctement sentit un incendie se rependre dans son bas ventre, convaincue qu’elle aurait pris feu si elle n’était pas actuellement dans l’eau.


-Je pourrais te trouver mille trucs à cet instant, plus débiles les uns que les autres, et je suis certain que je trouverais un moyen de te faire apprécier... mais...

Si elle n’avait pas eu autant de mal a retrouver son calme et a comprendre ce qu’il se passait actuellement a l’intérieur d’elle, Léa aurait sans doute trouver quelque chose de marrant a répondre, comme d’habitude, mais elle avait déjà du mal a écouter ce qu’il lui disais, elle essayait de comprendre ce qu’il lui arrivait. Leur nez était collé et elle sentait son souffle contre elle, ce qui n’arrangeais rien au processus qui c’était mis en place dans son corps. Il appuya un de ses bras contre le bord du bassin tout en tenant la jeune fille de l’autre.

..comme je suis un faible garçon... je me suis laissé influencé par de très mauvaises idées. Comme...il c’était approché d’avantage, ...par exemple, quelque chose comme ça...


Sans crier gare (bon un peu quand même) il posa ses lèvres sur les siennes, elle les accueillit bien volontiers, elle n’attendais que ça depuis pas mal de semaines en réalité. Depuis la fois où ils c’étaient cachés dans un placard exigue, pour échappé a Rusard qui n’avait pas apprécié qu’on teigne miss teigne en jaune canarie (pourtant ça lui allait bien), ils c’étaient retrouvés collé l’un à l’autre sans alternative, pendant plusieurs minutes. A ce moment là elle avait eu terriblement envie de l’embrasser mais n’en avait rien fait par simple pudeur. Et aujourd’hui elle regrettait amèrement cette pudeur là. Il se retira et la regarda d’un air angélique, si elle ne se sentait prise au piège elle l’aurait littéralement dévoré.


Ce n'était qu'une idée, quoique, comme...

Et il repris ses baisés, un sur sa bouche d’abord avant de descendre progressivement dans son cou, elle fut prise de frisson incontrôlable (qu’elle aurait pourtant aimé pouvoir contrôler), elle se laissa toucher sans réclamation quelconque, elle s’électrisa totalement quand il commença a jouer et a remonter le long des coutures de son corset avant d’arriver a son épaule. Pour une raison qu’elle ignorait, il avait du mal a la regarder, pourtant il avait l’air sérieux, tellement sérieux, Léa avait du mal a croire qu’il pouvait l’être autant, surtout dans ce genre de situation. Elle l’aurait plutôt imaginé faire des remarques sarcastiques dont il avait le secret, notamment sur son absence de réaction, c’était peut être sa manière a lui de lui signifier son intérêt pour elle. C’est ce qu’elle espérait au fond d’elle.

Il agrippa sa cuisse et la tira contre la sienne, elle compris alors toute l’ampleur de ce qu’elle faisait a Florian, et ça n’était pas pour lui déplaire. Elle sembla alors s’animer, comme si elle sortait d’un agréable coma. Léa fronça légèrement les sourcils et un rictus se dessina le long de ses lèvres. Elle laissa a Florian le loisir de jouer avec son cou alors que d’une impulsion de la pointe de ses pieds elle se mit entoura Florian de ses cuisses, elle était en suspension dans l’eau, elle saisit alors la main de Florian sur sa cuisse et la fit glisser le long pour la placer sur l’arrière de son shorty afin qu’il puisse la soutenir. Elle plaça ses bras autour de son coup afin de s’appuyer également. L’eau la soutenait largement mais elle n’allait pas se priver d’avantage de contact physique avec Florian.
Alors qu’il s’occupait de son cou, elle en profita pour faire jouer sa langue le long du lobe de l’oreille du jeune homme. Elle y pris gout si bien qu’elle n’hésita pas a le mordiller allégrement.

Eléanor avait fait beaucoup de chose dans sa courte vie (16 ans c’est pas le bout du monde) mais ça…non, enfin jamais jusqu'au point que Florian comptait visiblement atteindre. Sa condition de femme lui permettant de réfléchir et d’agir en même temps, elle y réfléchit alors que le gout de la bouche (et de la langue) du jeune homme commençait a lui manquer. Elle décida de remédier a cela en allant chercher ses lèvres. Elle en pris rapidement possession tout en faisant glisser doucement (pour ne pas lui faire trop mal quand même) certains de ses ongles le long de son dos. Alors qu’elle jouait avec un plaisir certain avec la langue de son compagnon elle se rendit compte que l’incendie qui se développait en son sein avait un caractère humide qui n’avait strictement rien a voir avec l’eau qui les entourait. Ca par contre, elle connaissait. Elle décida alors que son corset était trop serré pour elle, elle dégrafa alors les quatre agrafes situées au niveaux de son ventre, ok, c’était aussi par provocation. Mais c’était ça façon d’être

Léa ignorait si elle devait faire par de son expérience partielle concernant la chose où si elle devait garder ça pour elle. April ne lui avait jamais dis… comment expliquer ça. Elle lui avait appris le reste mais ça… Non, elle ne pouvait pas lui faire ça. Elle se fichait du reste, des autres et de tout ce qui pouvait composer cette terre. Seulement Florian. Elle déglutit puis se pétrifia. Ayant du mal a comprendre elle même ce que ça signifiait, non, elle comprenait, mais elle refusait tout en bloc depuis un moment. Les sarcasmes d’Amanda, la méfiance de Nemesis et le sourire bienveillant d’April.

Elle relâcha ses cuisse autour de Florian et tomba naturellement sur la pointe de ses pieds au fond du bassin, sans même se rendre compte de l’expression qui se dessinait sur son visage. Son sourire si naturel avait fané et ses yeux ne brillaient plus du tout. Elle n’était pas triste pour autant, son visage exprimait la mélancolie, la peur et un léger bonheur en prime. Elle ignorait qu’on pouvait ressentir ce genre de chose, enfin, qu’elle pouvait. Comment vouliez vous qu’elle sache ? Ces deux meilleures amies étaient des handicapées sentimentales !

Elle s’éloigna doucement en lui tourna le dos et se mordit l’index, elle n’avait jamais voulu poser de mot sur ce qu’elle ressentait, par pur orgueil et parce que Florian était l’être le plus complexe qu’elle connaissait. S’ il n’y avait pas eu sa petite sœur, elle se serait demandé s’il était capable de ressentir autre chose que de l’autosatisfaction. Elle c’était posé la même question sur elle-même quelques années auparavant, et elle avait la réponse aujourd’hui alors qu’elle y réfléchissait. Peut être n’y avait il juste pas réfléchit.

Elle se tourna enfin vers lui et tâcha de s’exprimer le mieux qu’elle put, elle n’était juste pas habituée à ça et ne savait pas faire. Elle évita d’abord soigneusement de le regardé trouvant un fulgurant interet aux robinets sur sa droite.


-Flo… Je suis désolée…


Elle décida alors que s’il l’a faisait souffrir, elle enverrait Nemesis s’occuper de lui. Elle prit une profonde inspiration et décida de lui faire finalement face.

-Je n’y ai jamais pensé jusque là, enfin je n’ai jamais voulu y penser. Je t’ai toujours considérer comme une personne a part, sans –vouloir- me rendre compte jusqu'à quel point je te mettait a part. Si ça n’avait pas été le cas, crois moi je t’aurais fait des tas de promesses pour te soutirer des tas de choses, sans jamais tenir mes promesses. Et maintenant que je me rend compte que je ne t’ai rien promis, mais que je vais quand même jusque là… Que j’y réfléchit. On a fait des tas de saloperie aux autres ensemble, on a vraiment été immondes parfois -mais c’était vachement drôle quand même-, mais en fait, il y a certains point que l’on ignore totalement. Par exemple, je ne sais même pas ce que tu pense de moi, ce que tu ressens. Et je…Je refuse d’être une fille parmi tant d’autre.

Elle s’arrêta pour respirer un peu, elle qui, il y a quelques minutes avait terriblement chaud, était maintenant glacée et en tremblait légèrement, pourtant l’eau du bain était toujours agréablement tiède.

-Je ne pense pas pouvoir non plus me contenter d’être une amie, même si c'est une amie avec qui tu pourris la vie des autres. Désolée si ça te fait flipper, ou quoi que ça soit. Mais je suis incapable de mentir ou de garder ce genre de trucs pour moi… Je… viens de m’en rendre compte en fait. Parce que je n’ai jamais dis, ressentit, ça pour quelqu’un d’autre.


Elle ferma les yeux et poussa un soupir de soulagement, elle sentait plus légère…Et puis elle revint a la réalité… Vous savez, la réalité qui se casse en vacance un moment pis qui reviens rapidement avec ses bagages et tous les beaux souvenirs qu’elle a ramener pour vous ? Ouais bah elle. Les joues de Léa se colorèrent rapidement en rose et elle voulut disparaitre sous l’eau mais ce rendit compte qu’elle était paralyser, alors elle ne put rien faire d’autre que de regarder Florian non sens appréhension.

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MessageSujet: Re: « Now that you know I'm trapped... » || ft Lea   « Now that you know I'm trapped... » || ft Lea Icon_minitimeLun 10 Oct - 7:24


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Je déconne en permanence... pensa-t-il. C'était vrai. Il prenait toujours tout sarcastiquement, ironiquement ou à la « je-m'en-fous ». Pourtant parfois, ça devait bien être faux. Pour Roxane, ça l'était par exemple. Mais ça, Florian ne s'en cachait pas du tout, tout le monde savait qu'à ce sujet, non, Florian ne plaisantait pas du tout. Il ne se fichait pas une seule secondes des affrontements extérieurs à Poudlard, encore moins les groupes « politiques » qui se formaient toujours même après cette guerre de... Lui-même était au cœur de tout ça. Mais si même le Shadow je-m'en-foutiste s'en mêlait, cela attirerait trop l'attention. Flo ne faisant jamais rien normalement. Il ne se fichait pas de l'assiette qui était devant ses yeux matin, midi et soir. Il ne se fichait pas une seule seconde du cours de Potions en réalité, ni d'aucun cours – quoique – mais aimait afficher qu'il se fichait pas mal des professeurs méprisables qu'il devait supporter. Après tout, eux aussi ne sont que de simples hommes mortels – et nous savons tous que Florian Zachary Raphaël Shadow est immortel lui ! Sérieusement, il s'intéressait de plus en plus à l'alchimie en plus de ça...
Et il ne se fichait pas de Eleanor Loackter. Peu importe combien c'était agaçant d'admettre qu'une personne autre qu'un(e) Shadow puisse l'intéresser un tant soit peu, c'était bel et bien la réalité. Une idée trottait dans sa tête ? Allons en parler à Loackter ! Que pensait-elle de telle ou telle chose ? Jusqu'où irait-elle ou n'irait-elle pas ? Il ne réfléchissait pas encore sérieusement à tout ça, surtout pas dans la condition actuelle, mais ça lui arrivait sans qu'il ne s'en aperçoive réellement. Florian avait l'habitude de simplement laisser aller les choses, trouvant qu'elles trouvaient bien mieux leur place que lui ne les trouverait pour elles. Le paramètre qu'il oubliait, c'est qu'avec les gens, c'était différent d'avec les objets. Si certains objets avaient une volonté réelle, qui s'en préoccupait ? C'était bien pour embêter leur monde. Mais les gens avaient des sentiments, une vie, une histoire, une vraie volonté et parfois bien plus que lui n'en avait, surtout au sujet de la conscience. Il se disait toujours « on verra ça après », même à ce moment-là. Tant avait-il l'habitude de vivre l'instant présent, sachant que trop bien que la vie de quelqu'un pouvait lui être retirée à n'importe quel moment. Même devant cette idée, Florian ne ressentait plus grand-chose. Il voulait juste éviter cette peine à sa sœur, trop jeune, trop innocente, trop sauvable en d'autres termes inventés par ses soins. Elle était récupérable elle. Mais la mort chez les autres ou chez lui, c'était une belle plaisanterie que de s'en inquiéter mais aussi d'ignorer son existence. Alors lui, avait conclu que le meilleur moyen d'aborder la chose était de vivre sur le moment et se poser les questions dans les moments « morts ». C'était pour cette raison que lui n'avait aucun mal à se laisser aller, rien à voir avec sa belle théorie du « je suis un gars, j'ai un poids entre les jambes qui pèse quand même pas mal ». Non, des hommes ne pensaient pas que par ça. Certains avaient plus de scrupules à ce sujet que les filles et ils n'étaient pas gays forcément. C'était facile pour lui de vivre comme ça.

Alors si au début, le fait qu'elle se décale de lui lui avait mit une sacré claque, ça avait eu pour bons résultats – quoique douloureux et laborieux – que de le faire réfléchir avant de déconner une fois de plus. Si il était si certain de traiter bien la fille de Serpentard, peut-être devrait-il lui accorder l'honneur d'une pensée avant d'agir. Il la regarda avec un air perdu, ou plutôt comme si elle lui avait mit la tête sous l'eau et qu'il venait d'en ressortir. Le Poufsouffle se gratta la tête un peu incertain de ce qu'il se passait mais ne dit rien, une moue paumée imprimée sur ses traits. Il avait fait quelque chose de mal encore ? Ou il ne captait vraiment rien ? Il ricana presque en la voyant se retourner vers lui sans même le regarder. Eleanor Loackter aurait presque paru être timide à ce moment-là et même si le moment était mal choisit pour une petite part de lui-même, il n'était pas triste de rater ça.

Flo… Je suis désolée… Il fronça les sourcils, déjà prêt à répondre que ça allait mais il la laissa poursuivre, curieux de savoir ce qui la préoccupait tant. Je veux dire, faut avoir vraiment un poids sur la conscience pour s'arrêter d'un coup comme ça, bordel ! s'exclama-t-il dans sa tête encore un peu embrumée. Je n’y ai jamais pensé jusque là, enfin je n’ai jamais voulu y penser. Je t’ai toujours considérer comme une personne a part, sans –vouloir- me rendre compte jusqu'à quel point je te mettait a part. Si ça n’avait pas été le cas, crois moi je t’aurais fait des tas de promesses pour te soutirer des tas de choses, sans jamais tenir mes promesses. Et maintenant que je me rend compte que je ne t’ai rien promis, mais que je vais quand même jusque là… Que j’y réfléchit. On a fait des tas de saloperie aux autres ensemble, on a vraiment été immondes parfois -mais c’était vachement drôle quand même-, mais en fait, il y a certains point que l’on ignore totalement. Par exemple, je ne sais même pas ce que tu pense de moi, ce que tu ressens. Et je…Je refuse d’être une fille parmi tant d’autre. Il en aurait jurée, Flo était très concentré, sur chaque mot, mais ça allait vachement vite pour lui. Quelques secondes passèrent ou il hocha imperceptiblement la tête, encaissant encore les dernières phrases. C'est bien ce qu'il pensait au final. Elle méritait certainement un peu plus d'intérêt qu'une vulgaire Miranda. Enfin, l'intérêt du Shadow, Lea l'avait totalement – ce qui en soit représentait un miracle qu'il ne mesurait pas, ni ne réalisait bien encore – mais surtout un traitement plus classe était alors peut-être plus approprié qu'une autre personne. Il le comprit un peu avant d'entendre sa dernière phrase. Il soupira, concluant qu'il allait devoir être sérieux.

Je ne pense pas pouvoir non plus me contenter d’être une amie, même si c'est une amie avec qui tu pourris la vie des autres. Désolée si ça te fait flipper, ou quoi que ça soit. Mais je suis incapable de mentir ou de garder ce genre de trucs pour moi… Je… viens de m’en rendre compte en fait. Parce que je n’ai jamais dis, ressentit, ça pour quelqu’un d’autre. Il avait ricané un peu quant au passage du 'désolée si ça te fait flipper'. Non, ça ne le faisait pas flipper. Jamais n'était-il juste arrivé à un degré tel de sérieux avec qui que ce soit. Et pour tout avouer, vu leur relation à la base, on aurait pensé que ça serait passé ou ça aurait cassé, mais certainement pas que ça passe jusque-là. Allons, qui sauverait l'un de l'autre ? Aucun, mais lequel avait envie d'être sauvé de toutes les façons ? Non, s'il avait été charmé au premier coup d'oeil, rien ne lui avait indiqué par la suite qu'il pourrait atteindre un tel niveau de complicité et encore moins d'intimité. Et on parle d'intimité au sens large, pas au sens de fricoter – la notion d'intimité dans ce cas-là était très altérée chez le garçons aux boucles, actuellement, mouillées et lisses.

    Florian ; « Bon, on va commencer par ça : tu ne me fais pas flipper. Tu n'es pas collante façon Geignarde – Pardon le fantôme si tu m'entends, t'es intéressante hein – puis on parle là seulement non ? Tu ne me demandes pas de te passer la bague au doigt sans réfléchir. »

Il se massait un peu plus durement le cou, cherchant un moyen de répondre à tout ça. Par où continuer maintenant. Pourquoi prenait-il tant de pincettes ? Il se sentit presque hypocrite à surveiller ses paroles. Florian roula des yeux et hocha finalement la tête.

    Florian ; « Écoute, même si j'en ai pas l'air, je ne veux pas jouer avec toi. Ni même te faire du mal, sinon je t'assure que tu serais déjà au courant. Je ne suis pas hypocrite – enfin je crois. Après, il paraît que ce genre de choses ça se prouve donc je pourrais te dire ce que je veux, j'ai aucun moyen de t'en assurer. Faudra me faire confiance – et oui, c'est la merde, hein ? »

Il ricana avant de fermer les yeux pour s'avancer vers elle, la contourner et se poser derrière elle. Il appuya ses deux mains sur ses épaules et ne dit rien un instant : c'était difficile de se concentrer pour évacuer l'inutile de la conversation et dans sa tête quand elle habillée de la sorte.

    Florian ; « Je vais te parler comme si je me préoccupais des histoires de cœur de Roxane car ça fait trop bizarre... Tu sais... d'être sérieux... dans ces conditions... Bordel. Donc. Tu t'inquiètes de ce que je pense et ressens. Et bien, sachant que je fous des neuf dixième du château, je crois que tu es une femme non seulement étonnante mais... importante. Intéressante. Mais je ne t'apprends rien je crois. Après... ce que je ressens... Je ne suis pas le plus doué avec ces trucs là, hein. Il me faut du temps pour apprendre, mais maintenant, si je devais dire ça avec la plus grande immaturité du monde, je dirais que je t'aime bien. »

Il fit une moue approbatrice qu'elle ne verrait probablement pas. Il regardait lui-même dans le vide devant, les mains toujours sur ses épaules.

    Florian ; « On aurait peut-être dû partir de là. J'aurais dû lancer le sujet plutôt que de te laisser le faire... Je suis un peu immature comme ça parfois. Bref. J'ai pas envie que ça aille mal entre toi, moi. Nous deux. Ce serait dommage de gâcher une alliance pareille, les gens seraient trop contents et moi, ça me rendrait aigrit. Une fois que quelque chose rentre dans mes habitudes de vie, je ne les laisse pas sortir facilement. »

Cette dernière phrase clarifiait selon lui un peu plus les choses mais du coup l'intensité de ses réflexions le mettait presque mal à l'aise. Il n'avait pas l'habitude de partager ce côté de lui-même, il lui était réservé pour des sujets importants. A la limite, Damian et Mickaëlian y avait le droit, à force de le surprendre dans ses pensées mais sinon...

    Florian ; « Bon, mon cerveau et mon corps vont exploser ! On fait couler cette salle de bains ? Tu sais, histoire d'avoir plus confiance l'un en l'autre. Puis après on ira boire un verre le lendemain en parlant de nos vies pitoyables mais intéressantes. Pour se connaitre et s'adorer - sauf si tu fuis mais je serais contraint d'acheter ton silence dans ce cas et on sera bien obligés de rester en contact tu vois. Enfin, ce genre de choses en d'autres termes... »

Il avait posé sa tête sur son épaule en surélevant les sourcils avant de chuchotter "Mais ne t'inquiète pas, je n'oublierais pas ce qu'il s'est passé ici. Nous avons des dettes à rembourser, ma vipère."

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MessageSujet: Re: « Now that you know I'm trapped... » || ft Lea   « Now that you know I'm trapped... » || ft Lea Icon_minitimeMar 11 Oct - 9:32


Eléanor imaginait plus que bien la tête que ses amies auraient pu faire si elles l’avaient entendu dire des trucs pareils, pour une fois, elles auraient eu une réaction similaire, un teint blafard, la bouche a moitié ouverte comme pour dire “ma pauvre fille tu t’es perdue”. Ce qui était totalement le cas, mais ça faisait longtemps, et ça elle venait juste de s’en rendre compte. Tant qu’on ne c’est pas rendu compte que ça faisait trois fois qu’on passait devant le même rocher en forme de tortue, on ne se rendait pas compte que l’on était perdue. Pour Léa c’était pareil, tant qu’elle ne c’était pas rendu compte de ses sentiments, si on lui avait demandé, elle aurait répondu quelques heures plus tôt que Florian était un ami, comme Drago, enfin non, pas comme Drago, plus proche quand même entre Drago et Nemesis par exemple. Sauf que ça n’était absolument pas le cas, si elle n’arrivait pas à définir ça, si Amanda avait manqué de s’étrangler quand elle avait déclaré que Florian était juste un « ami » c’est que c’était loin d’être ça.

Des sentiments elle en avait, a l’intérieur, elle était humaine après tout, elle en avait toujours eu, amitié, amour pour ses parents… C’était une chose, les exprimer s’en était une autre, qu’elle n’avait jamais expérimenté jusque là. Elle était surprise de voir a quelle point elle pouvait parler de tout ça sans sortir une seule blague foireuse. Fin bref, elle n’était pas à l’aise avec ses choses là, en tant que fille c’était sans doute plus simple que pour Florian. Il avait manifestement du mal a s’exprimer, elle ne pouvait pas lui jeter a pierre, mais elle tremblait légèrement quand même, elle ne savait pas si cela venait du froid, de la peur de ce qu’il allait lui dire ou tout simplement du trop plein d’émotion qu’elle ressentait.


Bon, on va commencer par ça : tu ne me fais pas flipper. Tu n'es pas collante façon Geignarde – Pardon le fantôme si tu m'entends, t'es intéressante hein – puis on parle là seulement non ? Tu ne me demandes pas de te passer la bague au doigt sans réfléchir.

Elle eut un petit sourire, oui, non, elle ne lui demandait pas ça, s’il l’avait fait c’était elle qui aurait flippé… Mais elle connaissait un bon paquet de garçon qui flippait dès qu’une fille leur exprimait ses sentiments, ils partaient en courant. Mais Florian était très différent de toute façon sur beaucoup de plan.

Écoute, même si j'en ai pas l'air, je ne veux pas jouer avec toi. Ni même te faire du mal, sinon je t'assure que tu serais déjà au courant. Je ne suis pas hypocrite – enfin je crois. Après, il paraît que ce genre de choses ça se prouve donc je pourrais te dire ce que je veux, j'ai aucun moyen de t'en assurer. Faudra me faire confiance – et oui, c'est la merde, hein ?

Elle eut un petit sourire en penchant légèrement la tête sur la droite, elle lui faisait déjà confiance, le fait qu’elle se livre a lui ainsi en était une preuve… Il aurait fallut que Nemesis entendent ça, depuis le temps que Léa lui répétait que Florian ne lui ferai pas de mal… Ou alors il allait fortement le regretter. Mais oui, s’il se fichait d’elle, elle l’aurait remarqué…il l’aurait regretté et ils se seraient pourrit la vie tout le restant de l’année… Génial...

Léa le suivit du regard, alors qu’il avait lui-même les yeux fermé en la contournant, elle sursauta un peu lorsqu’il posa ses mains sur ses épaules, mais elle ne bougea pas d’avantage et ferma également les yeux en écoutant la respiration de Florian, cette fois elle était à peu près régulière, ça l’a calma étrangement, un peu comme un enfant qui se faisait bercer.

Je vais te parler comme si je me préoccupais des histoires de cœur de Roxane car ça fait trop bizarre... Tu sais... d'être sérieux... dans ces conditions... Bordel.
Roxane… Elle aimait bien cette gamine, sans la connaitre, mais la manière dont il parlait d’elle, lui donnait envie de la connaitre. Eléanor hocha la tête, oui, c’était étrange de parler comme ça, mais c’était sans doute plus parce qu’ils n’avaient jamais eu l’occasion de discuter sérieusement auparavant, faire des saloperies aux autres oui, discuter d’eux même non. C’était d’ailleurs curieux quand on connaissait leur amour propre… Ou peut être pas tant que ça, une volonté de vouloir se montrer invincible à l’autre. Désirabilité sociale…

Donc. Tu t'inquiètes de ce que je pense et ressens. Et bien, sachant que je fous des neuf dixième du château, je crois que tu es une femme non seulement étonnante mais... importante. Intéressante. Mais je ne t'apprends rien je crois.

Elle rougit légèrement, oui tout ça elle le savait effectivement, mais le fait qu’il le dise marquait une toute autre importance pour elle, c’était une chose de se le dire, de le savoir. Ca en était une autre de se l’entendre dire.

Après... ce que je ressens... Je ne suis pas le plus doué avec ces trucs là, hein. Il me faut du temps pour apprendre, mais maintenant, si je devais dire ça avec la plus grande immaturité du monde, je dirais que je t'aime bien.

Eléanor ouvrit les yeux soudainement, elle ne lui en demandait pas tant, mais ça lui faisait plaisir, notamment parce qu’elle imaginait très bien l’effort, qu’il devait faire pour pouvoir sortir ça. Elle ne faisait pas partie de ses filles qui avaient constamment besoin d’être rassurée sur les sentiments des autres. C’était dur de formuler ce genre de chose, elle le savait puisqu’elle-même en était incapable.

Bon, mon cerveau et mon corps vont exploser ! On fait couler cette salle de bains ? Tu sais, histoire d'avoir plus confiance l'un en l'autre. Puis après on ira boire un verre le lendemain en parlant de nos vies pitoyables mais intéressantes. Pour se connaitre et s'adorer - sauf si tu fuis mais je serais contraint d'acheter ton silence dans ce cas et on sera bien obligés de rester en contact tu vois. Enfin, ce genre de choses en d'autres termes..


Léa plissa les yeux, la perspective d’être achetée avait toujours été séduisante dans son esprit, mais elle n’avait pas spécialement envie de fuir ou de dévoiler a quiconque ce qu’il venait de lui dire, peut être à ses amies, mais personne d’autre… Il posa sa tête sur son épaule.


Mais ne t'inquiète pas, je n'oublierais pas ce qu'il s'est passé ici. Nous avons des dettes à rembourser, ma vipère.

Oh, elle ne s’inquiétait pas, c’était le genre de trucs difficile à oublier et s’il oubliait, elle saurait le lui rappeler. Elle lui répondit en faisant le bruit d’un serpent avec sa langue tout en se retournant pour lui faire face. Elle hocha la tête et posa ses mains sur son torse.

-Merci, je ne t’en demandais pas tant, je sais ce que ça te coute de dire ce genre de chose, et que tu ne ferais pas ce genre d’effort pour n’importe qui. Et même si la perspective de me faire achetée est séduisante, elle l’est moins que celle de rester avec toi et de pourrir la vie des autres… elle eut un petit rire, les pauvres…ils n’ont encore rien vu…

Elle se mit sur la pointe des pieds pour l’embrasser, différemment, il ne s’agissait plus d’un jeu, ou d’une pulsion incontrôlable comme quelques minutes auparavant. C’était d’avantage sincère.

Oui, ils allaient foutre cette salle de bain dans un sale état pour sure… Mais après elle ne pourrait pas rentrer dans son dortoir, elle était trop éloignée des cachots et risquait de croiser un professeur, elle ne voulait pas s’attirer plus d’ennui. De toute évidence Mc Gonagal l’avait vu mettre le bazar avec Florian au bal, si l’un se faisait prendre, l’autre suivrait. Elle se détacha de ses lèvres et dit avec un grand sourire.


-Ouais, ruinons cette salle, comme il faut hein, je veux dire, ça serait trop simple, il suffirait qu’un prof arrive et il ferait disparaitre toute l’eau, c’est nul ! Non il faudrait un truc encore pire ! Où qui corserait la chose tu vois… Mmmmh… Une fois, les jumeaux Weasley avaient foutus une sorte de vase visqueuse sur le sol d’un couloir…Pour embêter Ombrage je crois… Moi elle me foutait la paix… Mais je n’aimais pas sa tête enfin bon… On pourrait s’en inspirer… Mais faire mieux… Bien sur… Oh ! Si je rependais du Wisky sur le sol, et qu’on utilisait un amplificatum… La salle serait rempli de Wisky et peut être que les professeurs pourrait enlever le liquide rapidement mais…pour l’odeur ça risque d’être plus délicat… Bien sur on scellera la porte pour que ça soit plus drôle… et on effacera nos traces… C’est toujours jouissif quand tout le monde sait ce que tu as fait mais que personne ne peu le prouver…

Elle échappa un petit rire, fière de sa trouvaille, remplir Poudlard d’une odeur de Wisky, c’était assez ignoble en fait… Les élèves allaient vomir et les professeurs s’arracher les cheveux… Mais pour rentrer… Elle ne voulait pas courir le risque de se faire prendre, son dortoir était bien trop éloigné, et ils ne pouvaient pas revenir dans la salle de bal l’air de rien…

-Va falloir qu’on se planque après ça, nos dortoirs sont loin, on risquerait de se faire chopper, et bien sur on n’est pas assez débile pour refaire une apparition spectaculaire dans la salle de bal… Il faut rester à cet étage, dans un endroit discret… OH ! Elle claqua des doigts, la salle sur demande n’est pas loin ! On se planque la bas jusqu’à demain ! Les professeurs ne pourront jamais réunir tout le monde dans le hall vu les circonstances, donc personnes ne remarquera notre absence, a part nos voisin de dortoir mais a mon avis Amanda sera ravie de ne pas me voir se soir…et je n’ai pas envie de faire la connaissance de son petit ami de la soirée, la dernière fois c’était… elle frissonna, horrible, je n’ai pas pu fermer l’œil de la nuit tant ils faisaient de bruit. Bref, on va se planquer la bas, et demain on va a pré au lard pour discuter et faire le plein de petits objets qui vont ruiner la vie des autres ! Ca te va ? Des suggestions votre honneur ?

Eléanor lui fit un grand sourire tout en se hissant hors de l’eau, il faisant quand même plus chaud dans l’eau que dans l’air ! Elle observa son état actuel, totalement trempée, ses bas étaient ruinés et son corset, imbibé d’eau était incroyablement lourd et maintenant qu’il n’était pas retenu par l’eau, il glissait ostensiblement le long de son buste. Elle tâcha de le remonter et de prier pour qu’il arrête de vouloir rejoindre le sol. Elle s’accroupit face a Florian et lui tendis la main pour l’aider a remonter, bien qu’elle savait parfaitement qu’il s’en serait sortit tout seul, elle était d’une humeur altruiste, autant en profiter, ça lui permettait aussi de laisser a Florian l'initiative quand a lui suite des évènements...



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MessageSujet: Re: « Now that you know I'm trapped... » || ft Lea   « Now that you know I'm trapped... » || ft Lea Icon_minitimeDim 16 Oct - 15:45



To light the shadows on your face...

L'intensité était généralement trop lourde pour les épaules libres de Florian. Lui, il volait d'un endroit à un autre léger et soulagé de toute conscience et préoccupation - sauf une, celle de sa petite moitié. Il n'avait pas de barrières, ni même de réelles limites. Ses buts étaient vagues et imprécis sauf pour sa quête à la santé pour cette moitié. A bien y regarder, Roxane Shadow était l'ancre de son bateau volant. Une ancre bien libre et aussi mouvante que lui, donc au final, Florian n'avait que rarement les pieds sur la même terre que les autres. Alors quand il devait l'être... il se sentait comme tous les autres. Si facilement lisible. Si lourd. Si embêtant. C'était une contrainte pour lui, bizarrement, pas toujours désagréable mais ça restait une contrainte. Il se sentait mal à l'aise à révéler cette partie si franche de lui-même. Comprenez : Flo était franc, quant à ce qu'il pensait, mais sur le plan de ce qu'il était... Le sorcier se satisfaisait de l'image que les autres se faisaient de lui. Peu l'imaginait seulement s'inquiéter pour sa sœur et ses frères, bien qu'adoptifs pour ces derniers, il s'en occupait. Il ne le cachait pourtant pas vraiment et n'avait pas de retenue quant à ce qu'on l'apprenne mais il était plus évident de s'arrêter à ses frasques, ses paroles, ses coups de théâtre et son agacement. Il se rendait juste compte qu'il ne parlait pas des choses qui le touchaient à qui que ce soit concrètement.

Ce sérieux était quelque part en lui mais jamais n'en avait-il trouvé l'usage, ni le besoin. C'était comme cet outil au fond du garage qu'on part chercher lors d'un souci, certain qu'il pouvait tout arranger et faire passer, avant qu'on ne remarque l'absence du mode d'emploi. Ha ! Vous voyez mieux maintenant ?

Mais cette application, expérimentation de ce sérieux ne dura pas longtemps. C'était un sport de haut niveau qu'il ne pratiquait qu'en lisant un livre - et oui, il sait lire et non, il ne regarde pas seulement les images dans ces illustres ouvrages ! Le naturel était revenu au galop, parlant en délirant. Bon, l'avantage, c'est qu'il avait de l'eau autour de lui pour se rafraîchir les idées. Ou le bas ventre ; ceci dit, ça revenait au même. Il ne voulait pas la mettre mal à l'aise, lui mettre la pression, après tout, les gens étaient toujours naturels avec lui : ils l'envoyaient bouler, l'insultaient, le toisaient, rigolaient à ses frasques, s'éloignaient, pleuraient etc... mais c'était généralement on ne peut plus honnête et une réaction naturelle face à son personnage invivable. Donc si elle, Eleanor Loackter, se retrouvait mal à l'aise... Quoique, il y avait de fortes chances pour qu'elle le remette de toute façon joliment à sa place !

En contraste avec ses paroles, il avait l'air toujours calme et serein, ce "sérieux" encore imprimé sur ses traits. Il la regarda se retourner et gonfla légèrement son torse sous sa respiration en sentant ses mains sur son torse. Merlin ! Florian Shadow venait de vivre un moment de paix intérieure.
Merci, je ne t’en demandais pas tant, je sais ce que ça te coute de dire ce genre de choses, et que tu ne ferais pas ce genre d’effort pour n’importe qui. Et même si la perspective de me faire achetée est séduisante, elle l’est moins que celle de rester avec toi et de pourrir la vie des autres… il sourit un peu. Cette fille était tout sauf décevante. Peut-être une partisane des plans B et C ? Car il était certain que même avec un plan à l'eau, elle trouverait le moyen de faire trembler les gargouilles du château ou d'amuser le pire - de loin - des Poufsouffles. Les pauvres…ils n’ont encore rien vu… Ah ça ! Il restait une seule année au trio Shadow pour faire parler d'eux, Florian ne comptait pas rater son coup. Peut-être devrait-il faire un truc à la Fred et George Weasley et faire des feux d'artifice détonnant... Non, trop sympathique ! Trop Weasley, trop Gryffondor, trop rouquin, trop rouge... Bref, il y réfléchirait plus tard. De toute façon, il avait été coupé dans la programmation de sa révérence.
Des baisers, il en avait connu, plusieurs. Flo savait les interpréter généralement, juste pour savoir s'il pouvait passer à une étape supérieure généralement... Mais celui-là. Ce n'était pas ceux habituels... Il glissa sa main pour prendre sa joue puis l'arrière de sa tête mais avec douceur. Presque tendresse. Oula, ça faisait énormément de découverte émotionnelle pour celui qui connaissait un vide d'intensité à ce niveau. Personne ne voudrait y croire s'il avouait ces découvertes et faits.

Ouais, ruinons cette salle, comme il faut hein, je veux dire, ça serait trop simple, il suffirait qu’un prof arrive et il ferait disparaitre toute l’eau, c’est nul ! Non il faudrait un truc encore pire ! Où qui corserait la chose tu vois… Mmmmh… Une fois, les jumeaux Weasley avaient foutus une sorte de vase visqueuse sur le sol d’un couloir…Pour embêter Ombrage je crois… Moi elle me foutait la paix… Mais je n’aimais pas sa tête enfin bon… On pourrait s’en inspirer… Mais faire mieux… Bien sur… Oh ! Si je rependais du Whisky sur le sol, et qu’on utilisait un amplificatum… La salle serait rempli de Whisky et peut être que les professeurs pourrait enlever le liquide rapidement mais…pour l’odeur ça risque d’être plus délicat… Bien sur on scellera la porte pour que ça soit plus drôle… et on effacera nos traces… C’est toujours jouissif quand tout le monde sait ce que tu as fait mais que personne ne peu le prouver…
Il hochait la tête, un peu pensif... Une autre idée venait de traverser sa tête en même temps qu'un sourire en coin se plaçait. Oh oui, ça, ce serait drôle, surtout l'idée de l'amplificatum. Ce serait ceci dit assez frustrant de jeter tout ce Whisky à terre en sachant qu'en plus, ce Whisky allait se multiplier dans sa quantité et personne ne pourrait y goûter mais juste le sentir. Mais l'idée était trop bonne pour laisser la frustration prendre le dessus. Puis avec l'idée qui germait dans sa tête, il aurait l'occasion de passer sa frustration. Sauf si on le surveillait de près ensuite.

Va falloir qu’on se planque après ça, nos dortoirs sont loin, on risquerait de se faire chopper, et bien sur on n’est pas assez débile pour refaire une apparition spectaculaire dans la salle de bal… Il faut rester à cet étage, dans un endroit discret… OH ! Elle claqua des doigts, la salle sur demande n’est pas loin ! On se planque la bas jusqu’à demain ! Les professeurs ne pourront jamais réunir tout le monde dans le hall vu les circonstances, donc personnes ne remarquera notre absence, a part nos voisin de dortoir mais a mon avis Amanda sera ravie de ne pas me voir se soir…et je n’ai pas envie de faire la connaissance de son petit ami de la soirée, la dernière fois c’était… elle frissonna, ce qui amusa un peu plus Florian ...horrible, je n’ai pas pu fermer l’œil de la nuit tant ils faisaient de bruit. Bref, on va se planquer la bas, et demain on va a pré au lard pour discuter et faire le plein de petits objets qui vont ruiner la vie des autres ! Ca te va ? Des suggestions votre honneur ?
Il leva solennellement la main, comme un élève en classe, le premier élève de la classe plus précisément. Il inspira en secouant la tête, oubliant que ses boucles n'allaient pas être secouées puisque ses cheveux avait été lissés par l'eau... Il saisit finalement la main qu'elle lui tendait, retenant un rire quand il remarqua que son corset voulait se faire la malle. Mais il ne se laissa pas tirer de l'eau.

    Florian ;
    «
    Pas d'objections votre honneur. J'apporte ma voix à votre humble mais efficace, brillant même, projet. Ceci dit permettez-moi d'ajouter quelque-chose : il faudra qu'on se serve de ta jolie bague pour s'occuper un peu des robinets et canalisations. Je veux voir le Whisky couler à flot. Et au sens propre du terme votre honneur. Car c'est joli de me frustrer avec ce Whisky gaspillé et multiplié à terre mais faut bien compenser ma soif, ma dame... D'ailleurs, en parlant de soif... Je t'offre un verre ! »

Sur ces mots, il tira sur sa main pour la faire retomber dans l'eau de sorte à ce qu'elle atterrisse vers le milieu du bain, consciencieux quand même à ne pas lui faire mal physiquement. Il avait assez de défauts à son arc enflammé comme ça...
Il éclata d'un rire de malade mental comme dans les films moldus, sortit de l'eau pour prendre sa baguette avant de se déplacer rapidement vers les robinets sans surveiller les faits de l'élève de Serpentard. Attendez, il fallait qu'il mette en place son petit plan. Ce qu'il oubliait, c'est qu'il avait besoin de la bague de Lea pour ça. Flo grimaça en tournant la tête vers elle, une main sur le robinet.

    Florian ;
    «
    Bon... Disons que je suis sincèrement désolé de t'avoir mise à l'eau et que j'ai besoin de ton aide plus que tout, ô grande prêtresse ! On s'occupe de ça et je prends un peu du contenu de ta bague pour salir le sol comme tu as dit. Puis on file, on se niche dans la salle sur demande et on y passe la nuit – pas dans ce sens... je crois... »
    il montra son sourire aussi blanc que du riz « On fait ça vite, tu ne me tiens pas rancune de ma ré-invitation à te noyer dans ce bain et on fait ça rapidement »

Il lui fit un clin d'œil avant de tendre le bras pour qu'elle passe sa fameuse bague qui était nécessaire au Poufsouffle. Il semblait presser et ne s'attendait pas à ce qu'elle le fasse patienter ou même qu'elle refuse.

[HJ : Sincèrement, je suis essoufflée un peu. Donc j'aimerai bien en rouvrir un autre. Au pire la suite directe après leur frasque dans la salle de bain ou autre chose.]

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