HOP! SUR LE TABOURET...BLACKBIRD NATHANAËL
Featuring Jackson Rathbone
••• Huuum... Je vois... •••
Nom(s) : Blackbird
Prénom(s) : Nathanaël Kyle Matthew Kaïn
Age/Date de naissance : 15-16 Février 1979
Sang : Sang-pur
Richesse : Riche
Année d'étude : 7ème année
Maison souhaitée : Serdaigle
École de magie : Poudlard
••• Huuum... Intéressant •••
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Taille : 182 cm
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Poids : 74 kg
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Style vestimentaire : Niveau vêtement, Matt ne met jamais des habits larges. Il aime les pantalons pas trop serrés de préférence en jean ou de coton. Il aime bien les blousons polaires, comme les longues vestes noires et qui donnent un air si classe. Il adore les cols roulés en fine matière. Sinon, il se contente de l'uniforme de Poudlard, plus particulièrement celui de sa maison.
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Signe(s) distinctif(s) : Un tout petit tatouage dans la nuque. Il est maudit comme presque tous les Blackbirds. Il doit attendre d'avoir 20 ans puis 22 ans pour savoir si ça engage un pronostic vital. Techniquement, déjà à 19 ans, ce sera décisif.
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Ta baguette : Boix de charme, cheveu de vélane, 35 cm, rigide
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Animal de compagnie : Un chat, mâle, BlackPaw (Patte Noire), 2 ans
« Ce que tu me dis... » • Jour, Crépuscule, Aube ou Nuit ? Nuit
• Votre animal préféré ? Les sombrals
• Sucré ou Salé ? Salé, j'aime l'acide aussi
• Marche, Vol ou Transports ? Marche ou vol
• Votre couleur préférée ? No comment
• Oui ou Non ? NON
• Serdaigle ou Serpentard ? Serdaigle
• Gryffondor ou Poufsouffle ? Gryffondor
• Poufsouffle ou Serpentard ? Poufsouffle...
• Votre matière favorite ? Les potions
• Le Héros de votre enfance ? Robin des Bois ( bah quoi ? )
• Vos ambitions ? Il m'est insensé d'en avoir
• Une chanson ? Thnks fr th mmrs by FOB
• Calme, énervement ou folie ? Calme
• Harry ou Voldemort ou la falaise x) ? Autant choisir la falaise...
• Hermione ou Pansy ? Hermione ?
• Les règlements sont faits pour quoi ? Pour m'embêter faut croire !
« Déjà des notes, et oui... » • Sur 10, combien es-tu sûr de toi ? Parfois 3/10 mais souvent 9/10
• Appliqué en classe ? 5/10
• Embêtant ? 2/10
• Chanceux ? 2/10
• Courageux ? 9/10
• Loyal ? 10/10
• Franc ? 5/10
• Respectueux ? 5/10
••• Très bien... •••
Cinq petites lignes sur mon caractère :Nathanaël, appelé Nath ou Nathan par de rares proches, est un garçon distant au premier abord et mystérieux. Il est gentil, esquisse des sourires maladroits et timides, il se surprend à être drôle et très agréable mais surtout mature et imprévisible. Il ferait au mieux pour aider ses proches… Il sait très bien que son attitude semble étrange aux autres et c’est pour cela qu’il apprécie ses amis : ils sont passés outre ce comportement parfois marginal.
Que dire d’autre ? Oh, oui, très important : les comportements lunatiques du jeune homme. Et bien oui, ça ne fait que lui prendre ainsi et aussi pour les raisons de sa santé. Il ne faudrait pas que les autres soient touchés par des pulsions incontrôlables. Alors Nathanaël ne fait que s’isoler, voire disparaître… C’est là qu’on le voit si solitaire, un peu caché. Car oui, sa position face à ses humeurs et autres le poussent à devoir faire secret sur plein de choses. Aaah… Que ces moments sont bons pour les rêves du garçon artistique qu’il est ! Car oui, il a une fibre artistique très développée qui traduit les sentiments qu’il ne peut traduire. Que ce soit par le chant, la danse, les acrobaties, les poèmes, le piano ou par une sagesse qui s’avère être presque de l’art, il exprime des choses restées silencieuses. Il ne s’en rend à vrai dire pas compte.
Il s’avère être curieux et aime observer autour de lui. Surtout les gens… Leurs réactions, leurs mimiques, leurs façons d’être et autres… C’est passionnant pour lui qui se sent parfois éteint. Mais quand il vous parle, ce ne serait pas difficile de trouver un sentiment sympathique à son égard. Le charme vampirique ? En tout cas, bien qu’il est l’air mou et un peu passif, il ne faudrait pas l’ennuyer lui ou ses amis sinon les représailles s’annoncent de suite catastrophiques…
Bon, c'est bien joli tout ça mais voyons des côtés plus agaçants. Il est très mature nous avons vu ça, sa vie l'a mené à voir les choses telles qu'elles sont. Il tolère difficilement alors certains comportements. Surtout les fausses apparences, d'où le pourquoi il n'appréciera jamais Potter. Il le voit très faux. Et il sait qu'il peut se tromper sur la question mais il n'en sera jamais proche et de cette façon n'aura jamais que la fausse image des gens ou ce qu'il voit de loin. Ce garçon à lunettes et cicatrices ne l'intéresse pas le moins du monde. Sa vie n'a rien de comparable à celle de Nath'. Oh oui, la vie du blondinet est teinté d'un voile noir depuis sa naissance mais il ne faut pas mentir : il vit très bien. Du coup, peu se tromperont en disant qu'il est hautain et un peu arrogant. Cela ne le rend pas insupportable mais plutôt drôle et vivant, il en a besoin avec ce comportement parfois passif. Il cache très bien son jeu le maudit.
C'est un jeune homme assez neutre quand on y regarde bien mais il se placera souvent au-dessus des autres ou à part à cause de sa maturité formée par sa différence. "Il est différent, on ne peut le comprendre mais il le vit bien notre loup solitaire" voilà comment il se résumerait avec fierté comme s'il était le héros d'on ne sait quel série fantastique moldue.
Mais encore une toute petite dernière chose, Nathan a très peur d’être un danger pour les autres. Il se sent maladroit à ce niveau, à la limite de penser qu’il est un monstre parfois mais il s’apprécie quand même bien dans sa personnalité. Enfin, sauf quand il a ses crises presque dignes d'un schizophrène. Affaire à suivre !
Once Upon a Time... my Story :Je suis Nathanaël Kyle Matthew Kaïn Blackbird. Je devais commencer par ça.
Je suis un Blackbird, ce qui en somme signifie une chose : je suis issue d'une famille de nobles sorciers. Vous dire que je suis un sang-pur serait une sombre plaisanterie pour moi. Je veux dire, ce n'est pas comme si nous avions jusque-là eu réellement le choix. Oui, nous sommes réellement des sang-purs mais nous n'en tirons aucune fierté, aucune joie. On ne peut même pas dire dans notre famille qu'on y est indifférent. Ce fut une sorte de douleur en fait. On n'a vraiment pas eu le choix et le reste ne fut que hasard des choses...
Laissez-moi expliquer d'abord la vie des Blackbirds avant d'avancer mon histoire personnelle, vous en aurez besoin.
« Des Aigles aux oiseaux du Malheur »
Le premier Blackbird – comme on l'entend dans notre famille aujourd'hui – était un aristocrate dit-on dans notre famille. Il se nommait Christophe Eagles. C'était un homme érudit déjà issu d'une famille de sorciers. Le premier sorcier de notre lignée à avoir manifesté des pouvoirs remonte à la nuit des temps, tant que personne n'est allé chercher jusque-là. Il était donc bien un sang-pur comme nous tous, c'est obligatoire pour que nous le soyons. Il avait un frère jumeau, Christian, en tout point semblable physiquement à lui. Cela était une source de rivalité entre les deux hommes puisqu'on les comparait sans cesse, surtout quand ils essayaient désespérément de se démarquer des autres. Évidemment, coup classique des histoires du genre, ils sont tombés amoureux de la même femme, une née-moldue ravissante paraissait-il. Elle semblait avoir un cœur grand mais elle était parfois vraiment cupide. Elle se nommait Lilas.
Lilas, à cause de ses pouvoirs, effrayait la plupart des gens de sa ville, en France – oui, c'est là que tout a commencé bien que les jumeaux étaient anglais – le fait qu'elle soit une sorte de « bourgeoise » (pour l'époque) n'aidait pas, et quand deux hommes arrivés de l'étranger s'intéressèrent à elle, elle ne put que se sentir flattée de tant d'attention. Lilas préférait clairement Christian qui, bien qu'attiré par elle, ne souhaitait pas s'établir avec elle à cause de son sang « impur » et de son rang en deçà de la noblesse. Cela ne l'empêchait pas de s'amuser avec elle et quand elle tomba enceinte de lui, il utilisa son frère pour couvrir cet acte et fuir. Christophe n'eut jamais le courage de dire à Lilas qu'il n'était pas le vrai père de l'enfant, il lui cacha même pendant des années qu'il n'était pas Christian. Si Lilas se fit à l'idée que le soir où elle avait conçu son fils, Alexandre, ce n'était pas Christian qui fut dans son lit mais bien sa doublure Christophe – car c'est ce qu'elle conclut, croyant l'homme à ses côtés être vraiment le père de son enfant – jamais elle ne se remit d'apprendre que Christian l'avait lâchement abandonnée avec leur enfant. Pire encore en sachant qu'Alexandre descendait bien de lui.
Lilas aimait son fils plus que tout bien qu'elle avait toujours souhaité qu'il soit de son favori des deux frères. Alexandre, lui, avait toujours méprisé sa mère et admiré la classe de son « père ». Alors quand il découvrit qu'il ne l'était pas, son monde s'écroula en même temps que celui de Lilas. Christophe fut contraint de quitter son aimée et reprit la route de l'Angleterre.
Christian s'était marié entre-temps, ayant une épouse de rang noble, d'origine française encore et de sang-pur comme lui-même. Elle se nommait Aimée. Il avait un fils, Thibald, et une fille, Margot, des enfants strictement éduqué par leur mère et un précepteur.
Christian accueillit Christophe les bras ouverts à son retour, ce pour la première fois depuis leur fraternité. Mais Christophe était encore meurtrit par l'échec de sa vie menée avec Lilas mais aussi affecté par la lâcheté de son frère toujours. Il lui raconta cependant tout, son frère étant le seul pouvant accueillir ce récit, le seul sachant le secret honteux qui les unissait tous les trois. Les nuits suivantes furent pénibles pour les jumeaux. Habitées par des cauchemars sans fins...
De son côté, Alexandre grandit très vite. La haine dans son cœur aussi. Il méprisait toujours autant sa mère mais il n'avait plus qu'elle... et son oncle, qu'il appelait encore père et souhaitait revoir. Alors, sa mère sur le dos et élevé au rang de noble grâce à son oncle-père, il partit pour l'Angleterre, oui. Certain de retrouver son géniteur et le tuer, certain de retrouver son père et le ramener. Christophe avait bien entendu accueillit son « fils » les bras ouverts, la larme à l’œil et le cœur grand. Mais hors des terres des Eagles. Alexandre se nommait Eagles mais n'avait aucun droit de fouler ce sol, enfant secret et bâtard, légitimé par son oncle. Lilas de son côté regardait de loin les scènes entourant les Eagles, en particulier celles de Christian, remarié, ayant des enfants, vivant une vie belle et heureuse avec une femme autre qu'elle-même. Si la peine l'habitait jusque-là, la haine la remplaça en voyant ce tableau qu'elle trouvait hideux. Elle se mit à détester tout, jusqu'à son fils presque. Elle fit promettre à Christophe de ne rien dire de sa présence à Christian et jamais il ne dit rien, par amour.
Alexandre oublia vite ses projets de vengeance pour des moments perdus avec son père spirituel et d'amour. C'était bien le but de Christophe bien qu'il appréciait ces moments évidemment. Mais Lilas ne démordait pas de sa vengeance, elle et fut écœurée de voir son fils porter fièrement le nom de Eagles. Elle haïssait Christophe pour lui prendre son seul bébé, son seul amour, Alexandre.
Ce jour-là, Lilas maudit une première fois le nom des Eagles, futurs Blackbirds.Feignant de retrouver goût à la vie avec Christophe et son fils, Lilas profita de l'absence de son « à-nouveau » époux pour aller à une fête de village avec Alexandre. Cela n'avait rien d'anodin, cette fête était organisée par les enfants de Christian et inspirée par une vieille histoire, elle joua les entremetteuses de malheur entre son propre fils et Margot Eagles.
Ils avaient tous deux dix-neuf ans, étaient jeunes et fous, ils croyaient en la passion comme si c'était le véritable amour et forcément, les demi-frère et demi-sœur finirent dans la même couche.
Ce soir-là, elle maudit la descendance des Eagles, les Blackbirds une première fois.Évidemment, l'Idylle continua quelques jours : ni Margot, ni Alexandre ne se savait du même père. Alexandre ne pouvait encore dire qu'il était un Eagles car son vrai père ignorait sa présence en ces terres, il fallait d'abord que Christophe parle de ça avec lui. Compliqué n'est-ce pas ? Quant à Margot, jamais n'informa-t-elle Alexandre de son nom de famille, le prenant pour un simple bourgeois tout au plus ou un chevalier. Elle ne voulait pas qu'il la fuit. Puis plusieurs fois, Alexandre insultait Christian Eagles et de là, plus jamais elle n'osa dire qu'elle était sa fille.
Puis, comme Lilas autrefois, Margot se retrouva enceinte elle aussi. Le tollé que cela avait fait déjà n'avait pourtant rien de comparable au moment où Christophe et Christian virent le père de ce futur enfant. Pire encore quand Christian comprit que ce jeune homme était son fils.
Je vous passe les réactions et vous donne le résultat de suite : Christian en voulut à Christophe de lui avoir caché la venue de Lilas et Alexandre. Christophe ne tarda pas à comprendre que Lilas était la cause de ce malheur et s'en sépara, le cœur lourd pourtant. Alexandre fut écœuré par Margot bien -sûr. Quant à la femme de Christian, elle ne fut plus qu'une pâle copie de ce qu'était Lilas autrefois : un océan de malheur, mais aussi une marre souterraine de haine qui finirait par rejaillir.
Elle tua son mari une nuit de cauchemars où elle entendait le rire de Lilas résonner dans sa tête. Elle en devint folle dit-on.
Margot donna, à l'âge de 20 ans, naissance à une fille, Malum, ce qui signifie Pomme. Elle lui colla de suite le nom du fruit défendu, oui. Alexandre assuma cette naissance, uniquement parce que Malum était comme lui, un enfant défendu. Il disparut avec elle un matin sans ne rien dire à Margot qui n'eut jamais plus de nouvelles. Elle devint bizarrement stérile après ça et décéda dans de sombres circonstances. Son frère lui répandit le malheur à chaque mariage avant de mourir tué par sa dernière femme dans d'autres sombres circonstances.
Quant à Christophe, innocent spectateur du malheur se retrouva accusé de tous les maux que n'avait pas soulagé Lilas. « Ne me regarde plus, tu lui ressembles trop. » « Physiquement Lilas. Tu n'as jamais su faire la différence entre nous, nos personnalités sont différentes. » « Tais-toi, menteur ! Bientôt tu épouseras sa femme, comme tu m'as épousé pour effacer les erreurs de ton frère. » « Je t'aimais. » avait-il répondu calmement. « Alors tu n'aimeras plus car ton amour a porté seulement du malheur. » « Comme le tien, Lilas. » avait-il encore répondu du même ton. « Je n'étais pas assez bien pour ton frère, ni pour toi. Ô princes de sang-pur ! D'ailleurs, comme toi, elle est de sang-pur la belle Aimée. Seuls des gens nobles et sang-purs comprendront ta descendance, ils seront condamnés à ne pas aimer comme tu n'aimeras plus. Ils seront comme toi, un monstre qui se déguise en prince aimant et une bête égoïste et de mensonge au plus bel âge. Ils seront maudits, incestueux, monstrueux, remplis de vis à l'extrême mais de sang-pur et nobles. Crois-moi, c'est ce que souhaitait Christian, c'était si important selon lui ! Et je te le souhaite Christophe puisque ce lâche est mort. C'est à toi que je le souhaite. » Sa haine était si grande.
Ce jour-là, Lilas Eagles a maudit une seconde fois le nom et la descendance Eagles/Blackbird.Juste pour le sordide : on dit que Lilas est allée cueillir le sang de Christian et l'aurait gardé pour le faire boire sans qu'il ne le sache à Christophe ce jour-là. Ainsi aurait été scellé la malédiction qu'elle nous a lancé.
Bref... Plus aucune femme ne voulu de Christophe. Il n'en aima plus aucune non plus. Il se maria effectivement à Aimée, la seule qui voulu de lui et de ses secrets, de lui et de son malheur, le partageant elle aussi. Ils prirent le nom de Blackbird, une sombre plaisanterie, les aigles de Eagles n'étaient plus que des oiseaux du malheur. Ils eurent des enfants, trois, deux garçons et une fille. Le premier garçon commença à avoir des comportements étranges à l'âge de 12 ans, à l'aube de sa puberté donc. On le nomma loup-garou longtemps mais c'était plus complexe que ça. Le cadet eut le même soucis à l'âge de 12 ans. La fille fut épargnée mais se retrouva écœurée de la magie. Elle partie donc joindre le monde moldu, épousa un homme qui la charma mais ne l'aimait guère hélas, si bien qu'elle finit sur le bûcher dès qu'il sut pour sa nature de sorcière. "Tes enfants n'auront pas le droit d'aimer", hum ? Les mariages ne furent pratiquement jamais par amour.
Ainsi continua la lignée. L'amour est un grand problème dans notre famille. Aussi avons-nous souvent trouvé réconfort entre nous ou auprès d'autres sang-purs uniquement. Rares sont les Blackbird qui ont réussit à avoir une relation sans dégâts avec un(e) sang-mêlé ou un(e) né(e)-moldu(e). Ou même un(e) moldu(e), en fait. Nous n'avons pas le droit d'aimer. C'est tout. Et nous sommes un peu condamnés à naître sang-pur. Tous les garçons de notre lignée connaissent des transformations apparentées à celle d'un loup-garou mais notre apparence est toujours plus ou moins humaine. Notre comportement se rapproche plus des récits moldus sur les vampires. Plusieurs d'entre nous meurent avant la fin de leur puberté. Généralement, les âges clés sont pour les transformations sont 12 ans ou 1 an. Pour les morts : 19 ans – l'âge auquel Christian consuma l'amour qui donna naissance à Alexandre – 20 ans – l'âge auquel Margot donna naissance à Malum – ou 22 ans mais on ignore pourquoi dans ce dernier cas.
Avec le temps, nos transformations sont vus comme source de force au quotidien, on a des capacités extraordinaires développés au fil du temps pour endurer nos changements et faciliter notre vie, mais rien ne changea l'effroyable sentiment qu'est de retirer un bout de vie à des innocents lors de ces transformations. On a quatre fois par mois des jours incontrôlables où notre magie devient infernale. Deux fois par mois, nous avons une soif de sang. Une fois par mois, on a un rêve avec la voix de Lilas nous dictant nos défauts et nous expliquant notre soif de sang. D'après ce qu'elle m'a dit à moi, nous, les Blackbirds, ne savons que répandre le sang. On ne peut même pas nier mais c'est bel et bien de sa faute de sa malédiction... Quelque part, j'admire son pouvoir : cette sorcière née-moldue a réussit à maudire toute une descendance, il faut le faire. Et bien qu'on en voit les limites aujourd'hui, cela reste imprégné dans notre histoire.
Les Blackbirds sont toujours des maudits. Mes arrières-arrières-grands-parents sont encore en vie, pour vous dire. C'est le gène sorcier qui s'est accru au fil du temps.
Vous devez penser qu'on est une très grande famille de sorciers depuis le temps. Hum ? Et bien non, on ne crie pas notre nom sur les toits, on s'est fait oublié tout simplement. Comme les ¾ de nos effectifs finissent par mourir au moins à 22 ans, nous ne sommes pas autant qu'on aurait pu l'être. Aussi moi et deux-trois de mes cousins sommes les seuls de notre génération à être encore vivants. Les causes de mort sont hasardeuses : accidents, maladies, folies, meurtres ou soit, simplement, une transformation qui a mal tourné.
Ce exempté de la mort et des soifs incontrôlées sont les rares sang-mêlés. Même nos cracmols étaient touchés ! C'est dire la puissance de ce fichu maléfice.
Quant à moi, enfin moi...
« Je suis un Blackbird ; hélas »
Je suis né durant la nuit du 15 au16 Février 1979. Ma mère Milena DuBrain Blackbird était une lointaine cousine de mon père, Newton Blackbird. Plus rien de vraiment choquant j'imagine là-dedans. Je fus nommé Nathanaël Kyle Matthew Kaïn Blackbird (mes parents ont un sens de l'humour très noir, vous allez comprendre) mais je veux surtout parler de ma doublure : Nathaniel Kristof Andrew Abel (vous avez comprit ? …). Nous nous ressemblions en tout point, je ne criais pas contrairement à lui à notre naissance, j'étais l'aîné, le plus fort, le plus en bonne santé... Une, deux, trois, quatre et cinq nuits ont suffit pour prouver que j'étais le plus vigoureux des deux : Nathaniel arrêta soudainement de pleurer un soir, sa peau rougie à outrance il paraît – je ne me souviens pas de cette scène évidemment, non. Plus jamais il ne pleura après.
Mon frère jumeau venait déjà de mourir mais mes parents étaient heureux : c'était déjà un miracle que je survive. Ils ne s'attendaient pas à avoir des jumeaux et en avaient presque eu peur – ils craignaient vraiment de revivre le malheur de Christophe et Christian – mais cela n’étancha pas bien-sûr leur peine quant à cette perte.
Une naissance et un enterrement. On croirait le titre d'un livre moldu. Oui, je suis très calé niveau lecture, moldue aussi. Comme mon ancêtre, fille de Christophe, je fus rapidement écoeuré de la magie et de notre malédiction – mes premières transformations furent pour moi à un an, vous comprenez. Donc le monde des moldus, leur monde si simple et intelligent, pourtant complexe par ce fait, me fascinait. Je les enviais. Tout comme j'enviais les autres sorciers cela dit.
J'ai plus facilement apprit à dompter mes aptitudes peu ordinaires que mes cousins, étant le seul de ma génération à connaître ce mal depuis que j'ai un an. Ce sont mes pouvoirs de sorcier que je n'aimais guère exercer mais quand on m'expliqua le danger que cela pouvait représenter, je m'y attelais avec sagesse et sérieux. Ces deux mots bercèrent toute mon enfance, si bien que je n'ai pas vraiment l'impression d'avoir été enfant.
Oui, j'ai fait quelques bêtises comme il se le doit, mais les miennes pouvaient rapidement déraper. Je haïssais presque ma famille... Pourtant, ma mère, ma mère ! Je l'aimais plus que tout, c'était un soleil pour moi. Elle savait si bien comment me faire oublier mes soucis, son humour particulier semblait moins rude sortit de sa douce voix. Milena Blackbird, quelle femme extraordinaire, m'étais-je dit.
Avant mes dix ans, mes transformations consistaient en un excès de flux magique, une croissance éphémère trop important qui me faisait gagner deux centimètres après... Je pense que ça explique ma taille aujourd'hui (mon père ne fait qu'un mètre soixante-treize et ma mère un petit mètre cinquante-huit). Aussi, je devenais incontrôlable, j'avais de grosses griffes à la place des ongles et des yeux jaunes sauvages. Mais à dix ans, oui, j'ai eu ce qu'on appelle chez moi une poussée de canines et un effilement rétinien chronique. En gros, j'avais les yeux d'un chat et les dents d'un tigre. Autant dire, les yeux et les dents d'un tigre, excusez-moi. Je fus presque dévasté de suivre ce chemin classique, sachant bien que j'aimais alors je ne pourrais aller à Poudlard maintenant que j'étais officiellement un
vrai danger publique potentiellement. Je doutais fortement de moi... Plein d'autres aptitudes arrivèrent en même temps comme la lecture partielle des pensées ou les modifications moléculaires de certaines choses... Par exemple je peux influencer l'atmosphère autour de mon corps et altérer un peu la composition de mon corps pour marcher tranquillement de façon perpendiculaire sur le tronc d'un arbre enraciné et droit comme un « i ». Bon, ça ne marche pas toujours et pas longtemps... Ma force est depuis constamment plus importante que la moyenne... Voilà les explications.
Je voyais ma vie prendre la direction de celle d'une cage de pierre, celle de notre grand manoir. Pourtant, à mes onze ans, ma mère vint me lire la plus belle lettre de ma vie : celle de Poudlard. Je n'y croyais pas, j'étais heureux bien que je savais ne pas pouvoir y aller... Ma mère m'avait tant parlé de Poudlard, elle fut une Serdaigle là-bas. Etant une femme Blackbird, elle n'a jamais connu de vrais soucis sauf celui de ne pas se faire aimer par qui que ce soit et la peur de finir folle pour x raison. Donc elle avait pu y faire ses classes et m'avait énormément aidé à manier la baguette... Voilà l'avantage à avoir des femmes dans notre famille, des femmes sorcières, elles nous aidaient, nous qui ne savions rien de la magie comme certains de nos pères. Mon père n'y a fait qu'un an à Gryffondor avant de refuser d'y aller après ses violentes transformations. Il m'a raconté qu'il était très dangereux, ce qui le fait doucement rire aujourd'hui. Sincèrement, je ne trouve pas ça très drôle moi...
Mes parents...
Je me suis infligé pendant toutes ces années un traitement psychologique rude pour ne pas faire d'erreurs regrettables. J'évite de me mettre en colère et préfère apparaître las, j'ai dû supprimer la violence de mon quotidien, mes pulsions, j'ai dû les calmer en m'intéressant à ce qui m'entoure et j'en faisais autant pour ne pas m'en prendre aux gens. Il fallait que je vois le côté humain de chacun pour retrouver le mien. Sinon, j'ignorais. Ce traitement berce encore mon attitude aujourd'hui... Mon père me disait remarquable de savoir si bien me tenir.
Ma vie monotone allait pourtant changer et j'allais devoir faire face à ce que je craignais le plus, il le fallait. Ce fut durant les vacances que je découvris qu’Albus Dumbledore me donnait ma chance, à moi, un être pourtant menaçant presque, pour franchir le sol si bien protégé de son école de magie. Qu’à cela ne tienne ! Comme disait mes parents : si cet homme sage me pensait capable d’aller à Poudlard c’est qu’il savait ce qu’il faisait et ce qu’il en était. C’était donc décidé, sûr et certain : j'irais à cette école de magie.
J'étais excité tout d'abord puis heureux de voir ma mère si fière de moi, tout comme mon père qui n'en revenait tout simplement pas et avait une confiance aveugle en mes capacités. Très vite, la fierté qui flottait au-dessus de moi se transforma pour moi en pression, le bonheur laissa place à nouveau à mes craintes et c'est le ventre noué que je traînais des pieds à la gare de King Cross. J'aurais voulu leur dire que j'avais peur, que là-bas je serais seul face à moi-même et aux autres, que je ne voulais plus mais ce qui était pour moi de la considération pour les autres aurait été de la lâcheté aux yeux de mon père. Du moins, c'est ce que je pensais. Je le croyais, comme tout le monde sauf ma mère, incapable de me comprendre.
Mes deux premières années furent discrètes : je craignais qu’on me sache Blackbird et qu’on me pose des questions sur la disparition mystérieuse de ma famille et de notre vie. Il ne manquerait plus que ça ! Je me montrai de suite un assez bon élève et fis quelques efforts. Pourtant, en cours, je préférais de loin dormir et regarder autour, manquant de flâner complètement !
Durant ma seconde année, je me fis enfin quelques amis assez solides mais personne à qui révéler mon secret réellement. La troisième année ne fut pas extraordinaire du tout, tout autant pour la quatrième, qui fut joliment teintée par l’escapade de Sirius Black. Je me demandais sincèrement pourquoi… Pourquoi avait-on cette manie de maudire les gens qui faisaient de mauvaises choses. Certes, selon la rumeur, Sirius Black était une personne affreuse mais il ne m'avait rien fait et partager la peine de Potter alors que je ne savais rien de lui, ni même de sa souffrance serait une insulte et de la déconsidération de ses sentiments. Puis, surtout, la vie de Potter m'intéressait peu, la mienne déjà assez compliquée comme ça. Puis moi qui n’avait rien à craindre…
Durant ma cinquième année, je réussis à garder mon poste de batteur que j'eus acquit durant ma troisième année. Depuis je passais moins inaperçu d'ailleurs. Je partageais même donc quelques moments avec le populaire Cédric Diggory. Mais rien d’exceptionnel. C'était un garçon comme un autre qui n'inspira pas grand-chose à ma personne. Ce fut aussi durant cette année que je développai certaines nouvelles facultés.
Puis il y eut ma sixième année. Je me demandais ce qu’il allait se passer avec l’idiote d’Ombrage dont le Karma était très mauvais selon moi. Les nouveaux retournements ne me plaisaient guère en tout cas et savoir que mon père agissait pour l’Ordre du Phénix affirmait mes pensées. Je me sentais déjà concerné par tout ça. De plus, j'avais d'autres préoccupations, tenir 5 ans sans avoir finalement craqué et sauté sur quelqu’un… Que trois personnes savaient seulement et je ne me sentais pas leur en parler : Albus Dumbledore était très pris avec tous ces retournements et l’odieuse inquisitrice ! Son ami de Gryffondor n’était plus à Poudlard et allez parler, vous, de tout ça à l’elfe de maison entêté qui ne veut cesser de travailler juste cinq petites secondes !
Enfin, l'an passé, il y eut la mort de Dumbledore et celle de ma mère, décès qui m'amenèrent à me battre et du coup, plus de gens ont découvert mon secret... Ce qui me fit hésiter au moment de retourner au château... Je décidai néanmoins de revenir pour certaines raisons : mon père me l'a conseillé. Puis j'ai toujours quelques amis à voir dans la forêt interdite on va dire...
Exemple RP :- Spoiler:
Les yeux à semi-clos, le regard allant de temps en temps d'un bout à l'autre de sa vue périphérique, le poing droit fermé sous sa joue, la tête appuyée dessus, Jung Dae Wan s'ennuyait profondément. Ces deux derniers jours, il avait oublié quelque chose. Il ne savait pas vraiment quoi et en fait, ne s'en préoccupait pas beaucoup, son ennui étant nettement plus important que cette sensation irritante. Les rares cours n'aidaient pas vraiment à clarifier le possible oubli comme n'aidaient pas non plus à raviver la flamme de l'intérêt chez le coréen. Quant au travail, c'était simplement le travail et bon, certes ça aidait à oublier, mais une fois fait... Et dire que son menteur de manager avait osé lui dire que plein de choses pourraient être intéressantes par ici et en entrant à Believe, c'est à en douter fortement ! Cela faisait un petit temps qu'il était là, peut-être, mais sa difficulté à être distrait ne le rendait par vraiment patient sur le sujet. S'il y avait des choses intéressantes, alors elles se cachaient bien ici... Entendant par coup de chance - ou de malchance - une blague du professeur, il roula des yeux, luttant pour ne pas laisser tomber sa tête sur son pupitre de désespoir. De toute évidence, personne ne rit. Regardant autour de lui, il ne trouva pas le moindre intérêt à voir le clown de service essayer de regagner contenance.
Allongeant le bras en face de lui et le secouant légèrement, il découvrit sa manche, laissant voir enfin sa montre - geste qui n'offusquait plus aucun professeur, soit habitués et désespérés, soit pensaient-ils que c'était pour un rendez-vous avec le staff de son agence. Bref ! Ils en avaient plus pour très longtemps normalement... Quoique, s'il ne passait pas les vingt dernières minutes à dormir, cela serait relativement long si on prend en compte l'intérêt du cours d'aujourd'hui. Mais par miracle, ils furent autorisés à sortir du matériel informatique ou se servir de ceux présents dans la pièce. Sans plus attendre, Dae Wan prit son portable alors que certains bougeaient autour de lui. Il navigua sur internet plutôt que de s'intéresser à la bourse et autre blabla que le précepteur aurait pu demander. Non, il se concentra sur les cyworld et autres bêtises, voulant causer à un ami mais... il tomba sur un énième article à scandale. Une photo de lui prise avec une fille dont on voit mal le visage - dieu merci - mais il reconnut très bien qui elle était lui. Il soupira sans enrager.
Dae Wan - « Ha Ni, si je tombe sur toi... C'est encore de ta faute ça ! Aish... »
xxx - « Alors vous sortez vraiment ensemble Hyung ? »Il tourna violemment sa tête sur son côté droit, d'où provenait ce chuchotement incongru. Les yeux légèrement - c'est Dada, il ne faut pas s'attendre à une trop grosse réaction - écarquillés, il toisa, sans dureté néanmoins, son camarade.
Dae Wan - « AISH! Depuis quand tu es là ? »Sang Min - « Quelques minutes... Alors c'est vrai, hum ? » changea-t-il vite de sujet.
Dae Wan - « Je n'arrive même pas à croire que tu me poses la question... Cette fille vraiment... »
Sang Min - « Le destin n'est pas indulgent avec toi... »
Dae Wan - « C'est ce qu'on appelle aussi la poisse, ça, pas le destin. »Sang Min ricana en secouant la tête. Il était un de ces gars que Wan supportait assez bien, même très bien. Plutôt calme et neutre, ils se ressemblaient, sauf que Sang Min était moins indifférent et plus chaleureux quand même. L'aîné des deux ferma la fenêtre passablement irrité, imaginant déjà la scène que lui ferait son manager coréen. Au même moment, son portable vibra quatre fois : deux messages de suite ? Ce n'était pas bon. Le premier était de sa mère « Mon fils va se marier et il ne m'a rien dit é~è Je suis une mère abandonnée~ TToTT - Ta mère », regardant par-dessus son épaule, Sangie éclata de rire attirant l'attention. Génial ! Sa mère recommençait ! N'y accordant pas d'intérêt en plus, il lut le second message : « Jung Dae Wan-ssi, nous allons avoir à parler ! - Manager Shin ». Jetant son portable sur la table, il prit sa tête dans ses mains alors que son ami lui tapotait gentiment l'épaule. Il releva un regard peu amène, un sourire déformé sur les lèvres, sa vue se perdant dans le vide.
Dae Wan - « Mais tu sais, il y a moyen d'exorciser la poisse... c'est provisoire mais ça marche... Tu en connais le nom ? » Il secoua la tête
« Ça s'appelle la vengeance, Sang Min ! »Sur ce, le cours tourna à sa fin et Dae Wan ne se leva qu'après avoir écrit un mot sur un bout de feuille. Un sourire diabolique sur les lèvres, il se sauva après avoir tout rangé. Sans attendre ou dire au revoir à Sang Min, il se dirigea dans les couloirs, sans s'occuper des regards suspicieux ou effarés, le coréen n'essaya même pas d'éviter les gens sur son passage, pressant ceux-ci à déguerpir de sa ligne droite. Sa taille et son air déterminé - car d'habitude, il affiche trop d'indifférence - devait donné en frayeur. Puis le fait qu'il soit Jung Dae Wan jouait aussi... Il se dirigea vers la sortie du bâtiment, prit sa moto, démarra une fois le casque mit, fit quelques mètres à grande vitesse, descendit en trombe de sa monture et entra dans un nouveau bâtiment. Il s'arrêta net devant une porte, sortit un outil au cas-où, tourna la poignée de la porte et celle-ci s'ouvrit. Personne ne dit rien autour, soit parce qu'on n'osait pas, soit parce qu'on devait gober les ragots au sujet du coréen et de la personne à qui appartenait la loge. Oui, il se trouvait dans la loge de Ha Ni, il y mit un peu de désordre, reprenant au passage un objet provenant de sa loge à lui - cette fille, aigo - ainsi que son baladeur qu'elle lui confisque en permanence. Quand le jeune homme sortit en fermant tout, il colla le bout de feuille sur la porte de sa chambre.
« Chère et détestable Ha Ni,
J'ai passé les deux derniers jours avec la sensation d'oublier un truc. Sais-tu que c'est agaçant ? J'ai juste récupéré mon baladeur.
Oh, et un conseil, tu devrais ranger ta loge... Quel désordre affreux ! Mais je comprends : difficile à ranger mais si facile à mettre en désordre... Courage ;)
Jung Dae Wan.
PS : S'il-te-plaît, ne revend pas ce post-it. »
Satisfait de son message haut en insolence, il sourit, regarda autour de lui et fit chut à la seule occupante autour. Sans lui accorder plus d'attention - c'était déjà beaucoup - il s'éloigna, gagna à nouveau sa monture et redémarra sans attendre pour se rend chez lui. C'est en évitant le plus de gens possible que le coréen atteint son appartement (dernier étage d'une tour, vu sur la ville), se jetant sur son canapé. Apparemment, son manager ne l'y attendait pas et il n'avait pas de messages d'instructions sur son répondeur. Profitant du retour de son objet fétiche, il plaça ses écouteurs sur ses oreilles, mit le petit engin en marche et trouva sa piste, posant sa tête sur un des coussins environnant. Il ferma les yeux, enfin sans se demander ce qu'il avait oublié : il avait pas seulement pensé à prendre son baladeur, il n'avait plus oublié de martyriser Ha Ni. Cela faisait deux jours qu'il ne l'avait pas ennuyée... La disparition de son baladeur en remontait à quatre, elle. Combien de jours ça faisait qu'il avait cette sensation d'oubli déjà ? ...
« Let me hear the melody of the lovely, fragile ballerina that is played by your tiptoes
Fly up!
Your saddness will also find a place to be healed »[ DBSK/THSK - Bolero ]
••• On y est presque... •••
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