ϟ I just need you ... just you ... ϟ

C’était le jour, ou peut-être la nuit. L’infirmerie n’était pas remplit et pourtant l’infirmière avait du mal à suivre. Deux patient était dans la grande salle remplit de lit. Une jeune fille de quinze-ans à peine et un jeune homme de dix-sept allonger chacun sur un lit et pendant que l’une convulser dangereusement, l’autre faisait une simple hémorragie. Près du rouquin inconscient depuis sa chute, une jeune femme de son âge ce tenait. Mrs.Pomfresh qui devait s’occuper de la jeune fille plus loin lui prit les mains et les plaquas sur le bas de cuisse du garçon, ou le tissu du pantalon avait était arracher pour pouvoir s’occuper de lui.

« Miss.Granger maintenez la pression pour empêcher le sang de s’échapper, je reviens ! »

Elle la laissa là, seul avec le blesser. Depuis quand était-il là ? Pas bien longtemps, en chemin sur sa civière il c’était mis à saigner méchamment au niveau de la jambe et a présent il avait une réelle hémorragie. On lui avait déjà donné plusieurs potions pour la douleur et une pour le réveiller, ce qui ne marcha pas vraiment. Quand il revint enfin à lui, Ron sentit d’abord un atroce mal de tête, comme si une massue lui était tombé dessus et lui avait fendu le crane. C’était pire que sa première gueule de bois avec les jumeaux, c’était bien diffèrent, une douleur vive. Il entendait des voix autour de lui, il n’arriver ni à comprendre, ni à savoir qui c’était, ce n’était pour lui que des bruit sourd. Doucement ses yeux s’ouvrirent avec difficulté. Son regard était embué et il y voyait floue, mais son regard ce posa sur la masse brune et noir qui était tout près de lui. Qui était-ce ? Il se sentait assommer, planer, peut-être à cause de sa forte médication qui aurait pu calmer un cheval, ou le coup sur la tête, mais il eut du mal à sortir de son réveille. En réalité, il n’arriverait pas à se réveiller vraiment avant de longues heures. Y voyant floue il finit pourtant par reconnaitre sa meilleurs amie. Il lui fallut un effort sur humain pour ouvrir la bouche mais rien ‘en sortit, alors qu’une autre personne débarquer aussi vite que la lumière.

« Bien Miss.Granger, il s’est réveiller, continuez ! » Il lui tendit d’autre compresse, bien que l’hémorragie commencer à ce stoppé grâce au garrot et a la pression. « Mr.Weasley ? Mr.Weasley ! Est-ce que vous m’entendez ?! Vous m’en ferrez vraiment toujours des belles avec Potter… » Elle prit sa baguette et lui lança un lumos en pleine figure ce qui fit vivement grogner de gryffondor qui ferma les yeux dans le but de protéger ses pauvres rétine bruler. « Bien, il a toujours toute ses capacité… Mr.Weasley, serré les dents ça risque de vous faire mal. »

Et il était de notoriété internationale que quand Mrs.Pomfresh vous dit cela c’est que la douleur serré vraiment insupportable. Ce penchant sur sa jambe elle retira les mains d’Hermione et y pointa sa baguette. Elle commença par lui envoyer un Locomotor Mortis, ce qui lui paralysa purement et simplement les jambes, est ce que ça allé faire si mal que ça ? Quand le sort Vulnera Samento partis, il comprit. La plaie était si profonde qu’en ce referment, la chaire ce recoller, ce fabriquant a une vitesse folle et la brulure que cela provoquer était d’une terrible intensité. Si on lui avait posé de l’acier brulant sur la jambe cela aurait eu le même effet. Ronald serra les dents en se tenant au lit, laissant des gémissements lui échapper sous la douleur. Ce fut pour lui une éternité avant que Mrs.Pomfersh ce stoppe et nettoie sa jambe couverte de sang d’un simple coup de baguette. Elle la lui souleva ensuite pour que le bandage si enroule tout seul, bien serré. Il ne réagit pas, encore assommer par cette nouvelle crise de douleurs insupportable. Il avait connu la douleur, mais décidément jamais il ne pourrait la supporté, pas cella… L’infirmière eu l’air contrarié en retirant le garrot que la gryffondor lui avait fait.

« J’ai bien peur de n’avoir pu le soigner correctement, sa blessure est encore ouverte. Le venin qui la attaquer fait en sorte que les blessures ne puissent se résorber… j’ai bien peur que vous ayez mal à la jambe pendant un bon moment Mr.Weasley, dite adieu au bal et pas de Quidditch non plu. Vous pourrez partir demain si tout vas bien, mais pas d’effort inutile. »

En disant tout cela le rouquin n’avait pas suivi a part au moment où elle avait parlé de bal et Quidditch. De toute façon il ne voulait pas allé au bal, mais le Quidditch… C’était comme le priver de chocolat, c’était d’une cruauté sans limite pour lui. Mrs.Pomfresh nota sur une feuille quelque chose avant de s’occuper de la tête du jeune garçon qui fut plu simple à soigner. Il avait tout gagné, finissant sa journée bandée a la tête et à la jambe, une douleur assommante qui le prenait et l’empêcher d’être lucide lui encombrant l’esprit. L’infirmière donna une fiole à Hermione en lui disant de lui faire boire dans quelques minutes si par hasard il se mettait à avoir une crise de douleurs. Pour l’instant le roux était sur tout en train de planer, droguer a la potion et retourné par le mal il posa ses yeux rouges, humide et shooté sur l’adolescente à coter de lui. Il chercha à lui attraper la main, mais ni arriva pas vraiment.


« Mi… mione… »

Son cerveau était déconnecter, il n’était pas vraiment là à cause de toutes ces conneries. Il y avait quand même eu pas mal d’élèves mordu déjà, et aucun n’avaient fini comme lui, où les serpents devenaient plus fort, ou celui-là avait vraiment touché une grosse veine et lui avait déchiré la chaire comme aucun autre. Il fallait dire qu’il en avait eu un énorme pour lui tout seul. Mrs.Pomfresh repassa lui lancent un des merveilleux pyjamas de l’infirmerie en lui disant que c’était la plus grande taille qu’elle avait, et ordonna a Hermione de l’aidée à le mettre, car il était sûr que le pauvre garçon n’était pas en état de faire quoi que ce soit tout seul… il était d’ailleurs tellement sous l’effet des drogue qu’il ne comprit absolument pas de quoi ils agissait, sinon vous pouvez bien croire qu’il aurait dit « non ».

« It hurts my own self as well when you are... I wish I could ask you then to always be well, fine and healthy... I wish I could look after you and prevent all of the pain. But if I can't, I don't wanna be sorry. Let me share your tears and lick your wounds. »
« Because it hurts, you know... »

Était-ce la folie ou une force inconnue qui la guidait ? Hermione avait à peine l'impression de vivre les instants présents. Tout s'était accéléré à partir du moment où Ron avait perdu connaissance. La Gryffondor ne s'en serait pas tant fait s'il ne perdait pas autant de sang... Était-ce normal ? Si elle se souvenait bien de ce qu'on racontait dans le Château, les autres victimes avaient à peine saigné. D'autres avaient eu de très impressionnantes hallucinations, certains prétendant même avoir le défunt Mage Noir, Voldemort. Encore d'autres avaient entendu des paroles en Fourchelang alors qu'ils étaient incapables d'en comprendre un traître mot. Aucun d'entre eux n'avait pu d'ailleurs traduire ce qu'il avait été dit. Par chance, Ron n'avait pas montré ces derniers signes, quoique pour les hallucinations, elle avait un doute. De toutes les façons, pour parler de chance dans ce cas, il aurait fallu qu'il ne tombe pas dans l'inconscience, ce qui était loin d'être un bonheur ou quelque chose de plus rassurant réellement pour la jeune sorcière.
Elle voyait le garrot s'imbiber de sang au fil du transport jusqu'à l'infirmerie. La dernière fois qu'il avait saigné à peu près de la même façon, c'était lors de leur échappée du Ministère de la Magie, après avoir transplané. Mais cette morsure semblait plus virulente que cette fois où il avait été désartibulé même. Il semblait saigner plus et dans ce cas, un venin courrait dans ses veines. Merlin seul savait ce que ça lui ferait. Oui, les autres ne présentaient encore rien d'affolant si ce n'est les hallucinations mais les autres n'avaient pas perdu autant de sang non plus. Alors qui pouvait bien savoir ce que lui réserverait le venin ?!

Une sorte de début de soulagement l'habita quand ils arrivèrent à l'infirmerie, les deux sorcières installant le rouquin sur un lit. Mme Pomfresh ne perdit pas de temps, très pressée, comme bien souvent. Elle arracha le pantalon de l'inconscient, découvrant la blessure. Hermione n'était pas sûre de discerner la trace des crocs quelque part. Était-ce le garrot ou le sang affluant qui l'en empêchait ? Elle n'eut pas le temps d'en débattre - puis elle n'en avait aucune envie d'ailleurs - car l'infirmière la mit dans l'instant à contribution. « Miss.Granger maintenez la pression pour empêcher le sang de s’échapper, je reviens ! » Ses mains frêles étaient légèrement tremblantes mais elle se ressaisit, hochant la tête pour signifier qu'elle avait comprit et entendu les paroles de la femme. Elle fit ce qu'on lui demandait sans attendre, plus sérieuse que jamais : il s'agissait de Ron après tout... elle ne pouvait pas laisser quoique ce soit au hasard. Un moment passa où elle ne fit que surveiller l’hémorragie avant de regarder le visage de son ami, l'inquiétude omniprésente sur les traits d'Hermione. Elle aurait aimé croire qu'il se reposait paisiblement, les yeux fermés, comme ça, là, près d'elle mais ce n'était pas le cas... Ses mains qui se couvraient du sang du sorcier en était la preuve même...
Son cœur fit un bond quand elle remarqua que ses paupières avaient bougé. Elle était si concentrée sur la blessure et sur son visage qu'elle s'en rendit compte aussi immédiatement que soudainement.

Hermione « Il, il a bougé... Je crois... »

Avait-elle dit, la voix blanche, à l'attention de Mme Pomfresh, hésitant à détourner les yeux de lui. Ses yeux étaient à présent ouverts, enfin à comparer à quelques temps avant ça. Il ouvrait même la bouche... Elle aurait voulu lui dire de se taire et lui coller son doigt sur la bouche mais à moins qu'elle ne voulait le tâcher et laisser reprendre l'effusion de sang, ce n'était pas l'idéal. Puis Mme Pomfresh était revenue près d'elle déjà. C'est en la regardant à nouveau qu'elle distingua enfin l'autre victime... Oui, elle n'avait même pas prêté attention à celle-ci, trop inquiète pour son meilleur ami. Mais cette élève semblait en bien meilleur état que le jeune roux.

« Bien Miss.Granger, il s’est réveillé, continuez ! » Elle inspira et prit la compresse sans attendre, sans regarder encore Ron, ne devant pas se distraire. Bien que ses mains étaient encore rouge, l'hémorragie s'était calmée. C'est toujours dans ce genre de moment qu'on prend réellement conscience de la quantité d'eau et donc aussi de sang que l'on a dans le corps, Hermione le savait bien-sûr mais elle se serrait passé de la démonstration sur Ron. « Mr.Weasley ? Mr.Weasley ! Est-ce que vous m’entendez ?! Vous m’en ferrez vraiment toujours des belles avec Potter… » Hermione ne disait rien mais elle n'en pensait pas moins. Depuis sa première année, ils lui en avaient donné du souci ! Elle en avait fait des croix sur ses convictions pour eux deux. Mais jamais ne les avait-elle abandonné, elle les aimait trop pour ça et elle se ferait trois fois plus de souci en s'éloignant. Elle fronça les sourcils et son nez quand son ami réagit au Lumos, il n'était pas au bout de ses peines... « Bien, il a toujours toutes ses capacités… Mr.Weasley, serrez les dents ça risque de vous faire mal. »
Hermione n'aimait pas du tout cette annonce. De toutes les fois où la femme l'avait dit, la douleur avait semblé sans nom, déjà que lorsqu'elle ne disait rien, ce n'était pas forcément agréable... La plus jeune des sorcières se retira un peu pour la laisser opérer et regarda directement Ron à nouveau, serrant inconsciemment les dents aussi. Elle déglutit en entendant le sort et se pinça les lèvres en voyant son ami se débattre avec la douleur, si fort qu'elle crut qu'elle allait plus pouvoir en manger après. Les larmes lui montèrent un peu aux yeux, le résultat de la nervosité en addition avec l'inquiétude et l'heure tardive. Quand le bandage enroula la jambe du blessé, elle crut que son cœur pourrait s'alléger mais rien de ça...

« J’ai bien peur de n’avoir pu le soigner correctement, sa blessure est encore ouverte. Le venin qui l'a attaqué fait en sorte que les blessures ne puissent se résorber… j’ai bien peur que vous ayez mal à la jambe pendant un bon moment Mr.Weasley, dites adieu au bal et pas de Quidditch non plus. Vous pourrez partir demain si tout va bien, mais pas d’efforts inutiles. » Hermione se doutait que plus que la douleur et le fait de s'être fait mordre, l'idée de ne pas pouvoir faire de Quidditch serait un supplice pour Ron. Cela était important pour lui et lui rendait la gloire qu'il méritait. Il brillait sur un terrain - bien qu'Hermione trouvait qu'il brillait de bien d'autres façons, seulement jamais ne l'aurait-il cru - et c'était sa passion. L'avis de Miss Granger sur le Quidditch avait beau être mitigé, elle mesurait très bien ce que cela représentait pour son ami. Combien de temps ceci allait-il prendre pour se refermer complètement ? Il allait être ravi de devoir prendre des fioles de potions pendant des jours...
Elle s'assit sur un lit à côté pendant que Mme Pomfresh finissait de le soigner, ne lâchant pas du regard ce que la femme faisait ou même le visage du garçon. Elle ne se leva que lorsque l'infirmière lui confia une fiole à lui donner en cas de douleurs, fiole qu'elle rangea sur elle immédiatement. Hermione hocha la tête avant de regarder à nouveau Ron, voyant le léger effort qu'il faisait, « Mi… mione… » Elle lui attrapa de suite la main, la serrant un peu, donnant un petit sourire mal assuré.

Hermione « Je suis là, Ron. »

Il avait l'air si faible, si fatigué, ses yeux étaient rouges... la douleur. Elle s'était avancée, prête à lui caresser le visage, morte d'inquiétude mais Mme Pomfresh lui confia une autre tâche. C'est vrai qu'il n'allait tout de même pas passer la nuit dans des vêtements déchirés et tâchés. En d'autres occasions, elle aurait été assez embarrassée mais il n'était pas question de ça à ce moment. Hermione s'avança vers lui, se baissa doucement et fit comme si elle l'embrassait de ses bras. Elle tenta de cette façon de relever le plus délicatement possible.

Hermione « Désolée si je te fais mal... je fais vite, d'accord ? »

Sa voix était encore petite... Mais plus assurée que quelques minutes auparavant. Avec une main, elle changea la position de son oreiller, pour mettre le dos de Ron sur celui-ci, de sorte à ce qu'il soit à l'aise même en position semi-assise. Elle ne se laissa pas le temps d'hésiter sur le coup et entreprit avec douceur de retirer son pull. Hermione eut du mal au niveau de la tête et une fois qu'elle réussit, elle s'arrêta un peu pour le regarder. Elle prit un moment pour arranger ses cheveux.

Hermione « Tu te sens comment ? Si tu te sens mal, dis-le-moi... »

Pourtant la sorcière n'avait aucune preuve qu'il pourrait le dire mais elle avait envie de lui épargner des souffrances supplémentaires. Elle attendit un moment avant de porter ses mains tremblantes à sa chemise pour défaire ses premiers boutons. C'est là qu'elle percuta un peu combien ce serait assez... étrange. Peut-être serait-il trop assommé pour réaliser vraiment. Elle marmonna un 'désolé mais je dois' espérant qu'il n'avait pas vraiment entendu au final. Ses doigts étaient encore rouges et un tantinet tremblants toujours.

Hermione « A croire que toi et Harry faites une compétition. »

Dit-elle encore, plus à elle-même d'ailleurs, pour se détacher un peu des situations actuelles et combler une sorte de vide. Elle essuya du dos de sa main sa joue dans un geste automatique avant de continuer à le déboutonner un peu, tâche qui prenait légèrement plus de temps à chaque bouton à cause de ses petits tremblements.

ϟ I wish nothing but the best for you ϟ

C’était comme être ailleurs, mais avoir son corps juste là. Attaquer par la fatigue de cette perte de sang, la douleur, le manque de liquide rouge dans son corps, l’esprit de Ronald Weasley avait du mal à marcher correctement. Malgré tout cela son regard ne quitter pas la jeune fille qui rester toujours à ses coter. Le jour où elle le quitterait, ou elle partirait que deviendrait il ? Bien sûr ils seraient toujours liés d’une manière ou d’une autre il y avait un lien qui les unissait, un lien indestructible qui comprenait Harry aussi. Seulement hors des murs de Poudlards la vrais vie les attendait et il y pensait, il y penser là ce rendant compte qu’il ne voulait personne d’autre pour soigner ses blessures, personne d’autre pour le rassuré. Pourtant il faudrait qu’il la laisse, elle ne serrait plu là tous les jours, il arriverait un moment ou tout sera fini ou toute ses chances seront ruiner. Il sentit l’angoisse lui monter à la gorge. Pourquoi devait-il penser à cela maintenant ? Alors qu’elle était là, tout près et si loin à la fois.


Hermione - « Je suis là, Ron. »

Elle était toujours là, toujours, alors de quoi avait-il peur au fond ? Qu’est ce qui lui prenait soudain, cette peur qui n’avait aucun sens qui s’agripper a lui. La réponse était simple. Il avait crue mourir tant de fois, et cette fois-là il c’était sentit en danger de la même façon. Le lion n’avait eu peur a aucun moment, non cela faisait bien longtemps qu’il n’avait plu peur de mourir, plu depuis que sa seul peur était de disparaitre sans jamais avoir avoué a cette fille si inquiète qu’il était fou d’elle. Peut-être que c’était idiot, inconscient, ou tout ce que vous voudrez, mais c’était un faite… Ronald Weasley n’avait pas peur de mourir, il avait peur de quitté Hermione Granger.
Plonger dans le file de ses penser il n’avait presque pas fait attention au faite qu’elle c’était attaquer à sa chemise, il la fixer de son intense regard bleu, le cœur soufrant d’un affreux malheur qui en ce moment ne faisait que le rendre malheureux. Il ne l’avait écouté a aucun moment, il était simplement déconnecter de la réalité pendant ce petit moment où il était seul avec elle, juste elle et lui. Quand avait-il eu de moment comme celui-ci, pourquoi plu rien n’était comme avant ? Ils ne pouvaient passer plus de dix minutes seuls ensemble sans que cela ne se termine en larmes ou en cris. Cette fois aussi. Hermione avait les yeux rouges, avait-elle pleuré ? Encore par sa faute… A chaque fois son cœur ce serré affreusement dans sa poitrine, elle était belle même quand elle pleuré, comment faisait-elle pour le bouleversait de la sorte ? Son tremblement lui fit réaliser qu’elle n’arriverait surement pas à le dévêtir, la fatigue peut être, l’inquiétude sûrement. Il posa une de ses main sur les sienne pour la stopper, montant l’autre a sa joue humide. Captant alors son regard il lui fit tant bien que mal un petit sourire.


« Par… pardons ‘Mione. Je vais, je vais le faire. »

Sa voix était grave, fatiguer, douce, encore assommer par tout cela, mais il avait bien conscience de ce qui ce passer autour de lui. Retirant ses mains il se mit à défaire le reste de ses boutons dans une extrême concentration, un peu fébrile malgré tout. Il avait honte d’être comme ça si affaiblie, de plus devant elle. Il aurait mile fois que ce soit sa sœur qui s’occupe de lui rien que pour sauver sa fierté masculine qui chez lui ne tenait jamais cas un file. Il manquer cruellement de confiance en lui, c’était son gros défaut qui rendait sa vie si difficile. Le rouquin fini de défaire sa chemise levant les yeux vers elle abattue, il avait besoin d’elle quoi qu’il face, quoi qu’il puise bien croire. Il se redressa tant bien qu’il put en serrant les dents pour ne pas montrer que sa jambe lui tiré et ce laissa faire quand elle lui offrit sont aide pour retirer sa chemise. Avec son manque de … cette acte fut fait sans pudeur, lui qui d’ordinaire aurait rougie comme un enfant, à ce moment ce contenta de la fixer. Quand il vit la chemise de nuit, il comprit et attrapa de lui-même directement le pantalon, ne voulant pas mettre cette horreur qui gratter d’une manière intolérable.


« Que le… le pantalon. S’il te plaît. »

Sans même s’en apercevoir il la supplier de son regard de chien battu, celui pour qui, il le savait bien, Hermione avait du mal à résister. Il voulait bien changer de bas, mais il ne supporterait pas de dormir dans ce truc trop petit, grattant et en plus qui le faisait crever de chaud.
Sans y réfléchir, il se mit à défaire sa ceinture, il était si fatiguer qu’il n’avait plu la notion de timidité qui était tellement sienne, il en oublier presque que cette fille à coter de lui était sa meilleure amie et que jamais il n’avait était dans une tenue comme cella devant elle auparavant… Très vite le rouquin n’arriva plu a rien avec son pantalon, il avait si mal quand il bouger, mais n’oser le dire, alors il continua a ce battre fébrilement et tant pis si il perdait la bataille, son esprit avait décidé qu’il ne se rabaisserait plu devant elle, pas avant d’avoir épuisé toute son énergie. Il devait se battre jusqu’à son dernier souffle pour son amour propre, pour sa fierté si détruite déjà, mais il ce bâter pour ce qui lui rester… garder juste un semblant de façade devant Hermione. Il ne voulait pas être un faible, jamais.

N’était-il pas un héros lui aussi ? Il avait gagné la partit d’échec de McGonagall, il avait vaincu un Troll des montagnes a à peine 11 ans, affronter des araignées géantes, des professeurs folles, des géants, des chiens enrager, des sirènes, des détraquer et tant de chose encore. Si la mort ne lui faisait réellement pas peur c’est bien par ce qu’il n’avait jamais eu qu’une préoccupation : être quelqu’un, devenir quelqu’un. Ne plus être le meilleur de l’élu, le meilleur ami de l’encyclopédie vivante, le petit frère bien gentil mais qui n’est pas grand-chose dans la famille, le grand dadet sans importance que tout le monde oublie dans l’histoire. En y pensant c’était simple pour lui de ce dénigré de la sorte, il n’avait cas ouvrir les yeux et regarder autour de lui pour voir qu’il n’était qu’un grain de poussière comme les autres. Ainsi il n’avait jamais eu peur de mourir, mourir pour les autres persuadé qu’il était née pour quelque chose et quoi d’autre que de sauver les gens qu’il aimer ? Mais à présent il n’y avait plus rien à craindre n’est-ce pas ? Et sa vie voyait naitre un but nouveau : construire quelque chose. Ce construire un amour propre, c’était le premier pas vers la seule chose qu’il voulait : être lui. Seulement il avait tant de mal de ne pas faire attention de ce que les autre penser de lui, à commencer par Hermione. Seulement au fond, n’était-ce pas pour elle qu’il voulait devenir quelqu’un ? Etre enfin Ronald Weasley ? Bien sûr que c’était la seul raison, la raison qui l’obligerait à faire quelque chose de sa vie, plus que les cris de colère de sa mère ou ses propres envies. Devenir intéressant pour la plus intéressante des filles… Y avait-il meilleurs raison de devenir meilleur que cella ? Seulement est ce que cela commencer dans un lit d’infirmerie, rien n’était moins sûr.

« I'm not here just for the sake of being here »

Elle devait avoir l'air fin comme ça, les mains tremblantes et encore rouges, la mine déconfite coincée entre l'inquiétude et un pseudo calme. Hermione savait pourtant très bien que si Ron était suffisamment conscient pour la voir, il verrait très bien qu'elle n'était pas dans ses meilleurs états. Il avait beau passer à côté de beaucoup de choses au sujet de la sorcière comme le fait qu'elle soit une fille, qu'elle s'inquiète pour lui, qu'elle puisse être blessée etc... Il savait bien ce qui la touchait quand même comme les insultes sur son sang, la cause des elfes, son amour pour certaines choses, ou encore voir ses amis dans un état pareil, comme c'est déjà arrivé auparavant. Alors oui, elle devait avoir l'air fin à ce moment-là...

Les questions tombaient, elle voulait absolument lui dire quelque chose. Imaginez-vous un peu, cela faisait un temps fou qu'ils ne s'étaient pas parlés, quand elle avait réussit à le "coincer" et le confronter, c'était limite s'ils n'avaient pas fait un scandale autour d'eux. Et enfin, pour boucler le tout avec un joli nœud, papier cadeau emballant tout sauf soigneusement le tout : le meilleur ami de la sorcière se faisait mordre au sang. Alors si ce n'était pas une cascade d'émotions qui lui tombaient sur le cœur, Hermione pourrait rattraper Ron et se coller une cuillère à café à la place du cœur.
Enfin, parler, c'était une chose. Agir encore une autre. Et avoir des réponses à ce qu'elle disait, accessoirement rassurant. Pourquoi ne disait-il rien ? Il ne pouvait pas replonger dans l'inconscience ? Quoique... s'il était fatigué... Hermione leva quelque fois les yeux vers lui, comme pour s'assurer qu'il était "présent" puisqu'elle ne l'entendait pas. Ses joues devaient avoir furieusement changé de couleur à chaque reprise, tombant directement sur ses yeux. Et oui, il fallait croire qu'on ne pouvait pas que se noyer dans des yeux bleus mais aussi se faire brûler par ceux-ci. Encore une sensation de plus pour cette soirée... Décidément, Ronald Weasley ne ratait jamais son coup quant à la mettre dans des états absolument pas possibles. La Gryffondor fronça les sourcils en regardant obstinément d'un coup les boutons de sa chemise quand la main de Ron couvrit les siennes, lui bloquant son champ de vision. Encore une fois, Hermione leva les yeux vers lui. « Par… pardons ‘Mione. Je vais, je vais le faire. » La rouge et or hocha la tête, pas sans s'assurer qu'il ne fasse pas trop d'efforts. Elle n'avait pas d'idée précise quant à son état puisqu'il ne lui avait jamais répondu, donc elle surveillait aussi bien qu'elle le pouvait l'aidant aussitôt qu'il en avait fini sans dire un mot. Connaissant Ron, la sorcière imaginait qu'il ne devait pas se sentir très à l'aise de la sorte mais il était absolument inconcevable qu'elle le laisse même si elle n'arrivait pas à grand-chose depuis la fin des premiers soins. Mais oui, elle avait une idée plus ou moins approximative sur le comment il devait le vivre puisqu'il était plus conscient que ce que l'unique élément féminin du trio le pensait. Pourtant, à bien y regarder - ce qu'elle ne faisait pas trop, pas dans un moment pareil mais un peu évidemment - il n'y avait pas de quoi se cacher.

« Que le… le pantalon. S’il te plaît. » Elle ouvrit la bouche, prête à lui donner quelques bonnes raisons pour enfiler tout. Comme le fait qu'il était blessé et qu'il n'avait pas besoin d'attraper froid - on était en Automne quand même. Mais voilà, avec le regard qu'il lui faisait et cette façon de le lui demander... Elle soupira.

Hermione ▬ « Ron, tu vas avoir froid, les nuits sont fraîches. Ça ne te suffit pas une morsure ? »

Elle affronta son regard comme si elle était déjà perdante. Ron savait très bien qu'après ce genre de regard, elle n'avait que trop de mal à lui refuser quelque chose ou à être aussi dure, intransigeante qu'à la normale. Hermione n'aimait pas beaucoup ça... mais elle soupira pour la seconde fois et regarda ailleurs.

Hermione ▬ « Si tu te réveilles avec un rhume, ne m'en tiends pas pour responsable ! »

Sa voix avait reprit son naturel, elle s'en rendait bien compte. Ce petit échange lui avait permit de se calmer un peu d'une certaine façon et la jeune femme pouvait enfin mettre un point - peut-être pas final, elle n'osait faire une prédiction - au moment des soins.
Elle se massa le côté du cou quand il entreprit sans réfléchir d'enlever son pantalon. Hermione ne voulait pas du tout le froisser en l'interrompant. La fierté du Weasley n'était pas méconnue de la sorcière et ce n'est pas dans un moment pareil qu'elle y toucherait bien qu'en le voyant se débattre, elle aurait préféré qu'il lui fasse confiance et la laisse aider. Sinon, à quoi bon qu'elle soit là pour lui ? Comment pourrait-elle se qualifier d'amie ou... Quand il commença à se fatiguer, elle s'approcha calmement de lui.

Hermione ▬ « Ron, si je suis là, c'est aussi pour t'aider... C'est pour ça qu'on est là les uns pour les autres, non ? »

Elle fut sur le point de dire "entre amis" mais ces deux mots lui semblaient soudain peu opportuns et ses lèvres refusèrent de les laisser passer. Non, tout ce que ses lèvres acceptèrent de faire consistait à se poser sur le front du Lion. Pas très longtemps, mais ça ne fut pas furtif pour autant. Ce n'était pas pour faire avaler mieux la pilule non, ça lui avait juste prit comme ça... Sans croiser vraiment son regard de petit chiot martyr, la sixième année (bis) tenta de voir comment procéder pour finir son travail sans l'embarrasser. Elle tira sur le tissus tout simplement : c'est tout ce qu'il restait à faire pratiquement mais attendit plutôt qu'il veuille bien obtempérer.

[UC éventuellement x_x je ne sais plus ce que j'écris]

ϟ I just want that you does't Sulfur ϟ
Not for me

Etre meilleurs, mais meilleurs que qui ? C’était vraiment une idée idiote et l’état de son esprit ne l’aidée pas à avoir des pensait très cohérente, pourtant pour ce qui était de sa chemise il n’en démordrait pas. Il ne dormait plu avec un tissu sur le dos depuis pas mal de temps déjà et puis elle ne savait pas à quel point ça gratter. En plus il avait toujours les pyjamas les plus pourrit, toujours trop petit pour lui et utiliser depuis trois siècles dans cette infirmerie. A ses souvenir Hermione n’était jamais resté à l’infirmerie, une seul fois quand elle c’était faite pétrifier et il ne se souvenait pas l’avoir vue dans ce foutu pyjamas. Il se souvenait de la peine qu’il avait eu de la voir, tout comme la peur de savoir sa sœur entre les mains de Tom Jedusor, maintenant il était mort, vraiment mort et c’était un soulagement. Pourtant en ce moment ce n’était pas vraiment la joie, comme si ces serpents étaient là pour leur rappelait ce qui c’était passer, comme si il annoncer son retour…


Hermione - « Ron, tu vas avoir froid, les nuits sont fraîches. Ça ne te suffit pas une morsure ? »

Il lui fit un petit sourire. Non il n’avait pas peur du froid, il s’en ficher, il préféré avoir froid que d’avoir des démangeaisons toute la nuit. Déjà qu’il avait mal, alors si en plus il devait se battre contre sa chemise de nuit il était sûr de ne jamais pouvoir fermer l’œil. Du coup il continua de faire son regard spécial, celui auquel ne résisté pas Hermione. Il s’en servait souvent avec précaution, c’était sa dernière arme mais là vraiment il n’avait pas envie et quitte à faire un caprice d’enfant tant pis.


Hermione - « Si tu te réveilles avec un rhume, ne m'en tiends pas pour responsable ! »
« Si tu restes avec moi, je n’aurais pas froid, ‘Mione. »

Ce n’était qu’une innocente plaisanterie et pourtant ce n’était pas comme si il n’en rêver pas. Elle nu pas l’air le moins du monde intéresser par ce qu’il avait dit. Apparemment plus inquiète par le fait qu’il n’arrivait a rien avec son foutu pantalon. Il fallait dire que c’était d’un compliquer tout ça, d’abord une ceinture, puis des boutons et ensuite une fermeture éclair qui n’était pas très coopérative avec le jeune homme. Il s’agaça un petit moment avec ça avant d’enfin y arriver, mais voulant descendre il n’y arriva pas et ça ce fut vraiment dur a accepté pour lui. Avoir l’air si bête, si impuissant, c’était presque dégradant. Hermione vin alors à son secours, mais il se demanda si ce n’était pas pire.


Hermione - « Ron, si je suis là, c'est aussi pour t'aider... C'est pour ça qu'on est là les uns pour les autres, non ? »

Il ne répondit pas et retira ses mains de son pantalon en se laissant faire. Elle approcha son visage du sien, dangereusement et il la fixa un peu intriguer avant de voir son visage se levait et de sentir ses lèvres contre son front. Il sentit son cœur rater un battement sous la surprise, elle venait simplement de lui couper le souffle. Amadoué par cette tendresse il fut alors soudain très docile. Sa tête resta sur le coussin fixant le plafond, ne voulant pas la voir le lui enlevait pourtant. En réalité il avait honte de son boxer orange à l’effigie de son équipe de Quidditch favorite. Il sentit le tissu glisser le long de ses jambes et il serra les dents quand il dut levait celle qui avait était mordu pour faire passer le vêtement. Cela faisait vraiment un mal de chien, mais il ne voulait pas le laisser paraitre, Hermione était déjà assez inquiète comme ça elle n’avait pas besoin de plus. Seulement une fois son pantalon d’uniforme retiré il fallut enfiler celui de l’infirmerie et là cela aller être une autre histoire.

Il se redressa pour la voir prendre le vêtement et il rougie en constatant qu’il était allonger sur un lit, presque nue sous son regard. Si avant il avait eu du mal à émerger de sa perte de connaissance, là il voyait très bien ce qui se passait et il se sentit rougir jusque aux oreilles quand il croisa son regard chocolat. Il posa ses yeux sur le sol à coter et fit la grimace.


« S’il te plais… fait doucement, pour ma jambe. »

Il avait dit cela d’une voix un peu intimidé et faible à cause de son état surement plus que la situation génante. Non seulement il était impuissant, ne pouvant absolument pas faire trop d’effort mais en plus il était en caleçon devant sa meilleurs amie, meilleurs amie qui aller lui enfiler un pantalon. Pourquoi était-il forcer de finir cette soirée dans une situation pareille. Ne voulant pas pensait ni à la douleur qui monté dans sa jambe et au faite qu’Hermione était en train de lui enfiler le bas de pyjama au pied il chercha à se changer les idées.


« Hermione? Je voulais m’excuser pour mon comportement de puis ces derniers jours. Je sais que j’ai pas le droit de tant vouloir. Tu dois t’amuser, tu en a besoin et je… je voulais que ce soit avec moi, mais j’ai loupé ma chance alors… tant pis.»

Il haussa les épaules défaitiste, mais c’était un faite et il préféré s’excuser enfin plutôt que de reproduire ce qu’il avait fait la dernière fois. De toute façon il n’aimait pas les bals alors ce n’était pas plus mal et il était heureux de ne pouvoir y aller à cause de sa jambes, ça tomber plutôt pas mal, bien qu’avec ce qu’il savait sur les effets du venin il n’était pas vraiment réjouit. Levant les yeux vers Hermione alors qu’il devait levait les jambes avec difficulté et sur tout une affreuse douleur, comme une crampe a sa jambe gauche il vit quelque chose qui le crispa. Sur la joue de la jeune fille il y avait une énorme araignée, une mygale même et soudain Ron ce mit à pointer du doigt la demoiselle terrifier.


« Hermione ta joue! Tu as une mygale sur la joue! »

Il ne savait pas quoi faire, mort de peur par cette vue répugnante de l’animal sur le doux visage de la belle. Elle avancer doucement vers lui et il n’avait pas sa baguette sur lui pour faire quelque chose. Il se recula le plus qu’il put les douleurs de sa jambe étant plus forte que jamais il crispa sa main dessus mais ne put détourner les yeux de l’arachide.


« Merlin, mais fait quelque chose! Elle va te piquer, Hermione !»

what if we just forget our problems and fears?
« Maybe we should just stay here... Grow old » « Forget and be happy? »

Qu'est-ce que Harry et toi ne me faites pas... Qu'est-ce que toi tu ne m'aspires pas en une journée, Ron ? pensait-elle. Si impossible et indiscipliné parfois. Il fallait le voir dans cet état, à trouver encore un moyen de se plaindre ou de s'infliger une maladie éventuelle en plus. Hermione était peut-être trop maternelle mais lui était trop enfantin, comme beaucoup de garçons d'ailleurs du point de vue féminin. Il n'y avait qu'à observer ce regard de bébé qu'il lui donnait. Ce petit sourire. Cette façon de poser son regard sur elle. Hermione se sentait totalement affaiblie devant ses yeux, déjà qu'elle était hyper-réactive à son sujet...
Elle le regardait, ou pas trop quand même, mais sérieusement... « Si tu restes avec moi, je n’aurais pas froid, ‘Mione. » Il plaisantait mais elle sentit ses joues devenir brutalement chaude, et donc, sans aucun doute, elles devaient être joliment roses. Encore plus qu'elles ne l'avaient été quelques minutes auparavant. Elle roula des yeux pour donner le change mais eut tout le mal du monde à cacher un sourire naissant sur ses lèvres. Bizarrement, cette petite phrase innocente et dite comme ça, simplement, avait fait plus d'effets que prévu et ce n'était pas les légers boom dans la poitrine de la sorcière qui allaient dire le contraire.

Comme prévu, Hermione finit par laisser tomber le combat de regards et Ron avait gagné cette bataille. L'infirmière allait être ravie de voir ça, avec un peu de chance, Mrs Pomfresh réussirait là où Hermione n'avait pu rien faire, prise par les sentiments. Après tout, l'infirmière n'en avait pas pour Ronald Weasley : ce n'était qu'un élève qui finissait bien trop souvent dans ses locaux et qui ferait bien de suivre ses conseils avisés de professionnelle. Il n'empêche que la Granger ignorait qu'elle avait elle aussi ses propres arguments. Comme ce léger baiser sur le front. Bien-sûr, ce n'était pas prémédité : comment pouvait-elle imaginer qu'un geste aussi inattendu et qui n'avait rien à faire là sur le moment, puisse avoir un quelconque effet ? Elle ignorait encore ce qui lui avait prit... La sorcière ne regrettait pas une seule seconde son geste, loin de ça, ce n'est pas pour autant qu'il avait été prémédité ou voulu. Tout fut tellement plus simple après : pas seulement parce que monsieur Weasley était soudain plus docile à manœuvrer, mais parce que cela avait déchargé Hermione d'un poids qu'elle promenait depuis quelques temps.
Pas une seconde elle se doutait des douleurs de Ron, n'entendant rien et s'appliquant à aller le plus doucement, ceci dit rapidement, possible. Ses yeux restaient collés aux pantalons, allant de celui qu'elle venait enfin de lui retirer à celui du pyjama, sans jamais s'attarder, pas même sur la blessure.

« S’il te plais… fait doucement, pour ma jambe. » La fébrilité de cette phrase l'assomma un peu au niveau de sa conscience : sa présence lui rendait vraiment les choses plus difficiles, tant que ça ? La jeune femme leva les yeux brièvement encore, lui fit un sourire hésitant et hocha la tête.

Hermione ▬ « Je vais faire de mon mieux, Ron. »

Avait-elle dit doucement avant de passer une première manche du pantalon à un de ses pieds et en faire autant de l'autre côté, tournant autour du lit activement. Elle y allait le plus doucement possible encore une fois en faisant glisser le tissu le long de ses jambes, même si elle n'en était encore qu'aux chevilles. Encore une fois ses yeux ne bougeaient pas du pyjama de l'infirmerie.
« Hermione? Je voulais m’excuser pour mon comportement depuis ces derniers jours. Je sais que j’ai pas le droit de t'en vouloir. Tu dois t’amuser, tu en as besoin et je… je voulais que ce soit avec moi, mais j’ai loupé ma chance alors… tant pis. » Hermione essayait d'écouter d'une oreille distraite ce que son ami racontait, pour se pencher plus sur ce qu'elle devait faire. Mais le succès n'avait rien de franc bien qu'elle s'obstinait bel et bien à ne pas le regarder. Pourtant, la jeune femme entendait parfaitement ses mots et une boule se forma dans sa gorge un peu. La culpabilité qu'elle avait ressenti à la bibliothèque lui retomba dessus d'un coup et ses mains se refermèrent un peu plus sur le tissu, continuant toujours d'enfiler son pyjama à Ron. Elle resta sans ne rien dire pendant quelques petites minutes avant d'ouvrir la bouche enfin...

Hermione ▬ « Merci Ron... »

C'est tout ce qu'elle pouvait dire pour le moment. Au moins saluer l'effort qu'il faisait car Hermione savait très bien ce que ça aussi ça représentait. Elle se maudissait un peu et elle se promit de tout arranger une fois le bal passé : ce n'était qu'un bal et Nika semblait parfois si distant qu'Hermione ne pouvait pas présumer réellement de son attachement... Elle ne savait pas trop ce qu'il se passait son cette carapace venue du froid... Bref, ce n'était qu'un bal et elle ignorait ce qu'il s'y passerait, seul l'après comptait, non ?
Il leva un peu la jambe quand il cessa tout mouvement. La sorcière allait lui demander de la lever un peu plus s'il pouvait ais n'en eut pas le temps... « Hermione ta joue! Tu as une mygale sur la joue! » La sorcière fronça les sourcils en levant les yeux vers lui. Elle n'était pas sûre d'avoir clairement comprit. Une mygale ? Sur la joue ? Elle ne sentait rien et pourquoi donc une mygale se baladerait-elle sur sa joue ? « Merlin, mais fait quelque chose! Elle va te piquer, Hermione ! » Bon même si ce n'était pas logique, il fallait qu'elle intervienne, il ne plaisantait pas : Ron s'agitait énormément et c'était mauvais pour sa jambe. Hermione toucha sa joue et ne sentit absolument rien...

Hermione ▬ « Ron, je t'en prie, calme-toi ! Il n'y a pas de mygale, pas d'araignées ! Reste calme, pour ta jambe ! »

Elle s'était éloignée pour ne pas le paniquer. Qu'est-ce qu'il lui prenait ? La sorcière toucha encore sa joue, pensive avait d'y penser en un éclair : les hallucinations. Mince ! Mme Pomfresh n'avait rien laissé dans le cas où ça se présenterait, elle avait pensé aux douleurs mais pas aux hallucinations. Il y avait-il seulement quelque chose ? Au moins une conduite. Hermione regarda autour d'elle mais ne trouva que les lits et l'autre patiente derrière le rideau. Elle se mordit les lèvres : le laisser pour chercher l'infirmière en prenant le risque qu'il en voit partout et se fasse mal, ou rester là pour gérer quelque chose qu'elle ne savait justement pas gérer ? L'infirmière ne devait pas avoir quitté le bord pour long, n'est-ce pas ? Donc autant essayer de faire ce qu'elle pouvait en attendant son retour et ses méthodes d'experte.
Bon alors quoi maintenant ? Elle regarda à nouveau le rouquin.

Hermione ▬ « Ron ! Tu me fais confiance ? Car tu vas devoir me croire, tu entends ? Il n'y a pas de mygale. Si tu ne me crois pas ou si tu la vois pense à quelque chose d'autre, d'agréable en attendant. Le Quidditch ? Je ne sais pas. Mais tu ne risques rien et ... et moi non plus. Je ne bouge pas. Mme Pomfresh devrait... »

Elle parlait de sa joue évidemment. Il fallait juste attendre effectivement que la femme déboule à nouveau mais le dire à Ron dans cet état n'était pas une des idées les plus brillantes : cela pourrait l'inquiéter ou même l'énerver. Certains se plaignaient de même voir Voldemort... voyait-on ses peurs ou cela lui arriverait aussi ? Hermione trouvait ça de plus en plus injuste. En plus, avec ça, elle n'osait même plus l'approcher pour ne pas qu'il ait peur. Merlin !

ϟ I went nuts, really? ϟ

Avait-il l'air fou? Peut-être mais en tous les cas Ron voyait très clairement cette énorme monstre sur le visage d'Hermione. Il avait non seulement une peur bleu de ce genre d'insecte mais en plus en voir une sur ce visage là le dégouté plus qu'autre chose. Il bouger en montrant la joue de son doigts complétement terroriser face a cette vue et en plus Hermione en se passant une main sur sa joue caressa cette horrible chose.


Hermione - « Ron, je t'en prie, calme-toi ! Il n'y a pas de mygale, pas d'araignées ! Reste calme, pour ta jambe ! »
« Pas de mygale ?! Pas d'araignées ?! Mais tu te fou de moi, tu viens de la toucher ! »

Oui elle se foutait clairement de lui, par ce que lui il la voyait s’approcher de sa bouche et levant ses pattes avant bien velu vers lui comme pour lui sauter à la gorge. Il eut un frisson d'horreur a cette constatation. C'était intolérable et la peur qui le prenait à la gorge, le faisant trembler comme une feuille. Hermione avait beau reculer lui il ne pouvait quitter la grosse bêtes qui bouger toujours sur ça joue, c'était comme si il la sentait sur sa propre peau... Mais il en sentait belle et bien une sur sa peau. Là sur sa main il y en avait une qui avancer a pas tranquille vers lui en montant au long de son bras. Ron se sentit paralysé il n'arriver pas à bouger même pour secouer son bras et faire partir cette chose. Il la fixer avec les yeux hors de leur orbite le visage aussi blanc qu'un linge de neige.


Hermione - « Ron ! Tu me fais confiance ? Car tu vas devoir me croire, tu entends ? Il n'y a pas de mygale. Si tu ne me crois pas ou si tu la vois pense à quelque chose d'autre, d'agréable en attendant. Le Quidditch ? Je ne sais pas. Mais tu ne risques rien et ... et moi non plus. Je ne bouge pas. Mme Pomfresh devrait... »

Pensait Quidditch alors qu'il avait une mygale sur la main. Il sentait ses poile, ses pinces sur sa peau et à chaque pas qu'elle faisait un frisson de froid lui glacer le sang. Il s’en foutait de Mme.Pomfresh, comme il se moquer du quidditch à ce moment précis. Il avait confiance en Hermione, plus qu'en n'importe qui mais comment il pouvait la croire alors qu'il la sentait sur sa main. Non il n'y arriver pas et puis si c'était faux est ce qu'il devenait fou? Non c'était impossible il les voyait là! Sur la joue d'Hermione sur sa main et... sur le sol. Merlin il y en avait partout!! Par tout ou les yeux du roux ce posait il y avait des dizaines et des dizaines de mygales. Ce redressant comme un enfant se réveillant d'un cauchemar il en oublia presque sa douleur, transpirant de sueur froide.


« Merlin regarde ! MAIS REGARDE ! Y EN A PAR TOUT ! Hermione, je tant prit fait quelque chose, elles montent sur mon lit ! S'il te plaît... je tant prit! »

Il avait l'impression d'être attaqué, il se débattait mais ne pouvait rien y faire, comme si des cordes l’attacherai lit, enchainer. C'était pire encore que de se retrouver dans cette foutu forêt avec Harry, pire par ce que là il ne pouvait pas courir, il ne pouvait pas fuir. Il était impuissant face à ça peur la plus profonde et c'était terrible pour lui, sur tout que sa jambe le faisait terriblement souffrir. Il n'en pouvait plus de peur et de douleurs, s’en était insupportable. Il supplier Hermione de l'aide mais il savait bien qu'elle ne pouvait rien pour lui.


Pomfresh - « Mais enfin qu'est ce qui ce passe ici? Monsieur Weasley croyez-vous vraiment que c'est un endroit pour brailler comme un hypogriffe mal luné? »L'infirmière débarquas avec des fioles en mains poussant Hermione elle se mit a coter de Ron qui était en train de lui dire terrifier de ne pas approcher ou elle aller ce faire dévoré mais elle ça ficha bien lui prenant la tête en lui fourrant la fiole dans la bouche. Pomfresh - « Buvez ça et arrêter de faire l'enfant. Des mygales dans l'infirmerie, non mais vraiment. Le tant que j’aille chercher des anti-hallucinogènes et vous me crée une armer de bêtes dans mon infirmerie? Vous avez vraiment une imagination débordante. »

Elle lui donna une seconde fiole alors que petit à petit Ron voyait autour de lui les mygales disparaitre peu à peu et ils e détendit. Détendit à cause de la seconde potion que par ce qu'il ne voyait plu les bêtes. Ses paupières furent tellement lourde qu'il ne put résister a les fermer et il tomba bientôt comme une masse sur le matelas. Pomfresh fini de lui mettre son bas de pyjamas en soupira agacer avant de lui mettre la couverture et de râlé face au torse nue du garçon. Elle lui ferrait mettre demain... Ron dormant a présenté comme un bien heureux comme si rien de tout cela n'était arrivé elle se retourna et ce confronta a Hermione.


Pomfresh - « Eh bien Miss.Granger qu'est-ce que vous faite encore là? Les visite son fini alors du balais, aller oust Mr.Weasley a besoin de repos. Venez le voir demain si ça vous amuse. »

Et elle partit voir son autre patiente pour lui donner les même potions, prenant le risque de la réveiller, mais ce n'était pas cela qui aller arrêter Pomfresh n'est-ce pas?