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 Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity]

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« Orion J. Chevalier »
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Orion J. Chevalier
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MessageSujet: Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity]   Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity] Icon_minitimeDim 2 Oct - 2:00



« Just a part of something you can't control »


Il faisait une chaleur étouffante pour un mois d’octobre. Ce matin-là le soleil tapé de plein fouet sur le château, le ciel étant d’un bleu immaculé, pas une seul marque de nuage a l’horizon. Ce fut la première chose que remarquas Orion en s’étirant devant sa fenêtre ce matin-là. Il n’était pas mal lotie, arriver depuis hier on l’avait mis dans une petite chambre qu’il trouver tien bien, un lit, une commode, un bureau et une salle de bain, il ne lui fallait pas bien plus pour vivre. Baillant a sen d’écorcher la mâchoire il se fit craquer la nuque avant d’aller directement à la douche pour ce réveiller car ce n’était pas gagner. Il avait du travailler tard hier sur le dossier que lui avait donné le bureau. Avec la mort du seigneur il n’était plu au courant de tout, mais il savait que ça remuer du coter des mangemorts et apparemment Poudlard était la cible, il le savait car il était là a leur demande, et c’est pour servir ses intérêt d’avoir une place chez les mangemort que le ministère eu œuvré pour lui donner un travaille aussi rapidement lui donnant par la même occasion quelque informations sur ce qui ce passer ici car personne ne lui avait dit ce qu’il était censée faire a par “surveiller Potter”. Le ministère ne sais pourquoi mais celui-ci est encore le quatrième champion du tournoi, de plus d’étrange serpent se propage dans l’école et morde les élèves leur procurant d’étrange hallucinations sur le maitre et d’autres effets secondaire intéressant. Le travail d’Orion était de se débrouiller pour faire ce que les mangemorts lui demander tout en envoyant des contenu au ministère, seulement pour le moment a par surveiller un adolescent il ne savait pas à quoi il aller servir ici. Son travaille aller donc être pour le moment de faire ce pourquoi il était engagé ici jusqu’à ce que du coter du ministère ou des mangemorts quelque chose bouge.

Sortant de la douche il ne prit pas la peine de se rasé, il prit directement un boxer pour l’enfiler et ce dirigea vers sa table de nuit pour en sortir une bouteille de whisky écossé et s’en servir un bon verre. Rien de mieux pour ce revigoré l’esprit et bien commencer la journée. Observant le parc de sa fenêtre en caressant distraitement son chaton, il se rendit compte que Poudlard n’était pas si mal comme école, du moins pour la vue qu’elle offrait mais rien ne valait Beaubâton à ses yeux. Une fois son “petit déjeuner” fini, il posa son verre et enfila un jean et un t-shirt avant de descendre. Il était déjà neuf heur et l’école était réveiller de puis deux bonne heure déjà. Il était en train de gagner le hall d’entré quand surgissant de nul par Rusard et son regard noir. Orion ne broncha pas alors que le vielle homme s’approcher de lui l’air menacent ce qui fit sourire le jeune homme réaction qui ne dû pas plaire au vieux concierge vu sa grimace de dégout.

    Rusard - « Vous êtes en retard ! »
    Orion - « En retard pourquoi? On ne m’as toujours pas dit ce que je devais faire, alors un peu de calme papy.»
    Rusard - « Comment osez-vous me parlez sur ce ton ?! »
    Orion - «Ca vas, ça va. On se détend j’ai dit. J’vais m’occuper du parc, j’ai vu hier qu’il laisser un peu a désiré…»

Orion lui tapota l’épaule avec un sourire et les sourcils hausser dans une moue purement moqueuse et il reprit son chemin et essuyant la main qui l’avait touché s’essuyé sur son jean. Le vieux Rusard c’était retourné sur lui complètement abasourdit par cette insolence, il bégaya avant qu’Orion puisse enfin entendre en passant le visage du couloir.

    Rusard - « Le professeur McGonagall en entendra parler ! »
    Orion - « C’est ça …»

Toujours le sourire aux lèvres, l’auror n’avait fait que soupiré ç ace moquant outrageusement de cette homme qui jusqu’à hier avait était inconnue a son bataillon. Il remercier Merlin de ne pas avoir eu de concierge pareille a BeauBâton, aussi agréable qu’un Scroute-à-pétard que ce soit de caractère ou a regardé. Dire qu’il était supposé être son “supèrieur”. Ce n’était pas comme si cela inquiétait beaucoup le brun, au contraire il trouver cela plutôt intéressant et savez qu’il aller s’amuser dans ce travail, du moins un peu avant que son devoir de mangemort ne prenne le dessus sur la distraction de sa nouvelle mission ou même celui d’auror. L’un ou l’autre lui demander de faire preuve d’une cruauté sans égale, mais il avait choisi cette vie le jour où il avait signé et il ne pouvait ce plaindre de sa condition.

Le souci avec les nouveaux endroits qu’on ne connait absolument pas c’est qu’on se perd facilement, qui plus est quand on est dans un château gigantesque doter de centaine de couloire tout à fait identique. Heureusement Orion fini par trouver les escaliers, des escaliers étonnant, mais il n’avait pas trop le temps de s’extasier, il devait travailler c’était sa couverture et au moins les premiers jours il devait être au point. Descendant cette fois bien jusqu’au hall il sortit directement dans l’immense parc qui quelque par lui faisait pensait a son académie, bien qu’il manquer les immense plate bandes de fleurs et les immense fontaines. Au moins avec les souvenir des magnifique jardins français de BeauBâteau il aurait de quoi montrés un certain talant et gout pour le raffinement de son pays.
A la sortit du château il croisa Hagride, le garde-chasse, un demi-geant tout à fait sympathique et Orion en profita pour prendre des informations à propos d’éventuelle outils de jardinage. Le demi-géant lui montra les serres qui étaient imposante et qu’il ne pouvait donc pas rater. L’auror ou le mangemort comme vous voulez alla donc chercher ce qui lui fallait, outils de jardinage en tout genre et sur tous des cisailles. Une fois qu’il eut tout prit ce dont il avait besoin il put ce mettre au travail et s’occuper de ces buissons qui a son gout avaient était lâchement abandonner de puis bien trop longtemps. Sortant sa baguette il jeta quelque sort sur les outils pour qu’ils se mettre en marche et d’un même concert ils tranchèrent joyeusement dans les branches sauvages des végétaux. Quant à lui, Orion, prit la dernière cisaille qui rester et il se mit à tailler, indiquant aux autres outils la façon dont il voulait sculpter ces buisson.

Seulement très vite sous ce soleil ardant le brun n’u d’autre choix que de retiré son t-shirt, la transpiration le rendant terriblement collant. Il suer sous le coup de l’effort, tranchant vivement de ses bras. C’est alors que quand il s’accorda une pause pour essuyait la goute de sueur qui perlé sur sa tempe qu’il remarqua l’attroupement de jolie demoiselles autour de lui. Il se retourna et leur fit un sourire charmeur ne pouvant s’empêcher de s’amuser des hormones féminines. Le faite d’être torse nue, en sueur sous le soleil tapant, fumant nonchalamment une cigarette tout en travaillant devait leur faire un drôle d’effet pour les voir glousser ainsi, ou peut-être était-ce les tatouages, il savait plus ou moins que les femmes et surtout les plus jeunes étaient très intriguer par cela. Orion ne ce priva alors plu de s’amuser à faire de petit sourire et clins d’œil à quelques une d’elles les faisant rougir comme des citrouilles et rendant leur voisines aussi gloussante que de la volaille. Si son travail ici n’avait pas un autre but il en aurait bien profiter, certaine de ces filles avaient des atouts et étaient en septième années, donc pas loin d‘être majeurs et n’étant pas professeur rien ne lui interdisait de faire quelques petit écarts, seulement il ne devait pas se détourner de sa tâche et il le savait bien. De toute façon il n’était pas du genre à se laisser guider par ses instinct naturelles quand il était en mission, du moins il n’avait plu 16 ans et savait ce contrôler un minimum pour ne pas flirté avec des gamines.

    Orion - « Aller mes mignonnes, vous n’avez pas d’autres choses à faire que d’ennuyait un pauvre homme comme moi ?»
    Jeune inconnue - «Nan, il y a des choses bien plus intéressantes ici…»

Orion posa son regard vers la jeune fille qui avait parlé et qui lancer un regard plus qu’incendier a son fessier. Il éclata alors de rire retirant sa cigarette de sa bouche pour l’écraser à terre et en sortir une autre de son paquet de blonde. Il ne répondit pas se contentant d’allumer sa droguer et de secouer la tête amuser avant de retourné à sa dur labeur qui lui demander quand même de la concentration à cause des sort lancer et puis de la force physique ce qui expliquer le faite qu’il dégouliner de transpiration à en faire baver les filles qui le fixer très intéressait. Dommage pour elles, lui ne l’était pas.



Dernière édition par Orion J. Chevalier le Dim 16 Oct - 10:55, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity]   Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity] Icon_minitimeMar 4 Oct - 18:06



“ I should just blame myself ”


    Serenity ;
    «
    Elle cédera, je vous l'assure Filius, elle finira par céder. Je veux dire, ma demande n'a rien de contraire aux règles. Il s'agissait de monter un projet scolaire pour mes élèves. »
    Filius ;
    «
    Minerva n'était déjà pas très d'accord pour cette sortie, Serenity. Je pense que vous devriez être plus patiente et moins l'importuner. Vous êtes jeune, ça se voit bien ! »
    la sorcière sourit un peu, dépitée quand même sentant bien ce qu'il voulait dire et allait dire. « Et par conséquent, vous avez encore à apprendre comme vos élèves. Ce serait dangereux si vous ne pouviez les contrôler... Il en va de la responsabilité de l'école et de Minerva McGonagall. Comprenez-la un peu. »
    Serenity ;
    «
    Je comprends à moitié. Mes élèves étudient le monde moldu, on peut attendre d'eux une conduite exemplaire. Ne pensez-vous pas qu'ils savent mieux que la plupart des élèves, hors nés-moldus et certains sang-mêlés, comment se conduire en-dehors de la société magique ? Puis, j'estime qu'avant de me juger apte ou non, il faudrait me mettre à l'essai... Ce serait l'occasion... En fait, c'est à peine si elle écoute ce que je dis... »

Elle fit une moue de petit chiot abandonné sur la route pleurant encore son maître qui l'y a oublié. Elle aurait presque couiné également pour en rajouter, comme une enfant, une petite couche. Et oui, Serenity venait encore d'essayer de rallonger d'une journée le séjour de ses élèves du côté moldu pour approcher mieux l'objet de leur étude. Seulement l'idée n'était pas facile à faire passer au professeur McGonagall. Le professeur de Métamorphose semblait plus tendue qu'à la norme ces derniers temps. Un rapport sûrement avec le tournoi mais aussi le ministère. Avant d'entrer dans son bureau, la jeune femme avait surprit une conversation entre elle et une autre personne. Apparemment le nouveau ministre de la magie avait eu quelques suggestions qui embarrassaient et inquiétaient la grande sorcière. Oui, oui, oui, c'était mal que d'écouter aux portes mais en fait, Serenity n'y avait pas écouté : la porte était entrouverte à la base et elle n'eut qu'à se poster devant pour entendre clairement de quoi était faite la conversation. Rien de suffisamment clair pour qu'elle puisse comprendre entièrement de quoi il était l'enjeu, mais assez pour savoir qu'un souci préoccupait Minerva McGonagall, et mêlant le ministère, il devait être bien agaçant.
Ceci dit, cette révélation, non, n'empêcha notre brune de se lancer dans une plaidoirie qu'elle savait perdue d'avance, surtout dans de telles conditions. Tout – sauf Dylan – devait passer désormais après ses élèves et son cours. Comment la prendrait-on un jour au sérieux si elle ne se battait pas un peu ?

Et voilà où elle en était : un refus et des préoccupations qui ne la regardaient pas directement. Sans compter qu'avec le temps qu'elle avait aujourd'hui – n'ayant qu'un unique cours à donner en ce jour, la journée réservée essentiellement à ses projets et aide à l'étude – la jeune sorcière aurait de quoi encore ruminer pendant un moment. Défaite, elle balança de son bras libre, tendit que de l'autre elle tenait plus ou moins fermement des affaires concernant ses projets de sortie. Son regard se durcit en voyant un groupe d'élèves de ShinKi passer. Exclusivement des garçons et elle reconnut sans problèmes le plus grand des escrocs parmi les élèves chez eux. Encore une belle preuve que pour l'instant, en tant que prof, elle n'arrivait pas réellement à grand-chose. Ce garçon arrogant achetait son silence et la rendait dingue. Serenity s'était jurée de traiter ses élèves comme ses enfants ou ses petits frères et petites sœurs mais lui... De toute façon, il n'assistait pas à son cours, donc cela réglait la question et elle pouvait rêver l'esprit tranquille d'écraser sa tête contre les murs en pierre du château.

    Serenity ;
    «
    Et bien, Mr. Ha, il se fait rare de vous voir ici. J'ose espérer que vous allez vite rejoindre votre classe avec vos camarades. Après tout, votre anglais est assez bon, non ? »
    Ji Hyuk ;
    «
    Bien-sûr Miss... Willow... Nous allons tout de suite en Potions. D'ailleurs... N'est-ce pas avec vous que nous avons cours ? »
    il fronça les sourcils, semblant forcer son 'interrogation'.
    Filius ;
    «
    Le professeur Willow est le professeur d’Études des moldus, jeune homme. »
    Ji Hyuk fit un sourire enchanté en hochant la tête d'un faux air surprit « Et je vous informe jeunes hommes que vous êtes en retard à votre cours ! Alors ne traînez pas plus dans les couloirs et pressez-vous maintenant ! »
    Élève X ;
    «
    Oh, on pensait qu'il y avait une animation dehors, comme on a vu une petite foule par la fenêtre, donc... On est vraiment en retard ? »
    Serenity ;
    «
    Une animation ? Dehors ? Aujourd'hui ? Filius êtes-vous au coura-... »

Serenity fronça les sourcils en regardant son collègue mais lui-même semblait surprit, enfin, il fronçait des sourcils bien davantage qu'elle ne le faisait. Aussi fut-il facile de deviner qu'aucune animation était prévue à l'origine. Il regarda soudainement sa montre et s'affola en voyant l'heure. S'agitant le petit homme s'agita en faisant de grands gestes des bras et demandant aux garçons asiatiques de se rendre dans l'immédiat à leur classe ou leur maison attribuée. Et bien évidemment, il s'évada, oubliant complètement de tirer au clair cette histoire de spectacle ou animation. Willow tenta bien de héler pour lui demander ce qu'ils devaient en faire mais il ne l'écouta point, ne répondant jamais en agitant rapidement ses jambes vers un autre couloir.

Un soupir offusqué et de lassitude força le chemin dans sa gorge, la faisant grogner à la fin. Étaient-ils toujours aussi désordonnés ici ? Ou était-elle effectivement trop impatiente et intolérante ? En croisant le regard de son élève-ennemi, Serenity s'en sentit trois fois moins patiente et tolérante effectivement. Ils traînaient des pieds alors elle alla les pousser en sortant même sa baguette juste pour les calmer. Étrangement, ils déguerpirent deux fois plus vite, si bien qu'elle finit de descendre les marches seules. Les sourcils encore froncés et la baguette toujours en main, elle franchit le hall, passa la grande porte et finit dans le parc, jurant que si cet abruti et ses amis avaient mentis, elle les pendraient par le pied jusqu'à ce que leurs têtes ressemblent à des cerises bien mûres et rouges. D'ailleurs, maintenant qu'elle y pensait : Ha Ji Hyuk et ses amis étaient des étudiants de « fac » à ShinKi, les matières telles que Potions, ils n'avaient plus rien à y faire ou à en apprendre sauf s'ils étaient curieux de voir la façon anglaise de dispenser ce cours. Elle repensa à leur discussion et se rendit compte que cet être maléfique savait quelle matière elle enseignait... Tu es une idiote, Serenity ! avait-elle crié au fond d'elle. C'était sûr, il allait en profiter pour lui taper sur le système et peut-être ruiner son cours. Sur le point de conclure que cette histoire de foule dehors n'était que pour leur faire perdre leur temps, la petite femme (de taille) finit par voir effectivement un petit attroupement.
Elle roula des yeux en entendant des gloussements et reconnaissant une présence essentiellement féminine. Les filles, que ce fut à l'âge de Serenity ou celui de ses élèves, étaient de vraies piplettes complètement rêveuses. Mais les gloussements... Ha ! Elle pariait une semaine de vacances avec Dylan si elle gagnait qu'un garçon se cachait derrière tout ça. S'approchant, elle put saisir quelques mots d'une conversation – décidément, ça devenait un art chez elle.

    Une élève ;
    «
    Nan, il y a des choses bien plus intéressantes ici… »

Un rire masculin arriva à ses oreilles et un « yes » résonna dans sa tête, fière d'avoir gagné son pari, avant de se rendre compte qu'elle n'y gagnait rien. Elle entrevit alors un homme et non pas un garçon, non pas un élève, mais un homme à moitié dévêtu. Serenity se frappa le front. Qu'est-ce qu'un Chippendale fichait dans les jardins de Poudlard ? Elle pressa un peu le pas en voyant la scène et frappa des mains, sa baguette et ses notes sous le bras. Comme cela sembla peu suffisant, elle expira bruyamment, saisit sa baguette et éteint la cigarette de l'inconnu avec un jet d'eau. Quelques gouttes semblèrent ricocher sur le visage de l'homme. Un sourire forcé sur les lèvres, regardant uniquement les élèves, elle ouvrit la bouche.

    Serenity ;
    «
    Allons, mesdemoiselles, ne me dites pas que vous n'avez pas cours ?! Car si non et si vous vous ennuyez, je n'ai rien à faire, je serais ravie de vous prendre toutes avec moi. Disons... Pourquoi ne pas travailler les exponentielles des mathématiques moldues et les courants littéraires français ? Au plus proche des moldus ! C'est d'un amusant. »
    elle retint difficilement un rire devant les mines défaites et dépitées « Allez, rendez-vous vite en cours. On circule ! Et rapidement, sinon vous allez avoir chaud sous ce soleil et je vais devoir vous rafraîchir. »

La femme donnait l'air de prendre ça à la légère et de plaisanter mais il ne fallait pas trop s'y fier. Des gloussements et couinements désolés se firent encore entendre alors que certaines, plus assurées, saluaient carrément l’exhibitionniste. Une fois qu'elles furent toutes parties – tous, à s'y reprendre, un garçon se trouvait dans le lot, oui, déstabilisant – son sourire tomba et son regard devint plus sec.

    Serenity ;
    «
    Nous sommes dans un lieu où des centaines d'adolescents ou d'enfants de onze ans se trouvent. Il serait convenable ne pas fumer si ouvertement et garder votre fumée pour vous. Par convenance. Ils ont encore besoin d'un exemple à cet âge. Ne pensez-vous pas ? »

D'un coup de baguette et en marmonnant une formule, elle envoya le t-shirt de l'homme à sa figure avec un sourire amusé et un peu plus sincère. Pas par gentillesse, mais par enfantillage et espièglerie.

    Serenity ;
    «
    Un peu de pudeur et de tenue ne serait pas de refus. Il s'agit d'une école, pas d'un club d'hôtes. Monsieur le chippendale fera exception et se rhabillera j'espère. Je le répète, c'est une école... Oh et désolée pour les gouttes d'eau. »

Elle se retint de rouler des yeux en tournant les talons, nullement désolée d'ailleurs en fait. Il lui rappelait ces garçons arrogants à l'école qui se pensaient mieux que tout le monde et dont ses amies ne tarissaient jamais d'éloge et encore moins de paroles. Oui, typiquement le genre – Serenity et sa manie de juger rapidement – elle ignorait qui il était mais- Attendez ! D'ailleurs, qui était-ce et qu'est-ce qu'il faisait là ? La femme se retourna soudainement et le fixa des yeux.

    Serenity ;
    «
    Et vous êtes qui d'ailleurs ? Qu'est-ce que vous faites-là ? Je vous préviens que si vous n'avez aucune raison de vous trouver ici, je- »

Elle ignorait complètement ce qu'elle allait dire en fait. Tue-toi, Serenity, et demande à ton père d'expliquer à Dylan que sa mère était une vraie idiote ! Ceci dit, l'idée de lui lancer des sorts jusqu'à épuiser son répertoire lui plaisait beaucoup mais c'était trop tard et elle ne trouva qu'à se renfrogné, l'observant en plissant les yeux. Elle se planta devant lui d'un air de défi mais... se trouva comme un Yorkshire devant un berger allemand. Les yeux de la brune lui offraient une vue panoramique suffisante pour apercevoir les buissons, ces mêmes yeux firent le tour des outils et elle dut résister à l'envie de se frapper le front : jardinier ? Homme à tout faire ? Elle devinait sa réponse et devait admettre que comme d'habitude, elle allait plus vite que sa logique...

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MessageSujet: Re: Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity]   Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity] Icon_minitimeMar 4 Oct - 20:04



« Just a part of something you can't control »


En coupant un petit bout de branche qui dépasser Orion ce dit que pour finir ce travail n’était pas désagréable. Cela faisait longtemps qu’i n’avait pas fait de travail si simple, ce n’était pas bien dure de vivre dans un château, une école qui plus est, non c’était autre chose que les camps clandestin de mangemorts qu’il fallait raser de la carte. Puis les gloussements autour de lui, lui rappeler BeauBâton. A cette époque sans qu’il ne le veuille, il traverser un couloir et les filles devenaient, pour certaine, hystérique. Il n’avait jamais rien fait pour ça, et vue comme il les traités il avait même imaginé qu’elles abandonneraient mais apparemment les types qui les traites mal les filles de cette âge adoré ça. Bon il avouer en avoir un peu trop profité, mais a cette âge il avait beau ne pas avoir eu la même vie que les autres garçons son corps changer au même titre qu’eux et quand des filles ce colle à vous quand vous avait 16 ans, c’est dur de résister à une tentation pareille… Il eut un petit rire en u repensent ce voyant encore devant les fontaines de l’académie à discuter avec un camarade sous le regard de filles exactement comme elles. Il fut coupé dans sa nostalgie par quelque chose dont il ne s’attendait pas du tout. Un jet d’eau plutôt fin vin pile sur le bout de sa cigarette la trempant assez pour la foutre en l’air et profiter de cet objet pour lui envoyer quelques gouttes au visage qui le firent se stopper dans son travail. Ce redressant de toute sa stature il était près à grogner comme un âne sur celui ou celle qui avait osé s’en prendre à son tabac chérie ! Seulement quand il se tourna vers le groupe de filles il remarqua vite tous les regards tourné vers.

    Serenity - « Allons, mesdemoiselles, ne me dites pas que vous n'avez pas cours ?! Car si non et que vous vous ennuyez, je n'ai rien à faire, je serais ravie de vous prendre toutes avec moi. Disons... Travailler les exponentielles des mathématiques moldues et les courants littéraires français, c'est d'un amusant. Allez, rendez-vous vite en cours. On circule ! Et rapidement, sinon vous allez avoir chaud sous ce soleil et je vais devoir vous rafraîchir. »

Orion rester à fixer la jeune femme sans vraiment que son cerveau n’assimile tout de suite la situation. C’était un professeur, il la trouver un peu jeune pour être prof, enfin plus que tous les autres qu’il avait croisé jusque-là. Elle l’amusa beaucoup avec ses « menasse » qui aurait fait trembler n’importe quel adolescent de cette âge. Lui par exemple en aurait tremblé à cette époque, et toujours en réalité car les moldu et leur « art des mathématiques » il y avait déjà gouté et il n’en voulait plus jamais, pour ce qui était de la littérature, cela pouvait étonner mais il lisait beaucoup et il préférait grandement la littérature française, peut-être était-il influencer par un manque maternel en tout cas il trouver cette prof amusante. Orion suivit des yeux la petite troupe qui s’enfuyait aussi honteuse que dessus et il leur fit de petits clins d’œil s’amusant de les voir rougir. On ne pouvait pas lui enlever ça, c’était bien trop plaisant pour un homme que de se faire désirer de la sorte. Il vit même la tête d’un garçon et il se mit à éclater de rire, ne pouvant trouver ça encore plus flatteur mais tellement drôle. Seulement c’était sans compter sur cette prof qui, si il l’avait trouvé sympathique au début ne gagna pas beaucoup de point avec la suite.

    Serenity - « Nous sommes dans un lieu où des centaines d'adolescents ou d'enfants de onze ans se trouvent. Il serait convenable ne pas fumer si ouvertement et garder votre fumée pour vous. Par convenance. Ils ont encore besoin d'un exemple à cet âge. Ne pensez-vous pas ? »

Son ton sec l’irrita soudain et il porta son regard sur elle jetant sa cigarette tremper et foutu à terre dans un geste dédaigneux. Fumer c’était sa vie, une des seules choses qui lui permettait de supporté la mort, la douleur, sa marques. Il était un assassin, mais bien sur elle ne le savait pas et penser à ses petit élèves encore trop naïf pour comprendre qu’un monstre les attiré, comme le loup attire l’agneau. Orion possédé surement ce magnétisme maléfique et animal qui plaisait temps mais qui bruler toute celles et ceux qui ont le courage de l’approcher.

    Orion - « Je pense que tes sacrément coincer, toi. »

Seulement ça phrase nu aucun impacte vu cas ce moment son t-shirt vin étouffer ses parole en se posant sur sa tête. Il le prit dans un grognement sentant son sang doucement bouillir dans ses veines alors que son regard azure ce poser sur le sourire qu’elle abordé et qu’il avait du mal à prendre pour sincère. En réalité il déceler presque de la moquerie dans ces paroles même et il voyait toute sa journée en être gâcher. Il était trop fière pour qu’on le remette a sa place ainsi à son âge, bien trop.

    Serenity - « Un peu de pudeur et de tenue ne serait pas de refus. Il s'agit d'une école, pas d'un club d'hôtes. Monsieur le chippendale fera exception et se rhabillera j'espère. Je le répète, c'est une école... Oh et désolée pour les gouttes d'eau. »

En effet elle se moquer de lui. Le problème, et elle ne sen rendait surement pas compte, mais il n’enfilerait pas son t-shirt et ça même pour ces beaux yeux ou même le reste. Il n’était déjà pas un homme libres alors si on lui enlever ce qui faisait que sa vie n’était pas totalement merdique il aller vraiment finir par abandonner la vie. Elle partit alors sans plus de cérémonie et il balança son t-shirt au sol dans un soupire pour calmer sa colère. Il ne devait pas se laisser aller, il ne devait pas faire trop de vague, il devait simplement faire ce qu’on lui demander pour arriver à réaliser sa mission sans problème. Il était le meilleur à ce jeu-là, il était le meilleur et n’avait plus rien à prouver mais ce n’était vraiment pas le moment d’avoir des ennuis avec une prof dès le premier jour. Pourtant c’était plus fort que lui.

    Orion - « C’est ça poupée, comme si la vue t’avais déplu. »

Avait-il soufflet en sortant son paquet de cigarette pour s’en allumer une autre malgré ce qu’on venait de lui dire pour le bien être des enfants, hors aucun ici ne pourrait sen acheter et ensuite il fumer dehors et si ça ne leurs aller pas ils n’avaient cas pas ce coller à lui, encore une fois il n’avait rien demandé lui. Allumant la dite cigarette il en prit une longue bouffer en fixant la prof le quitter. Il aller ce remettre a son boulot quand elle se retourna brusquement lui faisant stopper tout geste vers ses outils.

    Serenity - « Et vous êtes qui d'ailleurs ? Qu'est-ce que vous faites-là ? Je vous préviens que si vous n'avez aucune raison de vous trouver ici, je- »

Il la regarder aussi ennuyait qu’il était possible de l’être. Elle ce foutée de lui ou c’était naturelle chez elle ? Non par ce que là elle était carrément chiante à venir le déranger, lui rentré dedans avec un culot qui pour finir lui plaisait bien, et ces question idiote. Pire encore, elle pensait vraiment qu’elle lui faisait peurs avec ces menasse ? Il avait presque envie de rire. Enfaite il rit relâchant la pression qu’il avait accumulé a retenant sa colère et les centaines de chose qu’il aurait pu lui lâcher en pleine figure. Il se calma soudainement le regard mesquins et le sourire en coin aussi fier qu’aurait pu l’être un lion.

    Orion - « C’est dommage que tu sois aussi emmerdante, par ce que tu es jolie et sincèrement sa gâche tout. » Il prit une autre longue bouffé de cigarette en s’approchant un peu plus d’elle avec l’arrogance qui lui était propre et il se pencha sur sa petite personne. « Attend laisse-moi imaginer, tu es prof d’étude des moldus, tu as bien moins de 40 ans et cela veut dire aussi que tu n’es pas prof depuis bien longtemps alors tu trouves le besoin d’affirmer ton autorité en tant prenant a un pauvre gars qui ne fait que son travail. Tu parles d’un exemple pour les enfants, toi. »

Il ricana en se reculant, ce grattant le bras avec un rictus moqueur. Elle n’était vraiment pas intelligente pour une prof, enfin il ne savait pas si pour être prof d’étude des moldus il fallait l’être beaucoup, il fallait avoir vécue assez longtemps avec eux pour savoir expliquer deux trois truc et puis c’est bon, rien de profond d’après lui. Il ramassa ses cisailles et ce remit à couper sa hais a grand coups.

    Orion - « Si tu veux discuter il faudra prendre rendez-vous hors de mes heures de travail et comme je bosse de 8h du matin à 9h du soir je te souhaite bon courage beauté. Maintenant si tu permets j’ai un parc à rendre un minimum « accueillant » »

Il coupa violement une grosse branche de la hais qui dépasser vulgairement de la verdure lise et épaisse. Il savait bien que la jeune femme ne partirait pas, il savait bien qu’elle n’irait pas voir ailleurs après ce qu’il lui avait dite, elle n’avait pas l’air d’une femme qui se laisser faire bien au contraire et de toute façon quel genre de femme ce serrait laisser faire sans rien dire face à son arrogance ? Il en connaissait certaines, mais elles étaient d’un ennui… faisait-il exprès ? Cherchait-il exprès le conflit ? Lui-même ne savait pas, c’était dans sa nature d’être si franc et d’agir sans réfléchir. C’était tout lui et ce qui faisait sa réputation.



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MessageSujet: Re: Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity]   Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity] Icon_minitimeMar 11 Oct - 23:17




Très bien, il faut l'avouer, Serenity n'était pas un exemple concluant de diplomatie. Une fois qu'elle avait une idée en tête, elle ne l'avait pas ailleurs et défendait cette idée avec acharnement. Donc s'il représentait une menace à la paix qu'elle souhaitait voir fleurir à Poudlard, elle n'irait pas de main morte oui. Bon d'accord, elle ne s'appuyait pas de preuves mais son flair était sans défaut... Et bon, d'accord, c'est encore un beau mensonge mais on ne change pas facilement une sorcière comme Serenity Truth Willow. Elle n'avait cependant aucunement l'intention de passer plus de temps que cinq simples petites minutes sur ce personnage, elle avait suffisamment de problèmes et de choses dont elle devait s'occuper comme ça sans en rajouter un inconnu qui s'expose aux regards des jeunes filles. Encore un qui avait besoin de se sentir rajeunir hein ? Pff, elle remerciait le ciel que son père soit trop amoureux de sa mère - bien qu'on se demandait sincèrement pourquoi, même elle se posait la question - pour ne pas être passé par ce genre d'étapes absolument fatigantes.

Elle ne comptait pas l'écouter. Elle n'était même pas partie avec l'idée de lui demander quoique ce soit qui nécessitait une réponse ; car il ne faut jamais dialoguer avec un problème, seulement le résoudre. Elle ne devait pas lui accorder d'attention non plus. Surtout pas le regarder réellement. Pourquoi tant de consignes ? Parce qu'elle connait sa chance et elle voyait très bien quel genre de personne il était. Le genre "Donne-moi un peu d'attention et je te casserai la tête aussi longtemps qu'on se croisera". Quoi ? Elle ? Penser ça de tous les hommes ? C'était totalement fa- affreusement vrai. Donc oui, elle voulait absolument éviter de commencer ce petit manège. Mais évidemment, non, il fallait qu'elle s'interroge, que sa curiosité soit plus forte, qu'elle demande qui il était, avant de se rendre compte que sa bêtise était sans nom. Maudite curiosité ! Pourquoi devait-elle toujours s'empêtrer plus profond que ses pieds ne l'étaient déjà ?
Serenity se sentait bouillir en l'observant : bah tiens, il ne voulait pas s'endormir non plus ? Puis il avait recommencé à intoxiquer les lieux avec ce qu'elle dénonçait avec une pointe d'exagération comme drogue dangereuse. Oh ! quel grossier personnage sincèrement ! Comment quelqu'un pouvait être si peu poli et correct - quoiqu'il ne devait pas avoir une meilleure opinion du professeur d’Étude des Moldus qu'elle était. « C’est dommage que tu sois aussi emmerdante, parce que tu es jolie et sincèrement ça gâche tout. » Elle ouvrit la bouche, n'y croyant pas. Il était bête et superficiel ou c'était juste pour aller avec le personnage et l'énerver ? Excédée, elle souffla un rire en regardant ailleurs, prenant à témoin le vide. Alors très bien : en plus d'être un chippendale bon marché, en plus il faisait son cowboy de mauvais western sortit du saloon, c'est ça ? En recadrant son visage face à lui, elle le fusilla du regard. Et pour ça, elle devait malheureusement encore un peu lever la tête... Il avait besoin d'être grand qu'elle en plus de ça ? Oh, elle le sentait, ça allait encore être vraiment un de ces types à allergies - allergies pour elle évidemment. Elle grimaça en le fixant furieusement. « Attend laisse-moi imaginer, tu es prof d’étude des moldus, tu as bien moins de 40 ans et cela veut dire aussi que tu n’es pas prof depuis bien longtemps alors tu trouves le besoin d’affirmer ton autorité en t'en prenant à un pauvre gars qui ne fait que son travail. Tu parles d’un exemple pour les enfants, toi. »

Serenity le fixait du regard depuis qu'il avait recommencé à parler. Nullement impressionnée qu'il ait tapé dans le mille dans la plupart des choses - elle était loin de chercher à s'affirmer en s'en prenant à lui, elle faisait juste preuve de bon sens ! Non, ce n'est pas ça qui posait problème : Serenity ne cherchait pas à se cacher - sauf pour Dylan de sorte que le petit soit tranquille - bien qu'elle se demandait comment il pouvait deviner pour la matière qu'elle enseignait. Mais non, le professeur était plus soufflée de découvrir l'arrogance dont il faisait preuve. Le toisant désormais, déjà prête à répliquer tout haut après avoir glissé un "C'est vrai qu'un idiot à moitié dévêtu, c'est tellement mieux pour avenir professionnel". Oh oui ! La sorcière allait lui sortir ça ! Mais alors, au lieu de mordre aussi fort qu'un tigre, elle se figea un peu dans ses idées en voyant enfin les tatouages de ce personnage. Il y en avait plusieurs mais un seul attirait son regard comme un frigo attire les aimants. Celui sur son bras... se mouvant encore... La fille des Willows en avait entendu parlé de cette marque et l'avait vue dans plusieurs livres. La voir sur quelqu'un, exposée aussi librement, sans gêne... On peut dire que malaise qu'elle aurait dû ressentir fut coupé par cette désinvolture en fait. Sans compter son agacement pour la personne le portant : il pouvait être un mangemort, un ex-mangemort, un envoyé du ministère ou le ministre lui-même, elle s'en fichait : il était insupportable et incorrect. Mais elle garda ses réflexions dans un coin de sa tête. Était-il là pour rédemption ou le Professeur McGonagall souffrait de grande folie ? Hm...

« Si tu veux discuter il faudra prendre rendez-vous hors de mes heures de travail et comme je bosse de 8h du matin à 9h du soir je te souhaite bon courage beauté. Maintenant si tu permets j’ai un parc à rendre un minimum « accueillant » »
Sortant de ses pensées enfin sans montrer clairement la transition pensive-active, la Willow croisa les bras avec un sourire sarcastique et éleva les sourcils.

    Serenity ;
    «
    J'aurais bien une suggestion pour ce faire : et si vous désertiez tout simplement ce jardin ? Il le sera déjà jusqu'à dix fois plus, « accueillant ». Puis prendre rendez-vous ? Travailler ? A ce rythme on verra combien de temps vous le garderez votre emploi de- »
    elle secoua la tête, refusant de commencer à prendre cette histoire personnellement « Bon, écoutez, je ne veux pas perdre mon temps non plus à des enfantillages. Alors qu'on se mette d'accord, Lucky Luke... »

Elle s'approcha de lui suffisamment pour montrer qu'elle n'avait ni peur de lui, ni de ses cisailles - bon, un peu du bruit irritant de ses cisailles à dire vrai. Serenity refusait strictement d'agir comme une adolescente effrontée et blessée dans son orgueil mais elle ne pouvait pas laisser passer ce comportement. Il ne fallait pas non plus en prendre l'habitude...

    Serenity ;
    «
    D'une, ne m'appelez pas "beauté" ni rien, ce serait même encore mieux que vous ne m'appeliez pas tout court. »
    faux-sourire numéro un qu'elle laissa tomber immédiatement « De deux, nous ne sommes pas copains, et aucun d'entre nous n'a l'envie ou le besoin de l'être avec l'autre, donc si on pouvait ne pas être familier en se parlant, ce serait plus approprié. Merci d'avance. Et enfin... »

Elle resta un long moment sans rien dire. Elle réfléchissait à quelque chose qui serait agaçant mais en plus qui ne lui demanderait pas de supporter trop longtemps cet être imbuvable en faisant des remontrances orales. Non mais ça va bien, Serenity n'a jamais fait dans les causes perdues sauf niveau scolaire et il avait largement passé l'âge pour les cours. Hors de question qu'elle se mette en ce jour à sauver les cas désespérés. Il n'y a pas marqué refuge de SPA sur son front. SPA, Sorciers Paumés et Arrogants (Quoi ? Vous pensiez à autre chose ? Nity avait plus d'estime pour les animaux que pour le genre masculin de l'être humain ! Donc la SPA moldue aurait été une bien trop gentille comparaison).
D'un geste furtif de la main, elle chopa sans difficultés la cigarette et les cisailles de son "interlocuteur". Il ignorait sa demande et ses conseils ? Elle ignorerait ses envies, devoirs et besoins. Du bout des doigts de son autre main, elle éteignit le bout du cylindre puis plissa des yeux en les plantant dans celui du grand - pas si grand en fait - "jardinier" (elle se demandait n'empêche, le rôle de jardinier cadrait trop mal à son goût).

    Serenity ;
    «
    Je compte rester là aussi longtemps qu'il y aura une cigarette à éteindre. Et comme je l'ai dit à mes élèves, j'ai du temps devant moi. Donc si monsieur l'inconnu du far west veut se débarrasser de moi et travailler, il sera bien obligé de garder son plaisir de se tuer à petit feu pour lui et pour plus tard ! Dites-vous que je sauve votre haleine ! Oh et au passage, vous vous trompez odieusement à mon sujet. Je suis professeur de vol pour commencer, avec Mr Dubois. Et si j'ai quoique ce soit à prouver, j'ai un bon millier d'idées moins irritantes que m'adresser à des arrogants irrespectueux. »

Bon, le fait qu'elle soit menteuse n'avait rien de nouveau chez Serenity Truth (quelle ironie d'avoir ce deuxième prénom quand on ment) Willow, mais les histoires de professeur de vol, c'était vraiment juste pour lui faire comprendre qu'il ne savait strictement rien d'elle. Ce même en ayant ce genre d'informations - la preuve étant qu'elle pouvait mentir sans problème (et par pitié, ne demandez pas comment l'information "avec Mr Dubois" est arrivé à elle, je ne tiens pas à m'étendre sur sa fan-attitude quant au Quidditch). La sorcière se décala, cherchant un endroit où se poser finalement juste pour avoir la satisfaction d'être indésirable pour cet homme pédant.

    Serenity ;
    «
    Flirter avec des adolescentes même pas majeures à cet âge... »

Et ça, oui, c'était juste pour la provocation qu'elle l'avait marmonné alors qu'elle s'installait sur une pierre, regardant ses notes à nouveau. C'était parfait : le parc de Poudlard était bien moins austère que les quatre murs de son bureau pour revoir ses notes et autres. Puis à chaque cigarette allumée, elle pourrait se défouler dessus en servant un grand sourire amusé - comme une enfant qui aurait trouvé un nouveau jouet - au sorcier. Il pouvait oublier qu'elle parte, elle ne le ferait pas avant un moment. Puis le fait qu'elle avait été tentée il y a peu de temps à fumer n'arrangeait pas sa sympathie pour l'objet du "diable". A croire que ce type avait vraiment été mis là pour l'énerver.

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Orion J. Chevalier
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MessageSujet: Re: Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity]   Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity] Icon_minitimeMer 12 Oct - 10:30




« Just a part of something you can't control »


C’était quand même tout à fait amusant. Il ne chercher jamais les problèmes, les problèmes lui tomber naturellement dessus. Il n’avait jamais demandé a ce que des gamines viennent glousser autour de lui, il n’avait pas non plus demandé à ce qu’une prof vienne l’emmerder, et surtout il n’avait jamais demandé à jardiner sous un soleil de plomb. C’était immoral d’avoir une chaleur pareille en octobre dans un pays comme l’Ecosse ! Orion soupira, pensant être clairement être débarrasser de cette femme, mais ce n’était qu’une douce illusion.

    Serenity - «J'aurais bien une suggestion pour ce faire : et si vous désertiez simplement ce jardin ? Il le sera déjà jusqu'à dix fois plus. Puis prendre rendez-vous ? Travailler ? A ce rythme on verra combien de temps vous le garderez votre emploi de- Bon, écoutez, je ne veux pas perdre mon temps non plus. Alors qu'on se mette d'accord, Lucky Luke... »

Orion abandonna ce qu’il était en train de faire et être un minimum polie il se mit face à elle en soupirant. Prenant négligemment la cigarette qu’il avait en bouche il la fixa en levant les sourcils. C’est qui ce « Lucky Luke » ? Un truc moldu encore, il en savait beaucoup mais pas à ce point-là malheureusement… Ce qu’il comprit c’est que ça ne devait pas être très gentil comme remarque, mais il n’en prit pas compte se moquant pas mal de ce qu’elle lui raconter en réalité. Si il commencer par ce faire que des ennemie dans ce château son travail n’aller pas être facile et il n’avait sincèrement pas besoin qu’une pauvre fille en manque d’autorité lui face la moral alors qu’il bosser tranquillement.

    Orion - « Calme toi beauté… »
    Serenity - « D'une, ne m'appelez pas "beauté" ni rien, ce serait même encore mieux que vous ne m'appeliez pas. « De deux, on n'est pas copains, donc si on pouvait ne pas se tutoyer. Merci d'avance. Et enfin... »

Elle était d’une froideur effroyable et il eut un instant l’idée de l’aider un peu à se réchauffer mais fit vite partir cette idée, ce n’était vraiment pas le moment de s’assumer avec ce genre de chose. Elle c’était dangereusement rapprocher de lui et elle paraissait encore plus petite. Il souriait doucement, ce moquant ouvertement d’elle et de tous les mots qui sortait de sa bouche. Son regard furieux et contente d’elle était plongée dans le sien qui pour le coup était vide de sens. Elle le défier ouvertement enfaite et sincèrement il savait qu’elle n’aurait jamais dû faire ça, c’était l’invité a rentré dans son jeux et il ne pourrait pas résister. Elle aurait pu juste partir en l’ignorant, il aurait ri cinq minutes et puis l’aurait oublié, mais non il fallait qu’elle s’obstine et vienne lui tenir tête pour affirmer quoi ? Qu’elle était une femme forte qui ne se laisser pas marcher sur les pieds ? C’était puéril, il aurait crue qu’une prof aurait était un peu plus mature mais elle réaliser comme ces gamines qu’elle avait pourtant l’air de mépriser, du moins de mépriser les bêtises de leurs âge.

O
rion fixé la jeune femme préfèrent se taire et la laisser continuer sachant qu’il ne ferait pas du tout ce qu’elle lui demander. Il ne s’abaisserait pas à ça, jamais dans sa vie il ne respecterait quelqu’un de cette façon, cela n’avait aucun sens pour lui de mettre des barrières entre les gens alors qu’au fond ils étaient tous les même, tous des moutons que Merlin regardé vivre et crever comme de la merde. Alors elle pouvait toujours attendre avant qu’un « vous » sorte de sa bouche. Il aller retourner a son travaille puise qu’elle n’avait pas l’air décidé à continuer quand elle lui prit sa cisailles des mains sans qu’il n’est le temps de réagir. Elle voulait quoi là ? C’était vraiment un comportement de gamine que de faire ça et le pire c’était qu’elle était contente d’elle et ne sen rendait même pas compte.

    Orion - « Non, mais… »
    Serenity - « Je compte rester là aussi longtemps qu'il y aura une cigarette à éteindre. Et comme je l'ai dit à mes élèves, j'ai du temps devant moi. Donc si monsieur l'inconnu du far west veut se débarrasser de moi, il sera bien obligé de garder son plaisir de se tuer à petit feu pour lui et plus tard ! Oh et au passage, vous vous trompez odieusement à mon sujet. Je suis professeur de vol pour commencer, avec Mr Dubois. Et si j'ai quoique ce soit à prouver, j'ai un bon millier d'idées moins irritantes. »

Orion leva les sourcils a ses paroles et plus elle continuer sa tirade plus son sourire s’étira sur ses lèvres. Elle était vraiment déchainer comme femme. Seulement elle se tromper, il savait très bien qu’il n’y avait qu’un seul prof de vol, pourquoi ? Par ce qu’il avait des dossiers sur chaque prof garce au ministère. Alors il pourrait rajouter au sien « menteuse effronté et caractériel ». Juste pour avoir raison elle avait était prête à lui mentir ? Alors cas un moment ou un autre il aurait bien vu qu’elle était prof d’étude des moldus. Décidément on comportement d’enfant vexé l’amuser de plus en plus. Willow, c’était ça son nom, enfin si il se souvenait bien ou bien Winity, Sewilly… Il était vraiment nul pour les noms mais en même temps il avait dû en étudier tant et dans un temps si limiter qu’il était plutôt simple de se mélanger les balais. C’était plutôt plaisant de la voir s’enfoncer dans sa propre colère alors que lui s’en foutait royalement, mais elle avait une moue adorable quand elle s’agacer comme ça a ce donné raison, c’était très mignon. Elle s’éloigna pour s’assoir et il la regarda faire sans rien dire bien trop amuser.

    Serenity - «Flirter avec des adolescentes même pas majeures à cet âge... »

Orion éclata soudain de rire, cella l’acheva, c’était génial, cette femme était tout bonnement génial. Elle aurait pu l’énerver, l’agacer, mais elle avait fait prendre la discussion dans une telle une tournure qu’il c’était juste vraiment amuser et là il en avait mal au ventre. Cela lui prit quelque seconde de ce calmer avant qu’il ne s’assoit dans l’herbe face à la jeune femme et lui face un sourire resplendissant mais pas du tout sincère, car le pauvre n’avait pas souri sincèrement de puis… jamais enfaite, il en était simplement incapable, mais ça c’était une autre histoire. Il fuma tranquillement devant elle, assit en tailleur.

    Orion - « Tu sais, ce que tu penses je m’en fiche. Ce travaille j’en ai besoin, mais au moins maintenant je peux avouer a la directrice que tu m’empêche de travailler. Et je sais que tu vas me dire… » Il prit alors une petite voix aigüe d’enfant. « « oui mais vous vous flirté avec les élèves » ce qui est en réalité très faut par ce que je n’aime pas les gamine et alors ce serra « vous leurs donner le mauvaises exemple » et blablablah… »

Il soupira en écrasent sa cigarette dans l’herbe et enfonça le mégot dans sa poche, oui il s’occuper de ce parce ce n’était pas pour le dégelasse dès le premier jour en pensant que c’est lui qui aller devoir tout ramasser. Il se laissa tomber en arrière et regarda le ciel d’un bleu aussi clair que celui de son pays. Cela lui rappeler son adolescence, il avait approché le bonheur, oubliant ses problèmes et pourtant toujours hanter par ses démons. Le soleil bleu de Beaubâton, les filles folles de lui sans qu’il ne le veuille et celle venant l’emmerdé pas contente que leur copines ne soufre. Un léger vent ce fit sentir et il ferma les yeux pour apprécier sentir cette caresse sur ses bras, son torse et son visage, c’était si bon un peu de calme. Il eut un sourire, oui c’était comme à l’époque.

    Orion - « Vois le bon coter des choses, je suis l’erreur monumental dont toutes ces filles en tireront une grande leçon de vie. Je le fais pour rendre service et en plus je ne le fait pas exprès. Tu vois, tu devrais être satisfaite, en envoyant ses filles paitre je leur apprends à ne pas s’amouracher d’un homme mauvais. »

Il rouvrit les yeux sur ce ciel l’limpide et un eu petit sourire triste. A une autre époque ‘était plus en couchant avec elles qu’il leurs donner des « leçons de vies » mais il avait grandi et savait qu’il en avait un peu profité même si il les avait toujours prévenu. Après tout il n’avait jamais rien promit et les avaient toujours traité aussi mal que possible pour qu’elles ne s’accroché pas à lui mais quoi qu’il fasse elles étaient toujours revenu. Pourquoi pensait-il a cela soudain ? Il était plongé dans une très mauvaise nostalgie, l’époque où il avait cru pouvoir s’échapper et avoir une vie comme les autres, mais son passer était venu le sortir du lit et l’avait ramené dans ses pires cauchemars. Il en oublia qu’il était en compagnie de quelqu’un, il leva son bras gauche et tourna la tête pour fixer son avant-bras. Sa peau était abimer a cette endroit-là, au début il avait tenté de ce bruler la peau, après sa première mission auprès des auror, il avait enfin comprit ce pour quoi il avait signé, il avait signé pour devenir un mangemort à part entière et pire encore car il exécuter aussi les mangemort et il ce dégouter de prendre la vie comme cela. Il avait alors voulu de bruler la marque, le seul moyen pour ne plus l’avoir, mais cela n’était pas passé inaperçu et il c’était fait torturé pendant des jours pour avoir voulu trahir les « sien ». Il se remit dans sa position initiale, les yeux vers le ciel et il les fermant une nouvelle fois. Depuis quand n’avait-il pas dormit vraiment ? Au premier jour de sa vie, il n’avait pu dormir correctement, jamais on ne l’avait laissé tranquille. Ce redressant enfin pour s’assoir il posa son regard sur la jeune femme, soudainement abattue.

    Orion - « Aller ma puce, laisse-moi travailler tu veux? Je ne fumerais plus en travaillant s’il n’y a que ça pour te rendre heureuse. »

C’était tout ce qu’il pouvait céder, fatigue en réalité par tout ça. Ses souvenir n’était pas bon pour lui, il lui intoxiquer l’esprit et faisait grandir son chagrin. A chaque fois qu’il ressentait de la joie pendant quelque minutes le renvoi était atroce et là il était allé jusqu’à rire, ça l’achever, il savait que tout cela aller disparaitre et que ce soir il serrait ivre mort dans son lit à revoir tous ces yeux éteint de lumière, tous ces visage le suppliant de les épargner. Cela ne rimer a rien de ce battre avec cette femme, c’était si insignifiant comme dispute. Il se leva et s’approcha d’elle en tendant calmement la main.

    Orion - « S’il te plais… »

Il avait une voix douce et poser, aucune rancœur, c’était oublier. Il voulait juste ne pas penser a justement ce à quoi il venait de se rappeler et pour ça il devait s’occuper l’esprit. Le travail manuel, a la moldu était son seul moyen de s’échapper de son enfer, comme un drogue et il en avait terriblement besoin à ce moment, à cause d’elle.



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MessageSujet: Re: Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity]   Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity] Icon_minitimeMer 12 Oct - 16:03




Comme toute femme avec une fierté plus grande théoriquement que sa propre taille, Serenity Willow détestait avoir l'impression qu'on se moquait d'elle. Qu'on ne l'écoute pas. Elle était autoritaire. Et bien-sûr, les frasques des hommes - car les femmes fières voient souvent tous les hommes comme des misogynes - l'agaçaient plus que tout et n'importe quoi. Alors imaginez le regard sévère qu'elle leva sur lui quand elle entendit ce rire résonner. Quoi ? Il y avait quelque chose de drôle ? Oh, selon elle, le fait qu'elle croise une quantité astronomique de personnage du genre était comique oui, dans le genre humour noir et sarcasmes.
Enfin voilà, l'endroit était certes très bien, un peu de soleil, de chaleur, un petit vent de temps à autres et un grand espace rien qu'à elle. Ou presque. Justement, c'est là que se situait le « mais ». Soit, elle était sensée l'embêter mais c'est lui qui la gênait avec son rire. Elle fronça les sourcils, tentant de se plonger totalement dans ses notes. Elle aurait préféré qu'il s'énerve, qu'il se mette à pester ou qu'il fasse autre chose, mais pas qu'il s'amuse et se bidonne. Le professeur ignora complètement sa présence, assit non loin. Il n'avait qu'à le reprendre son outil, de lui-même. Ce n'était pas en s'asseyant dans l'herbe et faisant le chien de garde devant elle qu'elle allait daigner lui rendre l'objet. Tiens elle devrait même l'emporter en cours pour ses élèves !

« Tu sais, ce que tu penses je m’en fiche. Ce travail j’en ai besoin, mais au moins maintenant je peux avouer à la directrice que tu m’empêche de travailler. Et je sais que tu vas me dire… » elle leva un regard terne et austère vers lui. « « oui mais vous vous flirté avec les élèves » ce qui est en réalité très faut par ce que je n’aime pas les gamine et alors ce serra « vous leurs donner le mauvaises exemple » et blablablah… » Il se trompait totalement. Bon, soit, c'est ce qu'elle pensait mais elle dirait simplement au professeur McGonagall qu'elle doutait de l'intérêt d'avoir un personnage pareil dans l'école. Puis elle ficherait le camp. Tant pis mince, la directrice avait d'ailleurs parfaitement bien cerné le caractère de Miss Willow donc elle verrait de quoi il était question. Serenity ne chercherait pas à s'expliquer ou se justifier totalement. Puis vu comment elles étaient déjà en conflit... ça en plus ou ci en moins...!
La sorcière secoua la tête.

    Serenity ;
    «
    Je ne sais même pas pourquoi je l'écoute... »

Puis elle se mit à se battre avec ses feuilles, tentant vainement d'ignorer le fait qu'il avait déjà à nouveau une cigarette en main. Elle s'en occuperait un peu plus tard, après avoir fini de se débattre et de vouloir l'ignorer.
« Vois le bon coter des choses, je suis l’erreur monumental dont toutes ces filles en tireront une grande leçon de vie. Je le fais pour rendre service et en plus je ne le fait pas exprès. Tu vois, tu devrais être satisfaite, en envoyant ses filles paitre je leur apprends à ne pas s’amouracher d’un homme mauvais. » Oh parfait, maintenant, il se faisait justicier masqué et donneur de leçons. Elle arrêta de trier ses feuilles nerveusement et le regarda sans expression. Déjà d'une, c'étaient des bêtises, les filles ne comprenaient pas souvent ce genre de choses et elle n'avait pas besoin de ce genre d'exemples pour le comprendre. Elles n'avaient pas besoin de pleurer et d'être écoeurée. Elles n'avaient pas besoin d'être déçues si facilement. Elles n'avaient pas besoin de ça, pas besoin de ce genre de choses ni de ce genre de personnes. Bon, bien évidemment, certaines étaient taillées pour résister à ce genre de gaillards : fallait bien inventer des sur-femmes pour supporter ces - allez, pour le jeu de mots - sous-hommes ! Mais s'il avait seulement été question de ça, Serenity n'aurait pu l'accepter, c'était tout. Cela n'avait rien à voir avec la raison, les principes ou être de bonne foi, aider les autres, le bien, le mal... Non, ça faisait simplement partie de sa personne. Bon, certes, désormais, c'était devenu un principe...
Mais plus que ne pas être d'accord... ces phrases... Elle les avait déjà entendu quelque part. Oh, elle ne tenait pas à faire le moindre effort pour savoir où ses oreilles avaient déjà recueilli ce couplet mais cela lui revint en bloc : la France, Beauxbâtons, ses amies, les soirées à ne pas dormir, à les écouter glousser, à se moquer d'elle et les consoler le lendemain soir. Quand Serenity faisait allusions à des dizaines d'idiots du type qu'elle avait croisé, elle ne plaisantait pas. Et tout commença à Beauxbâtons. Elle était encore si jeune et croyait au prince charmant bien qu'elle fut une petite peste. Au lieu de la réveiller de son sommeil, le prince lui fermerait son clapet se disait-elle. Ou transformerait ses insanités en mots doux ! Qu'importe. Certaine de tomber un jour sur le chevalier dans son armure clinquante, elle méprisait tous ceux qui en était loin. Blesser les filles étaient un jeu pour beaucoup d'entre eux il fallait croire... Mais il y avait celui-là... Elle ne se souvenait plus vraiment de son nom, tant elle avait été contente de l'avoir enfin oublié. Serenity ne le connaissait pas personnellement mais ses amies en étaient folles ou en parlaient souvent. C'est déjà agaçant d'entendre parler non-stop d'une personne dont vous vous fichez mais en plus, quand c'est un arrogant et un briseur de cœurs, ça n'aidait pas. Tous les soirs, elle le disait à Annabelle « Anna, c'est un idiot qui ne s'intéresse qu'à sa petite vie. Il se fiche de toi et de toutes les autres filles. » Mais elle disait le savoir, qu'elle s'en fichait, qu'elle était pareille ou avançait son fameux "Mais pourquoi irait-il avec ces filles s'il s'en fichait ? Tais-toi juste Serenity..." Et elle se taisait, fâchée. Il n'empêche, que son amie l'eut son moment d'existence auprès du garçon, peut-être un simple bonjour, un clin d’œil, un flirt, de belles paroles ou même un baiser, ou pire même plus... Elle n'avait pas voulu le savoir en la voyant essayer de retenir ses larmes. Un autre jour, la jeune sorcière qu'elle était dans un mauvais jour. Elle venait de remettre à sa place une de ces têtes enflées et en voyant Chevalier, elle en profita pour régler les comptes d'Anna. Ses premières paroles à son égard « Tu n'es qu'un crétin sans cervelle qui ne pense qu'à soit et sa paire de nargoles miniatures dans son boxer ou je-ne-sais-pas-quoi ! » et ses derniers mots à l'issu de cet échange, les derniers qu'elle lui adressa de sa vie « Tu n'est qu'un e*merdeur égoïste, *nom*, et personne n'a besoin de toi, ni de tes leçons de morale contrefaites ! Butor enfumé ! » et hop ! Basta. Elle lui a bien lancé plusieurs regards assassins mais l'oublia rapidement quand même. Personne ne lui en reparla dans ses proches donc... Si ses amies avaient retenu la leçon ? Vous plaisantez ? On n'est pas dans Denver ou tout est bien et tout le monde est copain. Non, elle changea simplement d'amies !

« Aller ma puce, laisse-moi travailler tu veux? Je ne fumerais plus en travaillant s’il n’y a que ça pour te rendre heureuse. » Elle avait été dans le vague jusque-là, jouant avec le cordon de sa cape de sorcière. Alors elle eut du mal à revenir encore à elle. Le professeur fit une grimace : il devait sérieusement arrêter avec cette façon d'appeler les gens. Elle soupira en se remettant à regarder ses notes en secouant brièvement la tête de gauche à droite. En fait, elle l'avait vaguement écouté et profitait encore un peu de son amusement. Qui l'amusait nettement moins d'un coup. Seulement, sa méfiance tira la sonnette d'alarme lorsqu'il se leva, l'ayant vu de sa vue panoramique. Elle fut bien obligée donc de lever la tête vers lui et l'observer avec son air le plus soupçonneux mais calme. « S’il te plais… » Serenity inspecta sa main tendue et remonta son regard vers lui - n'ayant visiblement pas peur du torticolis.

    Serenity ;
    «
    En temps normal, je vous demanderai pourquoi je devrais vous faire confiance... Après tout, rien ne vous empêchera d'en rallumer une, une fois le dos tourné... »

Elle soupira en mettant ses cisailles dans sa main mais ne les lâchant pas pour autant. Déjà d'une, elle trouvait ça trop facile. Deuxièmement, elle n'en avait absolument pas fini avec lui. Son regard se fit un tantinet moins dur alors qu'elle allait ouvrir la bouche.

    Serenity ;
    «
    Mais je n'ai pas que ça à faire de vous surveiller je suppose et je ne compte pas vous faire confiance. Officiellement, ce serait les cisailles et plus de cigarettes donc ? »
    elle sourit satisfaite juste d'avoir ça, même si ce n'était qu'un mensonge. « Puis arrêtez avec vos surnoms ! Mince... Je ne suis pas une puce, mon prénom n'est pas beauté, mon nom de famille n'est pas "Hé toi" non plus ! »

Bon, certes, elle avait elle aussi multiplié les "Lucky Luke" et autres références mais c'était différent. Ma puce, Francis l'avait parfois appelé comme ça et cela la mettait terriblement mal à l'aise désormais. Déjà qu'elle n'aimait pas quand c'était ce dernier alors un inconnu !

    Serenity ;
    «
    Puis les filles n'ont pas besoin de pleurer et d'avoir mal au cœur pour apprendre... Elles n'ont pas besoin de ce genre de service. C'est drôle... Vous me faites penser à un élève qui était à mon école de magie. Je ne me souviens même pas de son nom, on l'a enfin oublié ! Ca arrive souvent à ce genre de personnages... »
    oh, rien qu'une petite pique supplémentaire ! « Ca y est ! Je me souviens ! Chevalier l'emm*rdeur ! »

S'était-elle écrié avant de se pincer les lèvres honteuse. Elle qui n'était plus vulgaire ! Il suffisait qu'elle repense à son adolescence et voilà... Donc oui, tout le monde parlait avant de ce Chevalier - le nom de famille avait affreusement rien à voir avec la représentation de l'époque qu'avait Nity du chevalier - personne ne savait ce qu'il était devenu depuis et tous l'avaient oublié... Visiblement pas elle, mais si elle n'était pas réellement rancunière, Serenity remettait sans cesse des choses sur le tapis sans en vouloir réellement à quelqu'un. Ou bien, quand ça lui arrivait de garder rancune, celle-ci était tenace chez elle. La preuve en était à cet instant. Elle lâcha les cisailles réalisant qu'elle les tenait toujours et déglutit avec une petite grimace, se sentant bête mais repensa encore à ce Chevalier. Maintenant qu'elle y pensait... même avec un tel écart dans le temps, elle pouvait quand même trouver des ressemblances physiques entre eux deux.

    Serenity ;
    «
    Pendant un moment, je me suis dit que ça pouvait être vous ! Mais c'est impossible, il lui faudrait parler anglais et... Non ! Non ! Ne me dites pas que...? »
    Son sourire était crispée, comme si elle voulait faire croire qu'elle blaguait. « Oh non ! C'est pas vrai... Bon, cisailles rendues. Cigarette éteinte. Je ferais mieux d'y aller, n'est-ce pas ? »

Elle se leva mais étala ses notes par terre. Roulant des yeux la Willow se baissa pour les ramasser agacée. Fichue journée ! s'exclama-t-elle dans sa tête.

    Serenity ;
    «
    La Terre entière doit m'en vouloir ce n'est pas vrai ! »

Grogna-t-elle en lançant deux trois mauvais regards en la direction de l'homme qui lui valait tant de peines. Oui, elle le désignait coupable avec ce Ha Ji Hyuk et même le professeur McGonagall tant qu'on y était ! Non, rien à voir avec son caractère et sa maladresse, non !

    Serenity ;
    «
    Ca c'est de ta faute ! Les types comme toi me collent au train ! A croire que tu me suis... Tu es mort et tu es fantôme ? Va hanter quelqu'un d'autre si oui avant que je te hante et te maudisse... »

Et voilà qu'elle s'énervait de nouveau, elle qui s'était calmée un peu depuis... Si seulement elle pouvait l'effrayer ! La bonne nouvelle était qu'au moins, il ne se souviendrait pas d'elle : il n'avait jamais connu son nom. Ha ! il fallait qu'elle profite de cet avantage.

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MessageSujet: Re: Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity]   Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity] Icon_minitimeMer 12 Oct - 18:30



« Just a part of something you can't control »


Avait-il vraiment fait quelque chose de mal aujourd’hui ? Il savait bien qu’il n’était pas un homme bon, qu’il mériter milles souffrances pour tout ce qu’il faisait et avait fait dans sa vie, mais là il était plutôt gentil et calme non ? Bon, il savait qu’il n’était pas facile à vivre, que sa franchise et son impulsion maladive repousser les gens, mais elle ne pensait pas en faire un peu trop avec lui ? Il n’était pas un enfant et elle avait un comportement de dominatrice, comme si elle chercher à lui prouver qu’ici c’était son territoire et qu’il ne devait pas empiéter ici ou elle ce vengerait. Sincèrement, dans d’autres circonstances il serait bien rentré dans son jeu la tête baisser et se battre pour savoir qui serait le plus dominant, mais il savait que ce genre de femme pourrait aller à l’extrême et il ne pouvait pas se permettre de faire ça vu la mission qui lui était assigner. Pourtant elle le regardé avec un telle regard de défit et de méprit qu’il aurait bien pu céder à l’envie de lui rentrer dedans.

    Serenity - « En temps normal, je vous demanderai pourquoi je devrais vous faire confiance... Après tout, rien ne vous empêchera d'en rallumer une, une fois le dos tourné... »

Elle n’avait pas tort du tout et c’était même tout à fait à son honneur. Il était pourtant un homme de paroles et quand il promettait quelque chose on pouvait être sûr qu’il le ferait, du moins qu’il ferait tout pour car par fois ses promesses étaient tombé à l’eau, mais ça il ne voulait pas s’en souvenir, c’était ce faire du mal pour rien. Il n’avait sincèrement pas le courage de se battre alors il donna un petit coup de sa main tendu vers elle pour lui montrer qu’il attendait toujours, ce qui fut sa seul réplique et elle les lui tendit mais n’eut pas l’air de vouloir les lâcher.

    Serenity - «Mais je n'ai pas que ça à faire de vous surveiller je suppose et je ne compte pas vous faire confiance. Officiellement, ce serait les cisailles et plus de cigarettes donc ? Puis arrêtez avec vos surnoms ! Mince... Je ne suis pas une puce, mon prénom n'est pas beauté, mon nom de famille n'est pas "Hé toi" non plus ! »

Il eut un petit sourire amuser. Elle ne pouvait donc pas s’en empêcher. Il trouver plutôt ça charmant qu’elle soit gêner par de telle idioties, mais il le sentait bien, elle était gêné derrière cette agacement. Pour le reste il acquiesça sans rien dire, sachant qu’il ne le faisait que pour le début de sa tirade, car pour les petits surnoms il ne pourrait plu s’en empêcher, plu depuis qu’elle avait ces réactions tout à fait délicieuses et croustillantes pour lui. Cela aurait pu en rester là, elle n’avait cas lâcher la cisaille, il serrait repartit couper sa hais et elle trafiquer ses notes, mais elle n’avait pas l’air prête à le laisser partir et c’était très inquiétant qu’elle tienne tant a toujours lui tenir tête pour tout.

    Serenity - « Puis les filles n'ont pas besoin de pleurer et d'avoir mal au cœur pour apprendre... Elles n'ont pas besoin de ce genre de service. C'est drôle... Vous me faites penser à un élève qui était à mon école de magie. Je ne me souviens même pas de son nom, on l'a enfin oublié ! Ça arrive souvent à ce genre de personnages… Ca y est ! Je me souviens ! Chevalier l'emm*rdeur ! »

Combien de fois avait-il entendu cela ? Il était désoler de n’être qu’un être humain, pire un homme et d’attiré la gente féminin malgré lui ou par cette chose naturelles qu’on appelle les hormones. Apparemment els siennes marcher bien sur les adolescentes et certaine femme aussi, mais ça c’était tout autre chose et assez gênant comme discussion. En réalité il ne l’écouter pas vraiment, pas vraiment jusqu’à ce qu’elle dise son nom suivit d’un magnifique surnom. Elle avait dit quoi ? Orion resta sans bouger, la fixant un peut choquer qu’on se souvienne de lui, sur tout que elle l’ai connue et a Beaubâton en plus. Est-ce que c’était possible ? Par ce qu’elle ne lui disait rien du tout, de toute façon il était vrais cas cette époque il se foutait pas mal des filles en général, il ne coucher qu’avec celle qui le voulait vraiment, n’étant pas totalement un monstre. Enfaite il oublier leurs noms à peine avait-il posé ses mains sur elles, mais au moins il ne leurs mentait pas sur ses intentions, mais à chaque fois elles pensaient qu’il tomberait fou amoureux d’elle et à chaque fois elle partait en pleurent… Sincèrement il ne leurs avait jamais rien promit et elles auraient dû toutes savoir à quoi s’attendre. Bref, le plus choquant était qu’elle le connaissait, enfin elle ne l’avait pas reconnue. Enfin, c’était étrange la façon dont elle avait crié son nom, et cette façon si charmante de le surnommé. Grâce à Merlin cela eu au moins la bonne conséquence de lui faire lâcher les cisaille, mais pas sans surprise.

    Serenity - « Pendant un moment, je me suis dit que ça pouvait être vous ! Mais c'est impossible, il lui faudrait parler anglais et... Non ! Non ! Ne me dites pas que...? Oh non ! C'est pas vrai... Bon, cisailles rendues. Cigarette éteinte. Je ferais mieux d'y aller, n'est-ce pas ? »

Orion leva les yeux au ciel, c’était comme une mauvaise blague, ou ces films moldu que les gens adorent et qui sont vraiment nul. C’est étrange comme il ne prit pas mal le faite qu’elle pense qu’il n’était pas capable de parler une autre langue, dommage pour elle, l’anglais était sa langue maternel et bien qu’il considéré la France comme son pays d’origine, il ne pourrait jamais nier que L’anglais était la première langue qu’il eut appris dans sa vie. C’était très sympa de sa part, mais il se rendait de toute façon compte qu’elle n’avait pas l’air de le porté dans son cœur, même à une autre époque, bien loin d’eux, apparemment. Il ne réplica rien, car à ce moment il eut encore l’espoir qu’elle disparaisse, malgré cette révélation un peut gênante. C’était sans compter sur Merlin qui décidément lui en voulait atrocement aujourd’hui. En se levant bien trop vite, elle fit tomber tous ces parchemins à ses pieds. Il se baissa alors, par reflexe pour l’aidé.

    Serenity - « La Terre entière doit m'en vouloir ce n'est pas vrai ! »
    Orion - « Eh bien on est deux… »

Un soupire de fatigue qui lui échappa, mais on ne pouvait pas vraiment lui en vouloir n’est-ce pas ? Pourtant il n’était pas au bout de se surprises et il devait vraiment prendre sur lui pour ne pas réagir a ses attaque toujours aussi ingrate et sans fond.

    Serenity - «Ca c'est de ta faute ! Les types comme toi me collent au train ! A croire que tu me suis... Tu es mort et tu es fantôme ? Va hanter quelqu'un d'autre si oui avant que je te hante et te maudisse...»

Elle était sérieuse là ? Il se serait bien passé de retrouver une fille qui pourrait tout à fait découvrir qui il était, si elle connaissait une partit de son passer pour lui elle était dangereuse et donc elle n’était pas au bout de ses surprise car il aller la surveiller. Il ne pouvait pas se permettre qu’on sache des choses sur son passer, heureusement elle n’avait pas l’air d’en savoir bien plus sur lui, mais il devait quand même s’en assuré. Il devait donc rester calme et dans son coin pour ne rien risquer, seulement Orion ne pouvait plu ce retenir, cette fois c’était trop. Il prit le paquet de parchemin de note qu’il avait ramassé et ce leva avec pour l’empêcher de les prendre les serrent fort entre ses doigts agacer au plus au point par tant de puérilité par une femme qui se disait « donner le bonne exemple » aux élèves.

    Orion - « Ecoute bien, ma puce, je me fou pas mal de toi, j’en ai clairement rien à foutre, si seulement tu pouvais me laisser respirer deux minutes ! Alors arrête de croire à tes fantasmes, d’accord ? Par ce que la seul qui ce souviens de l’autre ici, c’est toi, et sincèrement tu me fait de la peine à avoir un caractère aussi aigrit. »

Il en avait clairement marre d’elle, elle et ces répliques, si ça l’avait amusé jusque-là et bien s’en était trop. Qu’il l’attaque directement bien, mais il savait que c’était le genre d’emmerdeuse à ne pas pouvoir s’empêcher de recommencer à venir le faire ch*er et il ne voulait pas l’avoir sur le dos simplement par ce cas l’époque de Beaubâton il avait était con et qu’elle lui en voulait pour ça.

    Orion - « C’est quoi ton problème, bordel ? Tu n’aimes pas les hommes qui attirent l’attention ? Tu crois que ça m’amuse ? Je travaille depuis deux heures sous cette chaleurs, j’en transpire comme un dingue et j’ai surement déjà un coup de soleil dans le dos, alors non je ne chercher pas à « flirté » avec des gamines et non même à Beaubaton je ne le voulais pas. J’avais 17 ans, une vie de merde et je faisais tout pour qu’elles ne m’approchent pas, elles étaient prévenu mais elles sauter dans mon lit à pieds joins. J’aurais dû les virés, mais j’étais un gamin, ok ? Alors maintenant tu vas te calmer avec ces putain d ‘histoire a la con, tu vas me lâcher la grappe, aller dire ce que tu veux a qui tu veux à mon sujet, mais bordel laisse-moi tranquille au lieu de rester là et te plaindre que je te colle ! »

Il avait parlé en bougent les bras, enfin parler, plutôt hurler pendant toute sa tirade et maintenant il haletait en baissant les bras ce rendant compte qu’il avait laissé le barrage céder et que toute sa colère c’était déverser d’un seul coup. Il se sentait idiot et baissa les yeux pour ne pas croiser son regard, la voir jubiler ou e, rajouter une couche. Il fixa les feuilles de la femme et soupira assommer par tout ça. Tout ce qu’il avait voulu en se levant c’était travailler et profiter des quelques premier jours où il s’intégré sans vraiment devoir faire sa mission, les seul jours où il pouvait être une autre personne et oublier la réalité et il avait fallu que cette femme lui envoi en pleine face. Il lui rendit ces notes, et comme il était gaucher, il le fit de la main gauche ce qui l’obligea à voir sa marque. Il détourna les yeux et dès qu’elle prit les feuilles il retira vite sa main comme bruler. Il était à bout, il en avait déjà marre et n’avait même plus envie de se remettre à travailler ce trouvant encore plus minable cas l’accoutume. Il aurait voulu fumer pour se détendre ou boire, Merlin ce qu’il pouvait avoir envie d’un verre de Whisky. Il alla ramasser son t-shirt pour l’enfiler en soupirant, prennent sa pause un peu plus tôt que prévu.

    Orion - « Tu vois, tout le monde n’as pas réussi ça vie et est devenu prof, tu dois être contente, Chevalier l’emerdeur a une vie de merde. Vas jubiler et protéger tes élèves et reste loin de moi, très loin de moi. »

Sa voix était redevenue calme, mais d’un froid incroyable sans parler de son regard plus meurtrier qu’il ne l’aurait lui-même voulut car cela traduisait la blessure qu’il avait en lui. Elle avait touché une corde sensible elle devait être heureuse. C’était idiot, mais Beaubaton était les plus belles années de sa vie, bien qu’il savait qu’il avait était un monstre pour certaines personne et c’était cela qu’il aurait voulu effacer, il aurait voulu revenir en arrière et ne pas faire tout ça juste pour profiter encore pleinement de sa vie de jeune garçon, loin de la mort et de la peur. Contrairement a elle il n’avait pas eu la chance de s’en sortir si bien. Enfaite il gagner bien plus d’argent qu’elle, il le savait mais ce n’était pas cela qu’il voulait dire en parlant de leur situation, même si elle ne le savait pas, il parler de la situation social, ou humaine. A l’échelle de ce qu’il avait vue dans sa vie il était tout en bas et encore bien plus loin et elle ne devait pas être loin du sommet, car la seul chose qui l’inquiéter dans la vie c’était qu’il fumer et ce mettait torse nu en plein parce devant ses pauvres élèves. C’était pathétique et blessant pour lui. Il se mit dos à elle et s’assit sur l’herbe vert du parc, juste face au lac pour ce perdre dans son chagrin. Il sortit son paquet de cigarette et voulu en fumer une car il prenait sa pause, mais il ce retint et ne fit que jouer nerveusement avec le paquet car elle était toujours là et tout ce qu’il voulait c’était qu’elle parte, qu’elle le laisse car il ne pourrait plus supporter une seul remarque de travers, plus une. Il était à bout, vraiment à bout…

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MessageSujet: Re: Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity]   Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity] Icon_minitimeMar 18 Oct - 13:27



The gift of pissing people off


Bon, Serenity n'était vraiment pas facile à vivre. Elle aimait la confrontation, oui, il fallait l'admettre. Elle aimait avoir raison. Elle haïssait avoir l'impression d'être faible, elle l'avait suffisamment été dans son passé comme ça. Elle détestait être une femme parfois, la rendant parfois si vulnérable dans la tête des hommes. Elle aimait parfois faire sa vilaine sorcière de l'est, sorcière qui mangeait tout cru ses adversaires. Mais sa nervosité ne lui en donnait pas l'étoffe parfois. Oui, tout ça, elle se l'admettait à elle-même, pour les autres, tout ça serait faux. Pourquoi ? Parce qu'elle était seule avec Dylan contre tous selon elle et parce qu'elle avait un fichu caractère de petite fille à papa qui avait vécu dans un cocon tissé d'or. Cela ne l'avait pour autant en rien aidé quand elle se retrouva dans une galère toute seule. Au contraire. Serenity se méfiait de tout et de rien, sans oublier qu'elle campait sur ses idées.
Mais s'il y avait bien une chose qu'elle n'aimait pas, c'est que son passé se mêle avec son présent. La petite peste qui se défoulait sur tout le monde qu'elle fut, elle l'avait rangée dans une boîte – bon, elle se défoulait toujours sur tout le monde cela dit – pour devenir une femme capable d'élever un enfant seule. Elle avait beau être parfois nostalgique, le passé ne lui apportait pas que du bon. Alors imaginez la combinaison du passé parfois bien agaçant avec un personnage bien agaçant. Le plus frustrant dans tout ça, c'est que rien ne semblait avoir changé. Ce Chevalier l'agaçait toujours autant et elle passait toujours ses nerfs sur les premiers venus. Frustrant. Elle qui pensait avoir avancé. Il suffisait qu'elle se retrouve avec sa mère pour se sentir comme une gamine, donc elle n'avait pas besoin que des gens de sa promotion – ou de promotions à peu d'années de différence – reviennent lui rappeler ce qu'elle était. A ce niveau-là, oui, son cerveau allait trop rapidement à son goût.

Elle aurait mieux fait de se taire. Ce n'était pas de sa faute à lui. Mais tout le ressentiment pour lui qu'elle avait à l'époque lui revint en bloc, sans compter la confrontation qu'elle avait un peu cherché et l'agacement de Ji Hyuk. Oh, c'était suffisant pour qu'elle décolle et conjure tous les dieux auxquels moldus elle ne croyait pas de vouloir la délivrer. Oh non, le ciel se moquait bien d'elle, tant que même physiquement, il en rajoutait. Elle voulait juste partir pour que cette comédie ne s'arrête, qu'elle aille se défouler en déchirant des morceaux de chocolats et de tarte. C'était un plan qui lui convenait parfaitement mais non.
« Eh bien on est deux… » Elle ne réagit pas, pas même intérieurement à cette remarque qu'il fit. Son bureau lui manquait énormément soudain. Même son lit tiens. C'était frustrant. Terriblement frustrant. Et encore ! Elle n'était pas encore arrivée à la conclusion que tous ses efforts étaient vains. Elle devenait professeur, on remettait en cause ses capacités à l'être. Elle devenait mère, elle doutait elle-même d'en être une digne de ce nom parfois. Elle devenait une femme – si je vous l'assure, croyez-le, ça lui arrivait de l'être – ou au moins une autre personne, et la gamine capricieuse qu'elle fut lui retomber toujours dessus en lui demandant des comptes. Quelle sale peste cette ancienne « elle », on aurait même dit qu'elle se moquait d'elle en faisant un bilan catastrophique.
A qui criait-elle tout ce qu'elle venait de débiter ? A cet arrogant de Ji Hyuk ? A sa mère ? A Francis ? A Chevalier ? Ou à son double ? Oh ! Si on pouvait seulement étrangler son ancien soi !

« Écoute bien, ma puce, je me fou pas mal de toi, j’en ai clairement rien à foutre, si seulement tu pouvais me laisser respirer deux minutes ! Alors arrête de croire à tes fantasmes, d’accord ? Parce que la seul qui ce souviens de l’autre ici, c’est toi, et sincèrement tu me fait de la peine à avoir un caractère aussi aigrit. » Elle grimaça en entendant ce « ma puce » plus qu'au reste. Cet homme était doué pour faire naître la culpabilité en elle, ou renaître. Non, le reste du discours la givra complètement. Les yeux ronds, elle l'observait. Elle ne s'attendait pas à cette réaction et pour tout dire. Quant à ses mots... Si sur le coup, au moment où il disait tout ça, elle se sentit pousser des ailes d'ange de la mort, après une seconde ou deux, elle se calma.
« C’est quoi ton problème, bordel ? Tu n’aimes pas les hommes qui attirent l’attention ? Tu crois que ça m’amuse ? Je travaille depuis deux heures sous cette chaleurs, j’en transpire comme un dingue et j’ai sûrement déjà un coup de soleil dans le dos, alors non je ne chercher pas à « flirté » avec des gamines et non même à Beaubaton je ne le voulais pas. J’avais 17 ans, une vie de merde et je faisais tout pour qu’elles ne m’approchent pas, elles étaient prévenu mais elles sauter dans mon lit à pieds joins. J’aurais dû les virés, mais j’étais un gamin, ok ? Alors maintenant tu vas te calmer avec ces putains d‘histoires à la con, tu vas me lâcher la grappe, aller dire ce que tu veux à qui tu veux à mon sujet, mais bordel laisse-moi tranquille au lieu de rester là et te plaindre que je te colle ! » Oula, ce n'est pas dans ce sens-là qu'elle avait dit tout ça pour l'histoire de la « poursuivre ». Mais ça n'avait aucune sorte d'importance. Elle resta muette fronçant les sourcils et roulant les yeux de temps à autres quand elle était vraiment agacée (comme pour le coup de soleil, qui était selon elle l'intrus dans son discours). Mais en fait, elle l'écoutait. Elle ne s'attendait vraiment pas à ce genre de discours non plus. Comment réagir à ce genre de paroles ? Elle gonfla ses joues. En temps normal, elle aurait fini par admettre ses tords, c'était si dur cependant quand on voyait le personnage. Puis égoïste comme pas deux, elle se fichait bien de son histoire et son blabla... Enfin ça, c'est ce qu'elle se disait. Mais le « j'avais 17 ans, une vie de merde » resta dans un coin de son cerveau.
Son regard se fit flou quand il lui rendit ses notes qu'elle prit mollement, obnubilée par cette marque. « Une vie de merde », son regard se fixa sur lui, elle l'écoutait mais en même temps réfléchissait. Elle n'était pas très présente.

« Tu vois, tout le monde n’as pas réussi sa vie et est devenu prof, tu dois être contente, Chevalier l’emmerdeur a une vie de merde. Vas jubiler et protéger tes élèves et reste loin de moi, très loin de moi. » Wouah, cela venait de prendre une dimension, qu'elle, redescendue dans son énervement et sur Terre, ne comprenait soudainement plus. « Va jubiller », c'était une idée envisageable mais elle n'avait aucune envie de rire. C'était ridicule, elle s'en rendait compte. Elle ignorait ce qu'il l'avait mit dans cet état, lui qui semblait se montrer si calme, si mature, si, presque, donneur de leçons. La sorcière aurait dû en être satisfaite mais la tension qui la poussait à le sortir de ses gonds venait de retomber. Comme une douche froide. Qu'est-ce qui avait déclenché tout ça ? Le fait qu'elle le connaisse de nom ? Et bien, bienvenue au club, il la connaissait pas – et heureusement – mais sa présence ici était suffisante pour l'agacer d'une certaine façon. Mais jamais autant que lui. S'il ne la connaissait pas, pourquoi un tel état ? Le cumul de tout ? Elle se savait agaçante mais... Pourquoi réfléchissait-elle à ça ? Cette curiosité la tuerait. Elle gonfla ses joues en le voyant s'éloigner. Puis mince, sa vie n'était pas si réussie, et si oui, elle se souciait que celle de son fils commence bien mal.
Fichue conscience. Elle soupira, décidant qu'elle en avait assez fait mais dire qu'elle ne se sentait pas coupable au fond d'elle serait un mensonge. Après tout, oui, elle ne le connaissait pas personnellement, de quel droit le jugeait-elle sur ses ressentiments d'adolescente justicière de la cause féminine ? Ceci dit, elle n'avait jamais eu l'intention de le connaître non plus. Pourquoi ? Vu comment ça se passait à cet instant, visiblement, rien y changerait. Seulement, oui, ce truc nommé conscience l'avait mauvaise. La brune chercha dans sa cape et fit de petits pas lents vers l'homme.

    Serenity ;
    «
    Promit, je ne vous embête plus... Juste... je ne peux pas fumer. Pas seulement pour les élèves, même en-dehors d'ici je ne peux me le permettre. Mais je suis une grande nerveuse qui se défoule sur tout le monde et qui a raison même quand elle a tord. Tête en l'air, couveuse, insensible et autoritaire de surcroît ! »
    elle roula des yeux à ses propres paroles mais il ne le verrait sûrement pas, ce en soufflant un 'il a remarqué je pense'. Elle posa une boite à côté de lui avant de se redresser. « Donc je prends ça pour me calmer. Ça ne doit pas être pareil qu'une cigarette mais d'habitude ça m'empêche de faire léviter certains de mes élèves dans le mur... enfin je veux dire... »

Elle grimaça. Bravo pour l'exemple des élèves dans le mur... Pour dire les choses qu'elle n'était pas censée dire, Miss Willow était particulièrement douée.
Ce dont elle parlait, autrement, était une boite à bonbons en fait, qui renfermait plutôt des chewing-gums et autres choses du genre pour passer les nerfs dessus. Elle en avait des dizaines dans son bureau, bon, un peu moins puisqu'un de ses élèves ou collègue (ou elfe, animal, créature tiens) avait déjà fait la découverte et en avait piqué. Il n'en ferait peut-être rien mais c'était son geste pour s'excuser ou soulager sa conscience, dans l'idée de « Oh puis, au moins, j'ai fait un petit effort. » Ce serait trop facile de changer l'idée qu'elle avait de la situation ou de lui comme ça d'un coup. Facile et hypocrite en plus de ça. Pour l'instant, elle n'en avait aucune raison. Serenity regardait ailleurs, elle se mordit la lèvre avant de poursuivre.

    Serenity ;
    «
    Donc vu notre pacte... Si l'envie vous viens de m'enfoncer dans le mur ou fumer... Ça aide. Enfin, en tout cas, je crois. »

Elle évita cette fois d'ajouter son « Ça marche pour mes élèves les plus agaçants. » Mais la sorcière le pensa fortement. Elle plaça un bonbon au chocolat et à la guimauve dans sa bouche avec grande satisfaction.

    Serenity ;
    «
    Désolée pour tout ça, je ferais comme si de rien était désormais, ça vaudra mieux je pense. Bref, c'est votre pause, non ? Profitez-en, bonne chance pour votre travail, des roses seraient pas mal. Enfin... Je meurs de faim donc je vous laisse sauf si vous voulez que je vous embête plus longtemps - c'est naturel donc. Oh mon caractère me fait de la peine aussi et pour le truc des fantasmes, c'était très bizarre. »

Lâcha-t-elle en baissant la tête vers lui sans sourire. Elle aurait dû le faire mais elle sentit que ce n'était pas approprié. Surtout si il avait, à son image, encore envie de l'encastrer dans les pierres du château de Poudlard. Mais c'est vrai que cette réplique était la seule qui l'amusa dans tout son discours et bien que rapide à s'enflammer, elle restait positive donc elle la ressortit. Cette seule chose dont elle pouvait tirer quelque soit de ne pas énervant – pour lui ceci dit, le professeur aurait pu prendre la mouche plus que ça vu ce qu'il avait dit. Elle faisait une sacrée lunatique vu de l'extérieur... elle le savait pertinemment. Mais Serenity tentait aussi de montrer qu'elle ne se démontait pas, qu'elle ne se vexerait pas de tout ce qu'il avait dit - on le lui disait souvent - et que sa bonne humeur reviendrait toujours au galop, l'attendant au coin d'une rue.
Une chose était certaine, c'est que maintenant, elle en savait un peu plus. Soit, elle avait dit qu'elle ne l'embêterait plus, le laisserait mais de là à faire comme si de rien était. Ces marques sur sa peau... jamais elle ne pourrait les ignorer. Si elle ne le faisait jamais réellement exprès – bon, sauf parfois, faut bien l'avouer – son caractère agaçant finissait toujours par laisser paraître des choses chez les autres. « Une vie de merde » collait trop bien avec ces marques, non ?
La curiosité...

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MessageSujet: Re: Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity]   Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity] Icon_minitimeMar 18 Oct - 18:04



« J'aime pas les titres »


Au fond quand on y regardé plus en profondeur on pouvait facilement ce rendre compte que si il c’était mis en colère cela n’avait rien à voir avec elle. Il était dans une très mauvaise passe, ou plutôt sa mauvaise passe s’éterniser et devenait de plus en plus sombre. C’était difficile pour lui de réaliser à quel point son adolescence n’avait était qu’illusion. Il se l’était toujours idéaliser et recommencer souvent à le faire, comme pour cacher la réalité, mais au final elle lui revenait toujours en pleine figure et aujourd’hui n’était pas un bon jour pour ça. Il aurait simplement voulu oublier quelque heurs encore ce pourquoi il était là et au final elle lui avait mis le nez dessus sans le vouloir. Il ne pouvait pas vraiment lui en vouloir, après tout a par venir lui casser les pieds elle n’avait pas cherché à toucher à ça, elle avait juste voulu « préserver ses élèves » et c’était plutôt une bonne chose, sur tout de lui pour finir. Seulement il ne pouvait pas lui donner raison, d’une par ce qu’il détester qu’on lui marche sur les pieds et de deux car cela risquer aussi de lui amener des problèmes pour sa mission. Sa mission… il ne savait même pas ce qu’il était censé faire, il devait surveiller ce qui ce passer et sur tout Potter, mais surveiller quoi au juste ? C’était débile, et au final cette mission était la plus facile de toute, il n’avait rien à faire a par observer un gamin et trouver des infos sur le tournoi. Au final il était plus déprimer sur sa vie quand son esprit n’était pas pris par toute les horreur qu’il était censée faire. Il soupira en ouvrant machinalement son paquet de cigarette, mais renonça à en sortir une, se contentant de les regardé, pour la simple bonne raison que cette femme c’était rapprocher de lui. N’avait-elle pas comprit qu’il voulait être seul ? Qu’il en avait besoin, en réalité ? Pourquoi devait-elle être comme ça ? Si collante, si énervante, alors qu’il l’avait presque supplié pour qu’elle parte.

    Serenity - « Promit, je ne vous embête plus... Juste... je ne peux pas fumer. Pas seulement pour les élèves, même en-dehors d'ici je ne peux me le permettre. Mais je suis une grande nerveuse qui se défoule sur tout le monde et qui a raison même quand elle a tord. Tête en l'air, couveuse, insensible et autoritaire de surcroît ! »

Non c’est vrai ? Orion aurait très bien pu lui dire ça et être désagréable pour relancer la guerre, mais il n’en avait pas la force. Il retint qu’elle avait envie de fumer, peut être que cette frustration l’avait poussé à venir l’emmerdé, il voulait bien mettre ça de son coter et d’apaiser son agacement en vers elle. Il avait bien remarqué ces petits défauts, il les avait vue déferler sur lui si vite et brutalement qu’il n’aurait pu les rater. Il était aussi calmer en remarquant qu’au fond elle avait une moral dont lui était dépourvue et rien que pour cela il commencer à avoir un certain respect en vers elle, bien qu’il ne l’avouerait pas de sitôt.

    Serenity - « Donc je prends ça pour me calmer. Ça ne doit pas être pareil qu'une cigarette mais d'habitude ça m'empêche de faire léviter certains de mes élèves dans le mur... enfin je veux dire... »

Orion leva les sourcils amusé par cette réplique. Elle était non seulement une folle furieuse mais en plus elle avait des envies violentes. C’était très bon à savoir ça, juste pour se moquer d’elle, ce qui au moins avait l’avantage de remonter son moral. Baissant les yeux vers ce qu’elle avait posé à coter de lui, il fronça soudainement les sourcils intrigué et quand il la prit il comprit.

    Orion - « Une boite de bonbon moldu ? »

Levant les yeux sur elle amuser par ce dons si improbable il ce retint de se moquer d’elle par ce que c’était si… féminin ? En plus elle en avait l’air gêné, ce qui était encore plus jubilant pour lui. C’était en réalité très enfantin aussi, ce qui était la vrais cause de son amusement. Est-ce qu’elle ce mordait la lèvre ? Il sourit, ce tique était topique, mais il ne put s’empêcher de sourire.

    Serenity - « Donc vu notre pacte... Si l'envie vous viens de m'enfoncer dans le mur ou fumer... Ça aide. Enfin, en tout cas, je crois. »

Un pacte ? Quel pacte ? Il n’était pas sur de savoir ce qu’elle voulait dire, mais ce qui était certain c’est que même sous la colère il n’était pas du genre à vouloir l’envoyer dans le mur, il n’avait pas ce genre d’envies lui, contrairement à elle.

    Serenity - « Désolée pour tout ça, je ferais comme si de rien était désormais, ça vaudra mieux je pense. Bref, c'est votre pause, non ? Profitez-en, bonne chance pour votre travail, des roses seraient pas mal. Enfin... Je meurs de faim donc je vous laisse sauf si vous voulez que je vous embête plus longtemps - c'est naturel donc. Oh mon caractère me fait de la peine aussi et pour le truc des fantasmes, c'était très bizarre. »

Orion ne put retenir un ricanement cette fois en se levant. Il n’était plu en colère, juste blesser, mais cela ne changer pas beaucoup de l’ordinaire. Il ne lui en voulait pas du tout, après tout il était aussi colérique qu’impulsif et c’était le faite de lui interdire la cigarette qui lui faisait perdre totalement ses repères. S’il ne pouvait plus avoir cette antidépresseurs, il finirait par vraiment envoyer non pas une, mais plusieurs.
    Orion - « C’est vrais que ce parc manque de fleurs, le nôtres était bien plus garnie n’est-ce pas ? » Il eut un petit sourire, comme pour s’excuser de s’être mit à crier pour des idioties. « Merci pour les bonbons, je ne suis pas sûr de pouvoir arrêter le tabac, mais j’aurais surement une meilleur haleine. »


Il rangea son paquet de cigarette et prit un bonbon pour le mettre dans sa bouche. Il n’avait pas souvent eu l’occasion de manger ce genre de chose, c’était très étrange car ça avait un gout très fort, c’était très sucré mais sur tout élastique. La première fois il l’avait avalé et avait vite comprit que cela ne se faisait pas. Orion offrit un petit sourire a la prof en rangent la petite boite dans sa poche de jean. Les soucis à présent c’était qu’il devait être sûr que tout aller bien, il avait l’opportunité de ce rattraper et de ne pas avoir de fouine sur le dos alors il se devait d’être polie et de se soumettre à son rôle.

    Orion - « Ecoute, je ne suis pas masochiste, mais je trouve idiot de me mettre à dos une personne travaillant ici et qui a mon âge de sur crois, dès mon premier jour ici. Alors, je ne voudrais pas abuser, mais… moi aussi j’ai faim, alors pourrions-nous en profiter pour reprendre à zéro ? Bien que te souviennes d’un « moi » assez juvénile, je l’admets, mais nous somme adultes maintenant alors ai-je une chance de me faire une amie dans ce château ? »

Il lui fit un petit sourire pour avancer son argument. En réalité, il ne demander pas cela que pour que ça mission ce déroule bien, il avait peut-être besoin d’un peu de compagnie au final. Seulement il n’avait pas conscience de ce genre de choses, il avait toujours plus la manie de repousser les gens quand il se rend compte qu’il ce rapproche trop et que cela pourrait être, non pas dangereux pour lui, mais pour eux. Le brun réalisa alors qu’il faisait peut être une bêtise sur le coup, après tout cela ne se finissait pas mal, alors pourquoi ne pas en rester là ? De plus elle avait beaucoup de raison de refuser et bien qu’il se penser intouchable à ce niveau-là, il connaissait la principal raison d’un éventuel refus qui au fond du fond lui faisait plus de mal qu’il ne voulait bien le croire. Il soupira en se sentant idiot sur le coup et ce passa une main dans les cheveux pour donner le change.

    Orion - « Enfaite, c’est une très mauvaise idée, tu as vu ce que je suis… je pense bien que la prof d’étude des moldus ne voudra pas d’un type comme moi, je suis désoler. »

Il soupira une nouvelle fois en croisant sa marque quand il baissa sa main gauche. C’était une affaire récurrente et cette constatation en lui parlant le refit tomber dans sa continuel torture. Même pour faire « semblant » d’avoir une vie sociale, il ne pouvait pas et c’était toujours pour la même raison. Il fit ne dit plus rien ce retournant et alla ramasser ses cisaille tristement. Au final il préféré continuer à travailler que de penser a cela.

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MessageSujet: Re: Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity]   Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity] Icon_minitimeMer 19 Oct - 21:22



Hello, it's me, I annoy you. Grr
Mais pourquoi disait-elle tout ça ? Pourquoi faisait-elle toujours des trucs comme ça ? Elle était presque sûre qu'un jour ça lui retomberait dessus. Si elle cherchait à montrer qu'elle n'était pas une petite gamine capricieuse gâtée par son père, plus elle allait dans ce sens, plus elle se sentait aussi petite qu'une enfant – rien à voir avec sa taille qui était celle de ses élèves (les filles). Si elle cherchait à se discréditer, elle avait réussit son coup ! Serenity avait énuméré ses défauts, avait dit des choses qui sont censées rester bien au fond du cœur ou du crâne de quelqu'un et en plus, son comportement était irrégulier. Il fallait bien l'admettre, elle agissait comme une enfant... L'avenir de Dylan avait de quoi l'angoisser si c'était vrai... Laissez-lui au moins le fait que « agir comme » était différent « d'être ». Ce qui l'énervait c'est bien de s'en rendre compte par cette comparaison passé/présent dégradante. Elle s'en remettrait, un bonbon, un chocolat, une séance de sport, un cri, un sourire et elle serait repartie. Il faut forcer un bon coup sur la machine pour la faire repartir, c'est ce que disait son père... Merlin, oui, une vraie fille à papa.
Elle glissa ses mains dans les poches de sa cape, les balança en regardant brièvement ailleurs, prête à partir, sa réplique de fin lancée... A pas très lents. Comment ça « pour observer ce qu'il ferait » ? Absolument pas. Bon d'accord, il y a de ça mais elle n'avait pas réellement envie de partir. Finalement, c'était encore plus étrange de se quitter sur ce genre d'ambiance que énervés et remontés l'un contre l'autre. Elle secoua la tête, grimaça et se massa le ventre. Ce dernier occupait toutes ses pensées quand elle l'entendit rire. Ce n'est pas vrai ? Le spécimen masculin n'avait pas la rancune tenace alors ? Dire que la sorcière elle se souvenait encore des peines qu'elle avait subie – elle en rajoute oui, mais ce ne serait pas Serenity sinon – par sa faute à l'adolescence... Elle n'avait vraiment pas de quoi la ramener.

« C’est vrai que ce parc manque de fleurs, le nôtre était bien plus garni n’est-ce pas ? » Elle hocha la tête de façon à peine perceptible, regardant toujours le vide devant elle. « Merci pour les bonbons, je ne suis pas sûr de pouvoir arrêter le tabac, mais j’aurais sûrement une meilleur haleine. » Cette fois, elle dut bien baisser la tête pour cacher un sourire, sauf que ça ne cacherait rien en fait. Elle secoua la tête de gauche à droite, en regardant finalement autour d'elle avant de lui jeter un regard sarcastique. Serenity n'y croyait pas vraiment, mais si ça pouvait continuer sur cette lancée, peut-être ne serait-elle plus obligée de regarder dans le passé – ou dans le négatif, elle serait obligée d'admettre qu'elle s'était trompée et se trompait toujours au sujet du "jardinier". Impossible, elle mettrait des semaines à l'admettre si ça devait arriver. Son ventre la coupa de ses pensées, grognant tel un dragon qui aurait un rhume et n'arriverait pas à cracher du feu. Le professeur fit une petite moue, retenant son souffle pour ne pas que ça s'entende et essayant de se concentrer sur ce qu'il disait. « Écoute, je ne suis pas masochiste, mais je trouve idiot de me mettre à dos une personne travaillant ici et qui a mon âge de sur crois, dès mon premier jour ici. Alors, je ne voudrais pas abuser, mais… moi aussi j’ai faim, alors pourrions-nous en profiter pour reprendre à zéro ? Bien que te souviennes d’un « moi » assez juvénile, je l’admets, mais nous somme adultes maintenant alors ai-je une chance de me faire une amie dans ce château ? » Oh Merlin ! Ce que tu voudras tant qu'on mange finalement... pensa-t-elle. Mais elle trouvait son changement vraiment perturbant. Serenity comprenait enfin le sentiment des gens face à ses propres changements d'humeur. Elle exagéra un air suspect pour faire la comique encore. Puis elle se retrouva un peu perplexe : elle s'était vraiment préparée à du froid ou des foudres, habillée en combinaison avec un coupé. Perplexe et presque étonnée. Hum... Il fallait admettre que cette occasion pourrait satisfaire sa curiosité – comme son ventre – et la fée Morgane elle-même savait combien la sorcière avait besoin de nourrir celui-ci. Elle observa son sourire et laissa tomber psychiquement toutes les armes. Voilà pourquoi elle n'aimait pas ce genre d'hommes ou de garçons, il lui donnait l'impression de se faire manipuler à longueur de temps même quand ce n'était pas le cas.
Une amie ? Elle venait de défouler ses nerfs sur lui, l'insulter, elle le connaissait de vue depuis quelques temps... A bien y réfléchir, c'est ce qu'elle faisait subir à ses amis – on rêve tous de ce genre d'amis, n'est-ce pas ?! (je souligne l'aspect sarcastique de cette dernière remarque). « En fait, c’est une très mauvaise idée, tu as vu ce que je suis… je pense bien que la prof d’étude des moldus ne voudra pas d’un type comme moi, je suis désolé. » Serenity ouvrit la bouche avant de l'observer repartir à son boulot. Il lui faisait quoi là ?! Elle n'avait pas fini de se monter des scénarios où ils s'entre-tueraient à coup de fourchettes avant de devoir refaire la paix ! La sorcière fronça les sourcils et le poursuivit. C'était quoi cet auto-rejet qu'il lui faisait ? Le sorcier n'avait quand même pas des craintes ou des états d'âme ! Il n'était pas un peu tard pour avoir des réserves et des préjugés ? Serenity avait déjà mit le chaos à ce niveau rien qu'en se discréditant toute seule. Alors sa marque, si elle ne se sentait pas à l'aise à cette idée, c'était un peu une curiosité parmi toutes les autres pour la Willow.

    Serenity ;
    «
    Hey ! Pas si vite ! »
    elle se pressa et se posta à nouveau devant lui et lui confisqua ses cisailles une nouvelle fois « J'ai réussi à obtenir à ce que monsieur ne fume plus – au moins en ma présence – par ce moyen et comme je suis maline, je recommence. Pas de cisailles tant que nos estomacs seront vides. »

Elle éleva les sourcils en balançant maladroitement les cisailles dans sa main droite. Fatalement, elle avait reposé ses yeux sur cette marque qui lui donnait des frissons mais ces histoires n'étaient-elles pas finies maintenant ? A stigmatiser toujours les gens, on en reviendrait toujours au point de départ. Puis mince, il y avait plus important en jeu : son estomac, nom d'un hippogriffe ! Puis elle avait cette soudaine impression qu'elle ne devait pas lâcher le morceau à son sujet.

    Serenity ;
    «
    Je meurs vraiment de faim. Le bruit de tout à l'heure n'était pas celui d'un dragon caché dans le bois mais bien mon ventre. Interdiction de se moquer. Alors Monsieur Chevalier ne me fera pas patienter et oubliera ses états d'âme. Pourquoi ? Car c'est mal de faire attendre une dame. Notre directrice le disait tout le temps... »
    elle sourit un peu avant de reprendre un peu de sérieux. « Puis, je n'ai pas vu ce que vous êtes, mais ce que vous étiez. Même si je ne comprends pas tout ce que fait la directrice de cette école, je ne pense pas qu'elle prendrait le risque de faire entrer quelqu'un de totalement dangereux à Poudlard. Enfin... Hm. Ce serait l'occasion de toute façon de me prouver le contraire, non ? Ou satisfaire ma curiosité ? »

Elle éleva encore les sourcils, se déplaça ensuite, les cisailles toujours en main. Elle les lança vulgairement dans un coin avec un « voilà » de satisfaction. Bon, elle n'était pas sûre quant au fait qu'il était dangereux... Mais il faisait preuve de sang-froid, ce qui était presque impressionnant – oui Serenity avait vraiment l'habitude de réactions soient très positives ou sinon elle risquait littéralement sa vie... Vous savez la fille qui doit faire diversion n'importe comment pendant que ses amies... Hm... Peu importe. Donc une fois les cisailles balancées sans délicatesse, elle repassa ensuite d'un pas décidé devant l'homme sans le regarder, prenant la direction d'un lieu où son ventre pourrait enfin se remplir. Après quelques enjambées, elle s'arrêta et se retourna vers lui.

    Serenity ;
    «
    Vous venez ? Je vous préviens, je déteste manger seule et le professeur Flitwick m'a laissé tomber. Donc de gré ou de force, il va falloir me supporter, sinon je suis encore plus insupportable. Promit, je ne planterai pas ma fourchette ailleurs que dans mon assiette ! Je ne vous fais quand même pas peur ? »

Elle lui fit un sourire malicieux, plein d'audace l'air de lui demander s'il se défilait. Elle haussa les épaules et reprit la marche l'air de s'en ficher. Ce qui était ridicule puisqu'elle était celle qui insistait... Mais sincèrement, elle ne savait pas à quoi s'attendre. Sa méfiance naturelle résonnait au fond de sa tête un « mais qu'est-ce qu'il est ce type ? ».
Cette fois, le professeur d'Etudes des Moldus étudierait bien un sorcier juste par ... envie d'étudier un sorcier étrange.

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MessageSujet: Re: Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity]   Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity] Icon_minitimeJeu 20 Oct - 19:25



« J'aime ce qu'ils renferment »


Orion n’était pas homme à se poser trop de question, il était juste pour lui évidant qu’il avait raison et ne pouvait croire a aucun moment qu’il était dans le faux. Alors il continua de couper sa plante dans l’espoir d’être tranquille pour le reste de cette foutu journée. Seulement c’était sans compter la persévérance de la prof des études des moldus.

    Serenity - «Hey ! Pas si vite ! »

Orion nu pas vraiment le temps de réagir. La jeune femme était devant lui et lui avait déjà volé ces cisailles, cela devenait une très mauvaise habitude qu’elle devrait perdre si il devait garder son travail. Il aurait bien protesté mais il ne put faire grand-chose face à elle.

    Serenity - « J'ai réussi à obtenir à ce que monsieur ne fume plus – au moins en ma présence – par ce moyen et comme je suis maline, je recommence. Pas de cisailles tant que nos estomacs seront vides. »

Le grand brun ce redressa soudain en levant les sourcils si haut qu’ils auraient bien pu ce décoller de son front. Avait-elle dit « nos estomacs » ? C’était tout à fait surprenant et il ne savait pas quoi dire car il ne comprenait pas la situation, bien sûr il comprenait ce que cela voulait dire, mais le faite qu’il soit un « ex-mangemort » e la déranger pas au point d’accepter un repas avec lui ? Il eut alors peur qu’elle face cela par pitié pourtant elle avait l’aire si déterminer, elle le défier presque de son regard plein de malice et de sa petite taille. Un petit bout de femme quelque peu impressionnant.

    Serenity - « Je meurs vraiment de faim. Le bruit de tout à l'heure n'était pas celui d'un dragon caché dans le bois mais bien mon ventre. Interdiction de se moquer. Alors Monsieur Chevalier ne me fera pas patienter et oubliera ses états d'âme. Pourquoi ? Car c'est mal de faire attendre une dame. Notre directrice le disait tout le temps... » Il eut un petit ricanement.
    Orion - « C’est vrais, en effet»
    Serenity - « Puis, je n'ai pas vu ce que vous êtes, mais ce que vous étiez. Même si je ne comprends pas tout ce que fait la directrice de cette école, je ne pense pas qu'elle prendrait le risque de faire entrer quelqu'un de totalement dangereux à Poudlard. Enfin... Hm. Ce serait l'occasion de toute façon de me prouver le contraire, non ? Ou satisfaire ma curiosité ? »

Elle n’avait l’air de n’avoir aucune rancune contre lui, ce qui était plutôt une bonne chose, mais il ne comprenait pas pourquoi elle était si gentille. Elle savait ce qu’il « avait » était et donc elle devait bien imaginer ce qu’il avait pu faire, en tant que prof très étroitement lié au monde qu’il était sensée haire, elle était étrangement compréhensive. Cela cacher peut être quelque chose, Orion ne pouvait pas s’empêcher d’y penser et puis ses dernier mots avait de quoi le laisser perplexe. Il haussa alors les épaules.

    Orion - « Je suppose. »

Elle se mit alors en marche en jetant négligemment ses cisailles qui en réalité n’étaient pas les siennes, mais cela c’était autre chose. Il prit quand même le temps de jeter un sort pour regrouper ses outils histoire qu’aucun gamins ne vienne ce blesser avec et qu’on ne lui jette la faute. Il vérifia bien d’avoir tout, une dernière fois étant un minimum consciencieux dans son travail.

    Serenity - « Vous venez ? Je vous préviens, je déteste manger seule et le professeur Flitwick m'a laissé tomber. Donc de gré ou de force, il va falloir me supporter, sinon je suis encore plus insupportable. Promit, je ne planterai pas ma fourchette ailleurs que dans mon assiette ! Je ne vous fais quand même pas peur ? »

Orion eu un petit sourire et rangea sa baguette pour la rattraper en quelque pas, à peine. Flitwick… il se souvenait avoir vue ce nom dans ses dossiers, mais il en se souvenait pas très bien de quel matière il était l’enseignant, mais par contre il se souvenait que c’était un petit homme a moitié gobelin, en réalité il en avait entendu parler à cause de la bataille qu’il y avait eu lieux ici. Son père c’était battue contre lui et a ce qu’il avait entendu dire son père c’était fait battre et avait fui comme le lâche qu’il était, rien que pour le plaisir de rencontré l’homme qui avait mis son père dans la pire des hontes il avait hâte de le rencontré. Il avait encore le temps pour cela. Les mains dans les poches l’aurore suivait la jeune femme tout sourire et il se pencha un peu sur elle pour lui parler sournoisement.

    Orion - « Moi avoir peur d’une femme? Enfin… d’une gamine ? Jamais, chérie, jamais… »

Il rit en la doublant trouvant ça plutôt amusant vue le comportement bien plus puéril que le sien qu’elle possédait. C’était étrange, il aurait crue qu’une femme comme elle était plus mature, mais elle avait vraiment un comportement de petite fille et c’était trop bon de s’amuser avec ça, il avait l’impression d’être en position de force. Pour finir cette journée aller peut être être amusante au final puise qu’il avait de quoi taquiner la jolie petite brune. En chemin il réalisa une chose, il n’avait pas vraiment le droit de manger dans la grande salle, du moins on lui avait dit qu’il devait manger avec Rusard avant les élèves le soir pour surveiller le château pendant ce temps, seulement à midi il ne savait pas du tout comment cela devait se passer.

    Orion - « Hum… enfaite c’est pas plus mal que je mange avec toi, tu vas m’apprendre comment ça marche ici. »

C’était le bon côté de la chose que pouvait voir Orion. C’était vrais qu’il était un peu perdu pour certaine choses ici mais il n’y pensait jamais à l’avance, cela venait au fur et à mesure, rien n’était calculer avec lui, c’était toute l’histoire de sa vie alors sa compagnie était une aubaine pour l’aidé à comprendre ce château bien diffèrent de celui qu’il avait connue plus jeune. Posant son regard sur sa collègue il lui fit un sourire charmeur pour la taquiner encore un peu, pour le plaisir.

    Orion - « En plus ça me fait une mignonne petite guide. D’ailleurs ne voudrait-elle pas me donner son nom la jolie dame ? »

Après tout elle connaissait le sien, mais lui n’avait aucune idée du sien, enfin il en avait une petite idée a cause de ses dossiers, mais il y en avait vraiment trop pour qu’il s’en souvienne en un soir et puis il ne c’était pas particulièrement intéresser à la prof d’étude des moldu. C’était une façon ou d’une autre de lui donner la chance de se présenter dans les règles de l’art et de partir d’un bon pied.

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MessageSujet: Re: Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity]   Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity] Icon_minitimeVen 21 Oct - 20:42



Je jure solennellement que mes intentions sont...


Si on lui avait dit quand elle était venu remettre de l'ordre qu'elle finirait par insister à ce que cet homme là vienne manger avec elle, en passant par le fait qu'il était le fameux « elle-ne-sait-plus-quoi Chevalier », soit Serenity ne l'aurait jamais cru, soit elle serait éventuellement restée à sa place ou avec le professeur Flitwick – non, elle n'aurait pas pu en fait – ou encore, elle aurait tout bonnement retourné sa baguette contre elle-même ! Et son héritage à l'homme de sa vie, que dis-je, le petit bonhomme de sa vie. Elle ne savait plus trop si c'était sa soudaine et nouvelles bonne humeur qui la poussait à être si joueuse d'un coup ou si c'était dans le but d'en savoir toujours plus sur cet étrange personnage.
Serenity ignorait sciemment ce qu'impliquait ce tatouage, elle avait eu suffisamment de préjugés comme ça à son égard. Elle le répétait souvent à son fils, cette guerre, il fallait s'en souvenir, en parler, s'entraider après mais ne pas la faire revivre sans cesse. Un soir, le père de la sorcière avait fait pleurer le petit Dylan en évoquant le fait qu'en était méchant à ce sujet avec quelqu'un, on pourrait faire naître un second Voldemort. Pendant deux semaines, le petit garçon avait été gentil avec tous les voisins et leur avait donné tout ce qui lui tombait sous la main – si bien que sa mère fut bien obligée d'aller récupérer certaines choses chez eux – même au vieux voisin aigri au bout de la rue. Toujours aussi peu aimable d'ailleurs avec Serenity mais adorable avec le petit garçon. Bref, l'idée était de laisser le passé où il était pour ne pas le revivre. Le ressortir que pour en guérir ou en rire. Puis encore une fois, le présent l'intéressait plus avec son ventre vide.

Les pas décidés, elle était satisfaite de la tournure des choses. C'est qu'elle avait l'impression de mener le jeux du coup. Rien ne viendrait fissurer ce sourire content de soi qu'elle avait du mal à cacher en s'avançant vers le château. Elle sentit à peine l'ombre de l'homme se baisser sur elle sauf quand il finit par parler.
« Moi avoir peur d’une femme? Enfin… d’une gamine ? Jamais, chérie, jamais… » Elle ralentit un peu sa marche et son sourire perdit un peu de sa splendeur alors qu'il la doublait. La sorcière le toisa furieusement du regard la bouche entre-ouverte. C'est qu'il se moquait et riait ouvertement en plus. Elle grimaça et roula des yeux en le suivant avec nettement moins d'entrain et le menton un tantinet plus haut. Toc quand elle était attaquée dans son orgueil, ce depuis ses quatre ans – hum, les réunions de familles sont riches en dossiers. En tout cas, il ferait bien de s'en méfier de la « gamine » car si elle avait dit qu'elle ne planterait pas sa fourchette ailleurs que dans son plat, elle n'avait rien stipulé quant à son couteau. Et même une cuillère saurait devenir une arme dangereuse, foi de Willow ! Puis il était agaçant avec ses surnoms, il avait réellement besoin d'en donner ? Évidemment, elle savait qu'il ne connaissait pas son nom mais tout de même... « Hum… en fait c’est pas plus mal que je mange avec toi, tu vas m’apprendre comment ça marche ici. »
Son sourire revint avec une note sarcastique et ravi. Ha, et maintenant, il avait besoin de la gamine, hum ? Bon, petit garçon, tu sais qui est ton maître maintenant pensa-t-elle, le coin de ses lèvres déjà bien trop haut. Elle éleva les sourcils en voyant son sourire. Non, non, non et non. Ce n'était pas la peine de lui faire son numéro, elle ne tairait pas les mots tous prêts dans sa bouche. C'était trop satisfaisant, elle tenait son petit moment, sa petite revanche, il n'allait pas la lui ôter en faisant le bellâtre. « En plus ça me fait une mignonne petite guide. D’ailleurs ne voudrait-elle pas me donner son nom la jolie dame ? » Et bien si, il lui volait son moment de haute satisfaction. Pendant un petit moment, elle le regarda sévèrement – du moins, elle essayait de s'en convaincre, c'était assez quand on y regardait bien mou – il ne fallait pas qu'il gagne. Elle inspira et abandonna ce comportement. Elle le sentait, cet homme allait la tourner en bourrique. Mais hors de question de le laisser voir ou même de se laisser avoir par de gentilles paroles, même si ses joues trahissaient, son expression sauvait les meubles.

    Serenity ;
    «
    On est en position difficile, Chevalier ? Vous n'avez quand même pas besoin d'une gamine, non ? »
    elle luttait contre son sourire et se faisait plaisir un peu. « Je savourais, excusez-moi. A tord de me remplir la panse, il fallait bien que je trouve une autre faim à calmer. Pas la peine sinon de me faire ce numéro, la flatterie ne m'atteint pas. Enfin, oui, avec tout ça, j'ai oublié de me présenter, Serenity Willow. »

Elle tendit poliment sa main droite vers lui pour qu'il la serre comme il convient d'être fait à l'ordinaire.
Maintenant, le jeune professeur qu'elle était se trouvait bien embarrassé après ça. Si elle faisait la maline quant au fait qu'il avait besoin d'elle, elle n'avait pas d'idée précise sur comment ils allaient faire pour manger tous deux. Si elle mangeait à la table des professeurs ou dans son bureau après avoir piqué plein de choses dans les cuisines du château, elle ignorait si le reste du personnel pouvait s'y inviter. Quand elle y réfléchissait, jamais n'avait-elle vu le « vagabond aux cheveux longs et sales » appelé aussi Argus Rusard, à cette table. Mais bon, cet homme ne vivait pas selon elle, donc il pouvait aussi bien ne pas manger à son image...

Elle eut un instant de réflexion avant de hausser les épaules et céder à son idée.

    Serenity ;
    «
    Pour tout dire, ça ne fait pas longtemps que je suis ici moi-même. Et le vagab- Mr Rusard est un vrai mystère quant aux choses humaines telles que le besoin de se nourrir. Donc la guide n'est pas très utile pour le coup, mais ! J'ai un plan de rechange. De toute façon, je n'ai pas envie de croiser le regard assassin du professeur McGonagall donc... »

Serenity pensait tout haut, elle en oubliait presque qu'elle avait une compagnie et un interlocuteur à la base mais elle hocha finalement la tête après une petite minute à contempler le vide en fronçant un peu les sourcils.

    Serenity ;
    «
    Par contre, faudra éviter de se faire prendre, la dernière fois je... Peu importe. On va aller directement se servir aux cuisines. Les elfes sont très charmants, surtout la petite Winky – bien qu'un peu curieuse et amoureuse de sa bierraubeurre. Bref, ils ont l'habitude de me voir, je suis sûre qu'ils nous trouveront de quoi manger sans soucis. Il faudra juste se mettre en bout de table car ils doivent déjà commencer à préparer le repas des élèves. Donc si l'idée convient aux exigences de monsieur... Moi, j'y vais, j'en peux vraiment plus. »

Elle grimaça, haussa deux fois les sourcils et entra dans le château rapidement avant de se retourner sur lui se rappelant qu'elle n'avait pas totalement fini de mettre d'autres choses au clair pour sauver son amour-propre. Pourtant ses futures phrases sonnaient déjà plutôt comme des plaintes.

    Serenity ;
    «
    Au fait, je ne suis pas petite. Ensuite, vous aimez vraiment les surnoms, n'est-ce pas ? Car maintenant que vous avez mon nom... Pour finir, pas un mot sur le fait que j'aille me nourrir en cuisines, ça fait des histoires... surtout avant les heures... Ce serait un bon début de garder de petit détail pour vous pour me prouver que vous êtes quelqu'un de bien... »

Elle marmonna le dernier morceau de phrase.

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MessageSujet: Re: Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity]   Poison my sight while you kiss me goodnight. [pv: Serenity] Icon_minitimeSam 22 Oct - 9:48



« Et ce qu'ils nous caches »


C’était comme avoir 12 ans et prendre plaisir à taquiner sa petite sœur, c’était à peu près le même genre de torture et il savait s’avance qu’il avait tapé dans le mile avec la jeune femme. Il se sentait jubiler car c’était terriblement plaisant de jouer ainsi sur les point sensibles des gens alors que lui ce ficher pas mal qu’on se moque de lui, enfin, il n’aimait pas qu’on parle de sa vie noire et douloureuse qu’il tenter vainement d‘oublier dans de petit moment comme cela, mais il savait pertinemment qu’elle lui reviendrait en pleine figure plus violente que jamais. Regardant droit et fière il voyait son regard bouillir et il eut un grand sourire vainqueur, quoi qu’elle dise cela ne serait que du bonheur à entendre, comme la douce mélodie du triomphe. Il l’observa le sourire en coin attendant de voir ses réactions, le sourire en coin bien contant de lui.

    Serenity - « On est en position difficile, Chevalier ? Vous n'avez quand même pas besoin d'une gamine, non ? »

Il leva les sourcils un peu déçu de cette réplique qui ne lui fit ni chaud ni froid mais qui quelque par le rendait encore plus vainqueur. Si elle avait eu le besoin de lui dire cela c’était bien pour ce défendre ainsi il avait donc touché une corde sensible et c’était merveilleux à savoir, une sorte de nouveau pouvoir qu’on lui offrait tout frais. Elle n’avait pas idée à quel point elle lui offrait de quoi ce faire plaisir, elle aurait dû apprendre plus jeune que répondre à des attaques c’est donner raison à celui qui les propage.

    Serenity - « Je savourais, excusez-moi. A tord de me remplir la panse, il fallait bien que je trouve une autre faim à calmer. Pas la peine sinon de me faire ce numéro, la flatterie ne m'atteint pas. Enfin, oui, avec tout ça, j'ai oublié de me présenter, Serenity Willow. »

Des flatteries ? Elle se moquer de lui ou elle était sérieuse à ce sujet ? Elle avait plutôt l’air et il se dit qu’elle n’avait pas du entendre beaucoup de compliments dans sa vie, il trouva cela bien triste bien que lui n’en avait pas ressues souvent il savait faire la différence entre flatterie et sincérité, elle n’était pas dans cette optique. Il laissa courir, ce n’était de toute façon pas cela qui aller le stopper, au contraire si elle en manquer il était prêt à lui en donner plus, c’était la moindre des choses.
Elle lui tendit la main en énoncent enfin son nom et il la prit délicatement dans une légère pression, ravis d’avoir enfin le nom de la demoiselle. Willow, il n’avait donc pas tout à fait eu tort un peu avant, mais son prénom lui avait était resté totalement inconnue.

    Orion - « Orion, Orion Chevalier. Ravie Mademoiselle. »

Il lui fit un petit sourire pensant, a juste titre, qu’il était de mise de faire cela en bonne éduforme. Bien sûr il n’avait pu s’empêcher d’en rajouter mais que pouvait-il y faire ? C’était plus fort que lui et c’était tellement doux que son plaisir en était total. Il lâcha gentiment sa main et observa qu’elle avait perdu son air sur d’elle. Etait-ce lui qui faisait cette effet ou la situation plus qu’étrange qui ce dérouler à présent. Il ne pouvait le dire et d’ailleurs n’en fit rien, se contentant de replonger sa main dans sa poche pour la regarder ce perdre dans ses idées. Il ne sut trop sur quoi elle c’était plonger mais cela avait l’air d’être très sérieux. Il ne put que la regardé et l’observer. Elle faisait une jolie moue et il aurait était bien tenter de lui dire mais il retint sa franchise et le garda pour lui, ne voulant pas que tout cela finisse mal. C’était bien vrais qu’elle était mignonne, pourtant elle n’était pas marier, il l’avait vue sur le dossier et se souvenait de ce détaille tout à fait inutile, ni fiancer d’après ses mains nue de toute trace de ce genre de bagues. Avait-elle rater le prince charmant ? Ou bien avait-elle décidé de finir vieille fille ? Elle était tout à fait étrange, une énigme au comportement enfantin tout en ayant ce léger caractère aigris. Il finit sa contemplation quand elle bougea un peu donnant l’air de sortir de ses pensées ce qui rester un tantinet faux car elle y était toujours, en quelque sortes.

    Serenity - « Pour tout dire, ça ne fait pas longtemps que je suis ici moi-même. Et le vagab- Mr Rusard est un vrai mystère quant aux choses humaines telles que le besoin de se nourrir. Donc la guide n'est pas très utile pour le coup, mais ! J'ai un plan de rechange. De toute façon, je n'ai pas envie de croiser le regard assassin du professeur McGonagall donc... »

Orion était comme à ce jour joyeux qu’on appeler noël. En réalité il n’avait jamais eu de noël et ne savait pas vraiment ce que c’était, mais on raconter que els enfant étaient très exister face aux cadeaux qu’on leur offrait et c’était exactement ce même ordre d’idées. Serenity l’amuser bien plus qu’il n’aurait pu le croire au premier abord, elle avait un humour naturelle qui lui plaisait beaucoup et il ne put s’empêcher de ricaner silencieusement a ses remarques qui quelque part était sanglante à propos de ce pauvre concierge et de la directrice. Il était aussi plaisant de voir qu’elle n’était pas très amie avec McGonagall, c’était un bon point pour lui, mais il se douter qu’une vieille femme de son âge ne devait pas accordé beaucoup d’importance a une femme de l’âge de Serenity, l’expérience était une chose importante et l’âge en donner d’autant plus. De plus, il ne savait trop si la directrice était au courant de sa condition, mais elle devait se douter que si le ministère faisait pression pour qu’un « ex-mangemort » ai un travail à Poudlard ce n’était pas pour rien. Bien sûr on pouvait tout à fait ce dire que Orion était du genre à se moquer de tout le monde, pourtant il avait beaucoup de rester pour les gens comme le professeur McGonagall, il partait du principe qu’elle avait connue deux hommes pour les quel il avait beaucoup de respect et reconnaissait la sagesse qu’elle avait, bien qu’il ne pouvait nier que son caractère était un peu rigide.

Orion soupira et ce remit à fixer la belle face a lui et eu un petit sourire non cacher cette fois, elle était repartit dans ses songes et c’était tout au bonheur du jeune homme qui en profiter. Quoi ? N’avait-il pas le droit d’observer une femme quand elle était ainsi présenter face à lui, et plutôt jolie qui plus est ? Même si il n’en avait pas eu le droit, l’auror l’aurait fait alors cela ne changer rien et ça l’aider à l’apprécier un peu plus, que du bonus en somme pour leurs relations futur, en tout cas si elle arriver a le supporté plus de quelques minutes encore, mais elle n’avait pas l’air contre l’idée alors autant profiter de ce moment pour anticiper.

    Serenity - « Par contre, faudra éviter de se faire prendre, la dernière fois je... Peu importe. On va aller directement se servir aux cuisines. Les elfes sont très charmants, surtout la petite Winky – bien qu'un peu curieuse et amoureuse de sa bierraubeurre. Bref, ils ont l'habitude de me voir, je suis sûre qu'ils nous trouveront de quoi manger sans soucis. Il faudra juste se mettre en bout de table car ils doivent déjà commencer à préparer le repas des élèves. Donc si l'idée convient aux exigences de monsieur... Moi, j'y vais, j'en peux vraiment plus. »

En réalité il ne c’était pas vraiment rendu compte qu’elle c’était mise à parler au début, plonger dans son propre monde à la détailler. Le résultat étant qu’il aller finir par connaitre les traits de son visage par cœur mais qu’il ne savait pas du tout ça qui devait lui convenir… Elle passa à coter de lui sans plus rien ajouter, même pas un petit indice pour l’aidée et il se retourna pour la regardé partir un peu perdu en lui-même. Qu’est ce qui lui avait pris de la contempler ainsi, enfin ?! Il n’avait rien eu d’autre à faire, bien sûr, mais à ce point ça en était déstabilisant. Il soupira un grand coup et se mit à la rattraper en grandes enjamber, si bien qu’il ne lui fallut pas longtemps pour venir a sa auteur quand brusquement et sans prévenir elle ce stoppa en se retournant sur lui. Cela alla si vite qu’il faillit lui rentré dedans, mais heureusement il avait d’assez bon réflexe et fini juste par s’arrêter au bon moment ou cela aurait était la collision.

    Serenity - « Au fait, je ne suis pas petite. Ensuite, vous aimez vraiment les surnoms, n'est-ce pas ? Car maintenant que vous avez mon nom... Pour finir, pas un mot sur le fait que j'aille me nourrir en cuisines, ça fait des histoires... surtout avant les heures... Ce serait un bon début de garder de petit détail pour vous pour me prouver que vous êtes quelqu'un de bien... »

Tout ça pour ça ? Il avait failli lui rentré dedans par ce qu’elle était vexer qu’il se moque de sa taille et qu’il lui donne des surnoms ? Par ce qu’elle voulait s’assuré qu’il ne dirait pas qu’elle manger en cuisine, ce qu’il n’avait pas du tout comprit avant ? Cette femme était vraiment étonnante et complètement … perturbé et perturbante, en tout cas il l’était à ce moment-là à cause de cette étrange chose qu’il avait faite. Il aurait dû ce reprendre, même cacher son malaise, ou plutôt son moment de vulnérabilité outrageusement offerte à la jeune femme, mais il ne put le faire. Elle était si près qu’il devait baisser un peu plus la tête pour la regardé en face, si près à cause de cette « non-collision » qu’il aurait voulu avoir au final, car au moins le genre d’idiotie qu’il devait garder pour lui ne serait pas sorti.

    Orion - « Tu es belle quand tu fais ça, tu sais. »

Le pauvre ne se rendait même pas compte de ce qu’il disait, il le penser et cela sortait comme ça, sans filtre ni filet. Chasser le naturelle et il revient au galop, voilà qui aurait dû lui apprendre de puis le temps, mais il ne pouvait rien faire contre et à ce moment il était si honnête qu’il c’était perdu lui-même dans ses pensée. Jamais elle n’aurait dû lui laisser le temps de la regardé ainsi, jamais elle n’aurait dû. Il avait besoin de chaleur humaine, il en avait besoin comme temps de gens mais peut être plus car on l’en avait privé trop souvent, hors ce besoin ce faisait bien trop ressentir à ce moment et il se sentait faible, trop faible face à elle. Ce sentant trop près il ce recula d’un pas, pour au moins mettre de l’espace entre eux et grogna en s’arrachant les cheveux d’une main, ce sentant comme un pauvre adolescent honteux, qui ne sais comment canaliser ses penser et envie.

    Orion - « Désoler… Je suis trop franc, je ne voulais pas dire ça… enfin si ce n’est pas ça le problème... C’est déplacer, excuse-moi. »

Il ne se souvenait pas s’être sentit aussi petit, du moins cela faisait longtemps, mais il fallait être honnête qu’avant de venir ici il était resté enfermer dans son appartement de Londres et n’en sortait que pour tuer, boire, ou faire ce genre de chose qui le descendait toujours plus bas. Être ici le ramenait a la civilisation et il ne savait plus très bien comment si prendre, ça et sa franchise plus son besoin de chaleur, c’était un cocktail qu’il ne pouvait contrôler.

    Orion - « Bon allons manger! »

Il se remit droit et lui fit un petit sourire étrange car il aurait voulu qu’il soit assuré mais en réalité il n’était là que pour oublier. Il se mit en marche, mais ne savait pas où il aller et ce n’était pas du tout le bon chemin…

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