« Just a drink ♣ Just a Whisky » « C'est pas donné à tout le monde de prendre un verre avec la Faucheuse »

Quatre heure du mat une sonnerie retentit dans le dortoir des Gryffondor, plus particulièrement du coter des garçons et spécifiquement sur la table de chevet d’un certain rouquin. Samedi matin, l’horloge ce retrouva vite par terre sous plusieurs grognements masculins indigné d’avoir était réveiller de si bon matin en début de weekend. Vous pourriez croire que Ron n’avait pas fait exprès que son horloge avait était déréglé, mais non, le jeune homme les yeux encore fermer repoussa ses couvertures avant de s’assoir sur son lit posant ses grand pies sur le plancher gelé de la salle. Mauvais réveille, bien trop tôt pour le garçon. Il se frotta les yeux pour ouvrir un regard azure remplit d’une bué qui rendait sa vue aussi vague que ses pensé était flou. Mécaniquement il se mit sur ses deux pieds, tanguant un peut-il réussit pourtant à trouver le chemin de la salle de bain tâtonnant et boitant encore légèrement. Il entra dans la douche ne se rendant pas vraiment compte de ses mouvements, tout était fait par habitude. Rasage, séchage, jusqu’au moment où il enfila ses vêtements avant de sortir de la salle de bain et de partir dans essayant tant bien que mal de ne pas faire de bruit pour les autres qui ronflé déjà. Bien que dans son état de demi-réveille cela rester une épreuve, il réussit a fermer la porte sans la faire grincer. Il descendit alors avec autant de mécanisme les escaliers, traversant la salle commune vide a cette heurs si, même Hermione ne se levait pas si tôt. Dans les couloirs gelés du château il ne vit pas un chat, même les tableaux dormaient encore. C’était presque étrange comme sensation, comme un château abandonné, la lumière du jour encore cacher par la nuit froide qui voulait garder jalousement ça place. Ron ne pouvait même pas aller manger un morceau car même la grande salle n’était pas encore ouverte et les elfes de maison n’avaient pas commencé à faire le petit déjeuner. Il se demandait si c’était vraiment humain de faire lever quelqu’un a une heure pareille pour aller travailler. Seulement c’était lui qui l’avait voulu, dans l’espoir peut être cas Noël il est assez d’argent et de courage pour regarder sa meilleurs amie en face. Sortant du château, le vent d’octobre lui glaça le sang et eu au moins la valeur de le sortir un peu de son brouillard pour entrer dans un qui était bien réelle et qui envelopper tout le château.

Remontant le col de sa cape sur son cou il se mit à ce hâté sur le chemin vers Près au lard. Le froid lui glacé les os et il regretté de ne pas avoir pris son écharpe. Fixant le chemin droit devant lui il traversa le parc couvert d’une fine couche de brouillard et foulant l’herbe ou ce formé déjà un peu de rosé. Il longea le lac un petit moment levant les yeux vers la lune qui paresser doucement devenir bleu dans l’eau du lac noir. Cet univers froid et étrange lui fit accélérer le pas. Il avait assez vécu d’horreur pour ne plus être aussi peureux que dans ses jeunes années, mais son instinct le pousser à faire des fouler plus vive et il foula le chemin jusqu’à près au lard avec de grand pas rapides fixant le sol devant lui et le cou tasser dans sa cape.

Bientôt ses pas furent stoppés dans son élan. Il était arrivé devant l’établissement où il était sensé commencer son travaille, le ventre vide et le réveille pas facile. Il resta quelque seconde dans cette rue à fixer l'enseigne qu’il connaissait depuis qu’il avait 13 ans. “Les Trois Balais”. A une époque il avait bien crus que jamais il ne rêverait cet endroit chaleureux où il n’avait passé que de bon moment avec ses amis. Du rire aux larmes de joie, de la colère à l’amusement, c’était un lieu parfait pour lui. Tant de bonheurs partager qu’il avait crue perdre tant de fois qu’il avait du mal à croire qu’il était là, éclairé par les lumières encore présente d’une nuit glaçante d’automne. Que faisait-il encore là ? Toutes ses choses étaient derrière lui, derrière eux et pourtant c’était encore graver en lui comme marquer au fer rouge dans son cœur. Hier encore il c’était battue avec Harry, et Harry ? Que lui arrivait-il, il changer. Bien sur le rouquin savait que ce n’était que des petites choses mais il était distant et lui qui avait déjà un cœur déchiré il ne pouvait même pas compter sur son meilleur ami, son frère. Un sentiment de culpabilité remplit le cœur du garçon. Il avait frappé Harry, hier soir même, sous la colère, sous la pression, sous la douleur, la fatigue, et toutes les raisons du monde. Il n’avait pas contrôlé son poing qui était partit ce lover contre l’œil du brun a lunette qui grâce a Merlin ne les porté pas dans son lit, ou bien Ron lui aurait bien crevé l’œil. Jamais il n’avait frapper son meilleurs ami, il c’était déjà un peu battue mais pas à ce point même au moment où il avait crue qu’il y avait quelque chose entre lui et Hermione l’an passé. Et elle ? Quand elle verrait le bleu sur le visage de leur amis elle lui en voudrait, elle qui était déjà en colère contre lui, il avait beau l’éviter il était Ron Weasley et savait quand elle était en colère contre lui, l’habitude peut être. Devait-il toujours ce justifié ? C’était la première fois qu’il n’arriver pas à contrôler sa colère et il avait honte de lui, honte d’avoir gâché le bal de Hermione, honte d’être un nul et de ne jamais savoir comment réglé les problèmes autrement qu’en attendant que ça se passe.

Une goutte vin ce glisser sur sa joue et le rouquin leva les yeux vers le ciel qui c’était doucement couvert de nuage noire. Une autre goutte vin ce glissé dans ses cheveux plein d’épis et puis une multitude de leur sœur les suivirent. La pluie était douce et Ron resta là sans bouger le visage lever vers le ciel, les yeux fermé. L’eau glisser sur sa peau et il trouva cela agréable, comme si tous ses soucis le quitter, couler avec elles loin de lui et le nettoyais de tous ses tourment qui le hanter depuis quelque temps. Qui pouvait remarquer que Ron Weasley était un garçon blesser et perdu qui chercher juste son chemin ? Si seulement quelqu’un avait pu lui montrer le quel prendre, juste pour le guidé quelque temps avant de lui lâcher la main, mais il était bien trop fier et savait de toute façon que son état moral n’intéresser personne en ces temps de tournoie légendaire. De toute façon qui se soucier du petit Ronnie ? Personne n’avait envie de s’intéresser a lui il le savait bien et lui n’avait pas envie de déranger les autres car au fond de lui il ressentait cette douce solitude qui empoisonner son cœur et a la quel il s’habituer. Sixième fils, ami d’un héros et d’une brillante jeune fille il savait ce qu’il valait et se sentait toujours de trop au près d’eux, comme l’enfant mal-aimé. Oh il savait qu’on l’aimer, il savait que tous ces gens étaient prêts à donner leur vie pour lui, mais il s’en ficher pas mal de ça, rien ne changé a sa vision des choses. Ce sentiment tenace de ne pas être à sa place, nulle part et quoi qu’il arrive. Au centre de ce monde il aurait voulu vivre autre chose, être un autre si loin de ce qu’il était juste pour voir ce que c’était que d’être heureux et vraiment aimer sincèrement. Le garçon baissa la tête sous cette pluie devenu torrent ciel et sous la quel il trembler de froid. Serrant les poings il demandé a Merlin de l’aidée à trouver ce qu’il chercher, trouver ce qui lui manquer alors que maintenant il avait fini de se battre pour un monde meilleurs et juste le sien était devenu plus sombre que jamais avec les années. La porte du pub en face s’ouvrit brusquement laissant sortir une femme aux formes généreuses qui avait toujours fait beaucoup d’effet au garçon, mais ce jour-là son regard fut bien indifférent. Elle crier, mais il n’entendait pas vraiment, s’entend juste qu’elle le tiré vers l’établissement où depuis quelques minutes déjà il était sensée franchir les portes. Une fois entré dans la grande salle chaude et accueillante qu’était cette endroit merveilleux pour tout élève de Poudlard et sorcier de grande Bretagne il fut forcé de s’assoir sur une chaise et de retiré sa cape tremper sous le regard réprobateur de la femme qui était aussi sa patronne.

Rosmerta - « Ron, puis-je savoir ce qui te prend ? Depuis quand tu es sous cette pluie ?» Les mains sur les hanche et tapent du pied, Ron ne réagit pourtant pas le regard vide. Elle soupira alors prenant une autre chaise pour se mettre à coter de lui. « Ecoute trésors, si ça ne vas pas tu peux en parler, je te connais depuis longtemps mon garçon, toi et les autres. Je tes engager alors que d’autre demandé ta place car justement je sais qui tu es et je sais que c’est dur mais il va falloir prendre sur toi aujourd’hui et si ça ne vas pas tu viens me voir, ok ?»

Ron acquiesça sans un mot et ce leva pour la suivre au sous-sol ou tout était stocké, là elle lui donna son règlement qu’elle avait fait spécialement pour les élèves venant nouvellement travailler ici et elle le présenta aux autres employé. Il tenta de retrouver un peu le sourire de ce sécher et suivit le barman qui aller lui expliquer comment tout aller marcher. Le reste de son temps avant l’ouverture Ron le passa en ce plongent dans tout ce qu’il devait apprendre avant que tout ne démarre juste pour oublier son sacré coup de blues. Apprendre où était chaque boisson, quel verres aller avec chacune d’elle, les diffèrent cocktail, les marques demander, les règles de vie à l’intérieur de l’établissement. Le rouquin retrouva un peu le moral, ceux qui travailler avec lui était sympa et ils avaient bien vue que cela n’aller pas fort et pour certain il les connaissait un peu pour avoir quand même passé plusieurs années à venir ici avec ses amis. Quand a sept heures le pub ouvrit il n’y eu personne ce qui n’était pas si étonnant, avec une pluie pareille et si tôt, ce n’était pas bien étonnant. Vers a peu près neuf heures la porte s’ouvrit pourtant. Ron était seul au bar, les autres étaient en bas et préparé les stocks des boissons que prenait les élèves de Poudlard car le samedi était l’une de leur plus grosse journée grâce aux sorties de Poudlard, alors imaginant que Ron ne serait pas débordé ils l’avaient laissé seul. Nettoyant le bois du comptoir où il avait laissé couler un peu de jus de citrouille fraichement pressé il leva les yeux vers son premier client qui vint directement s’installer au bar face à lui et il eut l’étrange impression de l’avoir déjà vue…

« I Just Need A Alcohol »

Allonger sur son lit en boxer, la couverture repousser a ses pieds et coucher en étoile, la fumer tourner autour de son visage et il la fixer disparaitre doucement dans l’air environnant. Samedi matin, huit heure, pour son premier weekend il était libre et ne savait pas quoi faire. Jusque-là il c’était occuper l’esprit avec son travaille et aujourd’hui il n’avait rien à faire et ne se sentait pas en grande forme. Sa nuit n’avait pas était l’une de ses meilleurs un peu agiter pourtant cela faisait longtemps qu’il ne faisait pas de cauchemars, il en avait peut-être trop faite et son inconscient c’était lasser de toute ces horreur si bien que cela ne lui faisait plus rien et pourtant il était toujours incapable de dormir sans être ivre, incapable de trouver le sommeil. En réalité il était incapable de vivre sans alcool, il était souvent sous l’emprise de celui si, c’était bien la seul chose qui l’aidée à ne pas devenir fou. Etait-il alcoolique ? Non, le besoin qu’il avait en ce plongent dans l’alcool n’avait rien d’un plaisir ou d’un manque, il en avait besoin pour ressentir cette brulure, pour oublier juste pour quelque seconde la douleur. Qui pouvait imaginer tout ce dont il était l’esclave. Il négliger son corps et ne chercher pas à s’en sortir pensant juste qu’il mériter tout cela alors qu’il aurait pu si souvent tourner le dos à son sombre destin, et aujourd’hui il n’avait plus aucunes options. Il était un pion, un simple pion dans une guerre qui ne finissait pas. Les gens ne sen rendaient pas compte pensant tous que tout était fini et qu’ils vivraient heureux sans plus jamais connaitre les horreurs passer et pourtant lui savait bien que ce n’était qu’une illusion. Il resta un long moment à fumer sur son lit dans cette position avant de se levait, de prendre une douche rapide et de s’habiller. Il se ralluma une cigarette en sortant de sa petite chambre laissant son petit chat sortir sachant qu’il retrouverait son chemin jusqu’ici et qu’il ne partait pas longtemps. Il devait juste aller acheter un peu de whisky, il avait déjà bue tout ce qu’il avait amené, bien qu’il n’en soit pas amener beaucoup. A cette heure-là le château ce réveiller doucement, le soleil en faisait autant dehors donnant de magnifiques couleurs oranger. Ces belles couleurs étaient terriblement assombrit par la couverture de nuages grisâtre qui faisait pleuré les anges. L’auror vit passer un éclair pas loin et quelque seconde plus tard le tonnerre retenti puissant et vif dans cette immense plaine.

Mettant la capuche de sa cape il s’engouffra alors sous la pluie pour gagner Près au Lard. Ses pas foulèrent la boue du chemin menant au village. Le seul village connu pour n’abriter que des sorciers. C’était tout à fait impressionnant, aucun moldu ne connaissait cette partit du monde qui engober Poudlard et Près au Lard, il ne voulait même pas imaginer les sorts d’une puissance extraordinaire qui englober cette partit du monde. C’était à la fois impressionnant et terrifiant de savoir que des sorciers on était capable de faire cela et que les sorts en question marche toujours des siècles après leurs mise en place. Orion arriva enfin au village et entra dans le premier pub qu’il rencontra en chemin. Il ce nommé « Les trois balais » ce qui était un nom tout à fait intéressant. Une fois entré il retira sa capuche trempé et laissa son regard parcourir la pièce. C’était n lieux très chaleureux, remplit de meuble de bois et avec une ambiance familial qui le fit sourire. A cette heure matinal il n’y avait encore personne, bien sûr, aucun client mais il y avait un jeune homme au barre alors Orion si approcha. Il prit place sur un des tabourets face au rouquin qui nettoyer le bois du bar.

Orion - « Salut, fait moi un double whisky pur feu tu veux mon gars?»

Il lui fit un clin d’œil accompagné d’un sourire en coin et retira sa cape trempé pour la mettre sur le tabouret à coter de lui. Son regard se déplaça un peu plus sur le pub, il le trouver vraiment sympa et s’imaginer déjà ses weekends à boire ici assit au bar, que de bonnes journées en perspectives. Il se reconcentra ensuite sur le grand roux qui était en train de lui préparer son verre. Il était sur de l’avoir déjà vu quelque part. Il était plutôt costaux, et vraiment grand c’était certain, bien plus que lui et il avait un visage qui lui était familier… Quand il lui donna son verre avec des glaçons il réalisa où il l’avait déjà vue, il était dans certain des dossiers des auror et plus encore il l’avait vu dans le journal et avait entendu parler de lui chez les mangemort. C’était Weasley, le gars qui accompagner par tout Potter, bien sûr. Qu’est-ce qu’il ficher là au juste ? Faisait-il partit de ces gamins qui travailler a près au lard ? Surement sinon il n’avait aucune autre raison d’être derrière le comptoir. Prenant son verre Orion en but une longue gorger qui eut pour but de le réchauffer et ce qui lui fit le plus grand bien.

Orion - «Sale temps, hein gamin? Dit moi c’est quoi cette tronche que tu tires? Tu as eu des problèmes avec ta petite amie ?»

En effet, le pauvre garçon avait une sale tête qui ne passer pas inaperçu, il avait des cernes énormes sous les yeux ce qui donner l’impression qu’il n’avait pas dormit depuis longtemps, de plus il avait l’aire perturbé par quelque chose plus encore que par la fatiguer et Orion n’avait rien à faire, alors il pouvait bien écouter un pauvre garçon ce lamenter sur sa vie, de plus c’était l’ami de Potter et donc cela pourrait tout a fait l’aidée pour la suite des événement, bien qu’il ne savait pas du tout pourquoi il était là à la solde des mangemort cela ne pouvait qu’être utile et intéressant.