HOP! SUR LE TABOURET...

Ivanov Pacha Endrei

Featuring * Kit Harington *

••• Huuum... Je vois... •••

Nom(s) : Ivanov.
Prénom(s) : Pacha Endrei.
Age/Date de naissance : Quatorze avril 1979, à St-Pétersbourg en Russie. J'ai 18 ans, bien que j'aurais dû mourir à la place de mon frère il y a maintenant douze ans. Essayez, vous, de vivre avec une culpabilité qui vous ronge à tous les jours. C'est ça le quotidien de Pacha, c'est-à-dire moi.
Sang : Né-moldu.
Richesse : Modeste.

Année d'étude : Septième année. Moi-même je me demande ce que je fais encore là, mais bon. Encore un an pour réfléchir à mon putain d'avenir, en plus que je vais à l'étranger. Je me fiche pas mal de l'Angleterre.
Maison souhaitée : /
Ecole de magie : Durmstrang.

••• Huuum... Intéressant •••

• Taille : Un mètre soixante quinze.
• Poids : Autour de 70 kg.
• Style vestimentaire : Je porte généralement toujours les mêmes vêtements. J'ai environ cinq chemises différentes et trois jeans. Je n'ai pas de style en particulier, la mode, ce n'est pas mon truc. Sinon, le traditionnel manteau de fourrure des sorciers du Nord.
• Signe(s) distinctif(s) : J'ai une jambe boiteuse. Alors je ne pourrai jamais jouer au Quidditch de me vie.
• Ta baguette : Bois de frêne, mesurant 32,5 cm et contenant un ventricule de cœur de dragon. Un suédois à museau court, si ma mémoire est bonne. Cet objet, par contre, je n'y touche que lorsque c'est nécessaire, même si aujourd'hui je m'en sers plus qu'avant. On dirait que je guéris lentement, mais que j'ai toujours aussi peur. Elle est soit-disant efficace pour les sortilèges.
• Animal de compagnie : Un hibou des marais nommé Arès. Le seul vraiment que je n'essaie pas de surprotéger de moi-même.

« Ce que tu me dis... »

• Jour, Crépuscule, Aube ou Nuit ? Nuit.
• Votre animal préféré ? Les oiseaux de proie, comme les aigles ou les hiboux.
• Sucré ou Salé ? Salé.
• Marche, Vol ou Transports ? Vol, ce serait plus facile que de marcher dans mon cas.
• Votre couleur préférée ? Sable et brun chocolat.
• Oui ou Non ? Peut-être.
• Serdaigle ou Serpentard ? Serdaigle
• Gryffondor ou Poufsouffle ? Gryffondor
• Poufsouffle ou Serpentard ? Poufsouffle
• Votre matière favorite ? Ce qui ne requiert généralement aucune baguette magique, même si j'ai un parti pris pour les potions. J'adore aussi métamorphose, mais discrètement.
• Le Héros de votre enfance ? Robin des Bois.
• Vos ambitions ? Comme tout jeune moldu qui se respectait, mon ambition était de combattre les méchants. Aujourd'hui, j'essaie de me trouver dans le vaste monde.
• Une chanson ? Je me fiche éperdument de la musique.
• Calme, énervement ou folie ? Énervement.
• Harry ou Voldemort ou la falaise x) ? La falaise.
• Hermione ou Pansy ? Bon. Hermione, elle au moins sait se rendre utile et se servir de sa tête.
• Les règlements sont faits pour quoi ? Pour être respectés, mais transgressés avec modération. Dans mon cas, je préfère ne pas faire une autre bêtise, alors je les respecte.

« Déjà des notes, et oui... »

• Sur 10, combien es-tu sûr(e) de toi ? 4/10
• Appliqué(e) en classe ? 6/10
• Embêtant(e) ? 5/10
• Chanceux/se ? 1/10
• Courageux/se ? 9/10
• Loyal(e) ? 8/10
• Franc/Franche ? 7/10
• Respectueux/se ? 7/10

••• Très bien... •••

Cinq petites lignes sur mon caractère :

Si rien de particulier ne s'était produit dans ma vie, si je n'avais pas fait de bêtise, si... Dans ma vie, il y en a bien, des si. Tout ce que je peux affirmer avec certitude c'est que d'avoir causé la mort de quelqu'un est resté à jamais gravé dans ma mémoire et a complètement changé ma vision de moi-même et du monde. J'aimerais rassurer plusieurs, je ne suis point devenu un monstre sanguinaire. Et puis bon, passons. Vous voulez connaître Ivanov, vous allez le connaître.

Avant, j'étais un petit gamin qui ne se souciait de presque rien, casse-cou à souhait et voulant défier l'autorité parentale bien que, malgré cela, mes parents m'adoraient et me grondaient à peine. J'ai eu des parents très tolérants. Aujourd'hui, j'ai changé de camp. Je suis un jeune homme peu sociable et je me soucie presque à chaque seconde des actes que je fais. Certains me trouveront paranoïaque, d'autres se diront que je suis simplement maladroit, ce qui n'est pas faux, mais je l'ai toujours été. Maladroit dans ce que je dis, maladroit dans tous mes faits et gestes. Si avant je voulais défier l'autorité, maintenant je m'en tiens aux règlements et ne proteste presque pas sur ce qu'un adulte m'ordonne de faire. Bon, je ne me mettrais pas à danser sur la table pour amuser le monde, tout le monde a ses limites. Puis, je n'ai plus le temps de jouer aux casses-cous avec ma jambe boiteuse.

D'un autre côté, je n'ai jamais aimé qu'on mette le nez dans mes affaires, qu'on cherche à savoir ce qui se passe dans ma vie privé. J'ai mes petits secrets comme tout le monde, mais aujourd'hui s'en est presque maladif. Je ne veux pas qu'on joue les curieux avec moi, ou du moins qu'on me pose des questions trop personnelles. J'ai tendance à me fâcher, à devenir colérique. Je m'énerve très facilement, sans être susceptible. Je crois jamais aux petits mensonges qu'on raconte, aux rumeurs qui circulent. Je préfère me fier à mon bon jugement et savoir de quoi je parle. De même que je ne supporte pas qu'on veuille m'aider. Je suis un infirme, je le concède, mais ne venez pas me demander si vous pouvez porter mes livres. Je suis dans cet état par ma propre faute et j'ai appris à vivre avec depuis ces dernières années. Je dois m'occuper de moi-même et être autonome, je l'ai toujours été alors...

Même si j'ai bien des défauts, il m'arrive d'avoir du bon sens. Bien que je ne sois pas le plus bavard, il est plutôt facile de me parler de tout et de rien. Je ne suis pas un homme très difficile, sauf si recherche à ce que je le sois. Je suis un être compréhensif. Avec mon bagage, je ne pense pas être en mesure de juger qui que ce soit, mais je peux me montrer jaloux. Très jaloux. Je me demande comment les autres font pour être aussi heureux alors que moi je n'y arrive même pas.

Si j'ai dit plutôt que je suis maladroit, je le suis aussi en amour et en amitié. Je n'ai jamais pris le temps de connaître véritablement mon orientation sexuelle si quelqu'un aux alentours se le demande. Mais bon, je ne voulais pas parler de cela. J'ai beaucoup de mal à m'attacher sérieusement à une personne quelconque. Oui j'ai des amis, des connaissances, mais très peu à qui je fais vraiment confiance. Puis, bon, c'est plus les autres qui devraient se poser des questions sur moi. En amour, je ne sais pas... Ai-je déjà eu une seule relation sérieuse ? Une si je me souviens bien, ou dans mon avis à moi, mais sinon c'était beaucoup plus des flirts qu'autre chose. Encore là, je ne m'attache pas réellement, puis j'ai du mal à redonner même si je reçois. Je ne suis pas infidèle, au contraire, mais je suis ainsi, que voulez-vous. Peut-être qu'un à l'étranger me fera réfléchir sur ce point ?




Once Upon a Time... my Story :

Je ne vais pas vous dire «Je suis né telle date, j'ai eu une enfance heureuse» et toutes sortes de balivernes de la sorte. Certains ont eu une jeunesse parfaitement normale d'un bout à l'autre, et d'autres ont eu un événement qui a basculé toute leur vie. C'est mon cas à moi.

Je suis né dans la grande ville de St-Pétersbourg, un jour pluvieux de printemps. Logiquement, je ne suis pas censé me souvenir d'avoir vu de la pluie tomber du ciel par la fenêtre lorsque je suis sorti du ventre de ma mère, mais bon, il existe certaines personnes qui peuvent nous rappeler des fragments de notre mémoire que, même si on cherche désespérément à retrouver, on ne peut y arriver.

Mes parents étaient des gens normaux, des moldus comme je dois les nommer aujourd'hui. Une famille modeste. Mon père était un homme qui n'arrivait pas à rester dans un même emploi plus que quelques mois. Parfois il démissionnait, parfois il se faisait renvoyer. Il n'était point un père sévère, au contraire, il était même trop tolérant. Je crois que, en complément de ne pas pouvoir gâter ses enfants avec des objets quelconques, il préférait nous donner une certaine liberté pour compenser. Je ne puis dire si c'était une erreur. Je crois que personne ne peut juger les actions des autres, sauf si elles sont irréfléchies. Ma mère restait toujours à la maison et ne travaillait pas.

Une petite famille bien tranquille, sans excès, en somme. Bien normale malgré son instabilité. Dès mon plus jeune âge, je fus attiré par tout ce qui était susceptible de me casser un membre ; grimper aux clôtures, courir partout comme un fou. D'habitude, je l'affirme, c'est lorsque nos géniteurs nous empêchent de faire quelque chose qu'on prend la peine d'enfreindre le règlement. Moi, c'était tout le contraire. Je profitais pleinement du fait qu'ils ne se résoudraient pas à me gronder.

L'arrivé de mon petit frère Filip ne fit pas non plus évoluer leur manière de voir les choses. Il était de trois ans mon cadet. Parfois, certaines fratries ne parviennent à s'entendre. Ce fut l'inverse avec mon frangin. Dès que ma mère le vit, elle me dit ; «Pacha, tu promets d'aimer ton petit frère quoi qu'il arrive ? » À voir le merveilleux sourire de ma mère et le petit coeur qu'elle tenait dans ses bras, je ne pouvais lui dire non. Je lui promis de l'aimer, mais ce sentiment était déjà présent à l'intérieur de mon être. Je pris soin de lui, comme convenu, mais je permis quand même de le malmener quelquefois.

Je jouais mon rôle de mentor comme je le devais. Je servais de modèle à Filip, mais il ne devint jamais aussi aventureux que moi. Lorsque j'essayais de le convaincre d'expérimenter mes folies, je sentais toujours en lui de la réticence. Souvent, je n'avais pas besoin d'insister bien longtemps pour qu'il me suive. J'avais du plaisir avec moi, mais c'est à se demander si lui était heureux de s'embarquer là-dedans. Au moins, je ne mettais pas le feu à des cabanes comme des adolescents en manque de sensations fortes. Il ne m'avait jamais mentionné ce qu'il ressentait face au contexte. Il n'y avait là rien d'étonnant pour moi. Filip se trouvait être un enfant extrêmement... je ne sais comment dire. Il ne montrait aucune émotion particulière, mais la timidité l'envahissait. On pouvait le voir dans son regard. Il était curieux, avide de découvrir le monde, mais il était craintif.

Mes parents n'arrivaient pas à excuser une seule chose ; qu'on touche à certains objets transmis dans la famille. Malgré leur peu de richesse, quelques de leurs antiquités valaient une somme généreuse. La restriction venait en particulier d'une boîte verdâtre. Ma mère était formelle, jamais il ne fallait y toucher. Bien sûr, je savais ce qu'elle contenait, mais je ne comprenais pas du tout comment ma mère pouvait avoir peur d'un morceau de bois, ressemblant à une branche, finement taillé et aussi brillant qu'il avait l'air vernis. Dans ce temps-là, j'avais sept ans. Je ne sais pas si dans ma tête je ne prenais pas ma mère au sérieux, sachant qu'elle nous laissait toutes les libertés, mais je ne l'ai pas écouté.

Mon frère, malgré sa nature calme, aimait me prendre en surprise. Ce jour-là, il m'attaqua avec son épée en plastique. Je me souvins que je lui dis, pour l'impressionner probablement : «Les épées, c'est ringard. Ce sont les baguettes magiques qui permettent de combattre mieux les méchants.» Je pris alors un bâton qui je ne sais à quoi servait, puis je commençai à réciter des formules plus abracadabrantes les unes que les autres. Mon cadet bouda, voulant lui aussi exercer ses talents de magicien. Ne voulant pas me séparer de ma nouvelle arme, j'eus l'idée de prendre l'objet interdit. Après tout, ce n'était qu'un bout de bois, puis je convaincu celui-ci que sa baguette était plus crédible que la mienne. Il me suivit dans le petit bois derrière afin d'enclencher l'ultime combat qui déterminerait le magicien le plus puissant de l'empire.

Alors que ce fut au tour de mon frère de jeter son sort, il leva sa baguette et une chose étrange se produisit. C'est à cet instant que je commençai à comprendre que ce bout de bois avait quelque chose d'anormal. Une sorte d'étincelle jaillit à son manche et Filip la regarda d'un air d'incompréhension. Je m'approcha tranquillement et tenta de la prendre, l'air air ébahi. Il ne voulut pas me la donner. «Tu rêves ! La mienne possède de vraies pouvoirs. Je vais gagner ce combat.» J'essayai encore d'en prendre possession. «Arrêtes ! Donne-la moi !» Bien que je savais que ce truc pouvait être dangereux, j'étais tellement emballé que je voulais seulement le manipuler rien qu'un instant. Alors qu'on se chamaillait, je finis par l'avoir, mais mon frère insistait. Je l'avais dans ma main gauche en même temps que je tentais de repousser Filip. Le pire arriva. Je ne me souviens pas exactement de ce que j'ai vu, mais une sorte d'éclair apparût et frappa Filip de plein fouet.

Je me réveilla quelque temps plus tard dans le bois. Lorsque j'ouvris les yeux, cet objet de malheur fût la première chose qui surgit dans mon champ de vision. Je me releva tant bien que mal, mais je remarqua vite que ma jambe droite ne fonctionnait plus comme avant. Je boitais. Je ne fis pas tout de suite le lien, car j'étais trop préoccupé à contempler l'horreur qui se trouvait devant moi. Mon frère dormait sur le sol. Sur le coup, c'est ce que je crus, mais en m'approchant de lui et en criant son nom un million de fois sans aucune réaction de sa part, je finis par me faire une raison. Mon petit frère était mort, à cause de moi.

Nos parents nous retrouvèrent quelques minutes plus tard, en m'entendant crier. Ma mère se précipita vers Filip, pleura, tenta tant bien que mal de trouver un minimum de vie en lui. Mon père me secoua par les épaules en me demandant ce qui s'était passé, mais je ne dis rien. Mes souvenirs semblaient flous dans mon esprit et je ne parvins pas à ouvrir la bouche pour émettre un son. Ils appelèrent la police et me ramenèrent à la maison.

Cette histoire se finit en que de poisson. Ils eurent beau m'interroger, les autorités ne retirèrent rien de leur entretien avec moi. Après avoir examiné le corps de mon frère, ils ne comprenaient toujours pas ce qui était arrivé. Il avait une brûlure sur la poitrine, ce qui avait fait cesser son cœur de battre. La police n'a pas non plus retrouver l'objet de notre dispute. En fait, je ne m'y avais presque pas intéressé et je souhaitais qu'ils ne tombent pas dessus. Même ma mère n'avait rien remarqué.

Au bout d'un an, ils en conclurent que nous avions été attaqués et que je n'avais aucun souvenir dû à un traumatisme. Ils ne parvinrent pas à expliquer comment je devins infirme, mais c'était un détail peu important pour eux. Mes parents mirent du temps à me regarder normalement après cet événement, pensant que je cachais réellement quelque chose. Mais ce n'était pas la peine, je ne parlerais pas.

****

Deux ans plus tard, un jour d'automne, j'étais seul avec ma mère à la maison. Elle fit un ménage dans le grenier où Filip et moi n'avions pas le droit de fouiller. De ma chambre, j'entendis des pas furieux dans l'escalier. Ma mère, quelques secondes plus tard, cogna férocement à ma porte. Je lui ouvris, ne saisissant pas pourquoi elle me regardait de la sorte. «Tu croyais que je n'allais pas le découvrir ? Où est ma boîte verte ? » Je ne lui répondis pas. Elle insistait, pourtant. Fallait-il que je lui dises ? Elle continuait, mais la rage montait en moi. Je ne voulais pas le dire. Alors qu'elle poursuivait son discours, la vitre de ma chambre éclata. Ma mère lâcha un cri de stupéfaction. Elle ne cessait de me demander ce qui s'était produit, mais encore une fois j'étais trop en rogne pour lui répondre.

****

Je ne sais dire l'impact que cette situation a eu sur ma mère. Pendant quelques jours, elle s'est montrée distante envers moi. C'est compréhensible. Comment réagiriez-vous si votre enfant ferait éclater une vitre sans même lui toucher ? Moi-même je commençais à avoir peur de mes capacités. Cependant, elle finit par redevenir la femme qui était ma mère. Elle ne me posa même pas de questions. Elle préférait peut-être oublier ce qu'elle avait vu.

Un jour d'été, enfin, si on pouvait appeler cela un été étant donné le climat de la Russie, l'année de mes onze ans, nous eûmes une étrange visite à la maison. Dans ce temps-là, mes parents se conduisaient bizarrement. La nervosité envahissait l'atmosphère lorsque nous étions dans la même pièce. Je les entendais chuchoter, me regarder d'un air incompréhensif. Ce que je détestais le plus, c'était de ne pas savoir ce qu'ils disaient, voir ce qu'ils pensaient de moi. Étais-je un monstre à leurs yeux ? Si non, en tout cas, je l'étais à mes yeux.

Ce jour-là, j'entendis une voix d'homme dire à mon père qu'il voulait s'entretenir avec moi, mais qu'il préférait qu'ils ne restent pas. Alistair vint me chercher. [color=cyan]«Je me demande vraiment ce qu'il lui veut.», dit-il comme pour réfléchir à voix haute. J'avais des questionnements semblables à mon père. En arrivant en bas de l'escalier grinçant, je vis mon père fusiller l'homme du regard avant de partir avec ma mère.. Bien qu'il se comportait comme un père normal avec moi depuis que j'avais fait éclater la vitre, il n'aimait pas qu'on s'en prenne à ses enfants. Enfin, au seul fils qui lui restait. L'homme d'environ une quarantaine d'année avait les cheveux presque gris et coupés de manière inégale. Son visage était sévère, ce qui contrastait étrangement avec son sourire jovial. Il me regarda et me sourit alors que moi je restais là, l'air neutre. «Pacha, je suis le Professeur Hendel Karpovitch. J'enseigne à l'école Durmstrang. J'ai aussi travaillé pour le Ministère de la Magie...» Au mot magie, il sentit que je devenais nerveux. Il s'assit donc à côté de moi, mais je me releva tout de suite. Hendel continuait de sourire alors que je m'efforçais de comprendre ce qu'un fou comme lui faisait ici. «Je suis sûr que tu me prends pour un fou. Je ne le suis pas. Le pourquoi je suis ici, c'est que tu fais partie de mon monde, c'est-à-dire que tu es un sorcier. C'est ce qui explique pourquoi tu as fait éclaté la vitre de ta chambre, un an plus tôt...»

Puis il entreprit de me raconter tout. J'étais en fait un né-moldu, comme ils les appellent. J'étais un sorcier malgré que mes parents ne possédaient aucuns pouvoirs magiques. Cependant, M. Karpovitch n'était pas au courant de comment survenu la mort de Filip, mais il pouvait quand même me confirmer que mon frère avait les mêmes dons que moi. Il me dit que Durmstrang n'acceptait pas les enfants comme moi, mais qu'il ferait tout pour me faire tout de même entrer dans l'école. Hendel ne supportait pas la discrimination. Il avait donc choisi cinq étudiants sang-de-bourbe qui deviendraient élèves à l'école malgré l'interdiction.

Alistair et Philippa furent surpris en apprenant la nouvelle, mais ne firent pas de liens avec la mort de mon frère. Ma mère ne semblait pas savoir que, dans sa famille, il y avait déjà eu des sorciers. C'est ce que le Professeur Karpovitch m'expliqua. Le gêne sorcier était dominant, mais il avait fini par se perdre avec le temps, faisant en sorte qu'il n'y ait que des moldus dans la lignée maternelle avant qu'il ne refasse surface chez Filip et moi. Ma mère comprit enfin pourquoi la vitre s'était cassée d'elle-même. Ils eurent du mal à le croire, mais acceptèrent que j'y entre même si c'était dangereux.

****

L'entrée ne se fut pas sans problème. mais personne ne découvrit mon imposture. En même temps, je découvris ma véritable nature. Lorsque j'achetai ma baguette, je ne fus que surpris. J'avais compris que c'était exactement cela qui avait tué Filip, mais le doute planait encore en moi. Comment cela avait-il pu se produire alors que mes pouvoirs n'étaient même pas encore développés ? Je ne saurais dire la réponse même aujourd'hui. J'eus l'idée de le demander à un professeur, mais ne je voulais pas attirer l'attention.

Mon entrée à Durmstrang ne m'aida guère. J'avais peur de toucher à une baguette, sachant que l'une d'entre elles avait enlevé la vie à l'un de mes proches. Il était nécessaire que j'y touche pour les besoins de mes cours mais, en dehors, je n'en faisais l'utilisation que rarement. Surtout que l'institut enseignait la magie noire, c'était encore plus intolérable pour moi. La magie m'effrayait encore plus.

Cependant, ce ne sont point tous les aspects de la magie qui me repoussaient. J'étais au contraire très intéressé par le Quidditch, un sport sorcier principalement pratiqué en Europe mais ayant fait des amateurs partout dans le monde. Malheureusement, je ne pouvais le pratiquer puisque j'avais un handicap à la jambe. Je me permettais pourtant d'y jouer un peu en dehors de l'équipe, seulement pour savourer le seul petit bonheur qu'il y avait dans ma vie.

****

Les années ont passées et ma vie est plus monotone que jamais. Ne faisant presque confiance à personne, je me laisse hanté par le souvenir d'un jeune frère disparu trop rapidement. Je ère, laissé dans une culpabilité qui me ronge à chaque seconde de ma vie. Bien que j'aie fini par accepter un tant soit peu mes pouvoirs, j'ai peur. La peur et la culpabilité ne font jamais bon ménage.



Exemple RP :

Spoiler:

••• On y est presque... •••

Pseudo ; =P Age ; 16 ans. Où avez-vous connu le forum ? Par moi-même, hé hé XD Les admins ne sont pas parfaits : Nah. Coca ou Ice-Tea ? Team Oasis ♥ (C'est une marque de jus québécoise...) Credits de vos icons : Fanpop , Tumblr , http://visionsbeyond.livejournal.com/102400.html. Un dernier mot ? Jon Snow ♥

Ne lisez pas ma fiche èé Elle n'est pas complète XD J'ai encore beaucoup, beaucoup (...) de modifications à faire.

Re-bienvenue alors ;p
Bonne chance pour la continuation de ta fiche, hâte de lire tout ça

PS : J'adore tes gifs !

• Merci les filles
  
  Léa : Comment ça un cornichon ? J'ai l'air d'un légume vert moi ? èé

Léa : XDDD Bon. Tant que n'utilises pas ce terme-là tout le temps... x)


Hye Jin : Merci ^^ Et puis quoi, JON Je ne suis pas lui malheureusement. xD

Je suis contente que mon personnage te plaise :)

Bienvenue, Welcome *chante le moulin rouge* *w*
Hum... hum... pardon /zbaf

• Merci à vous
  
  Puis le troisième icon est à la bonne place XD J'ai seulement décidé d'en mettre deux dans l'en-tête de ma fiche. Si ce n'est pas adéquat je changerai. Puis, j'ai vraiment besoin de faire un autre exemple rp même si vous connaissez mon niveau ?
  
  Je vais le faire si c'est nécessaire, c'est juste à titre informatif XD

Tu na cas en copier coller un de tes rp, ce serra bon ;D et c'est plus simple xD *partisan de la faciliter, associer au club des flemmards anonymes*

Seamus parlait de ton icon tout en bas XD Mais c'est bon, j'ai arrangé le code qui allait de travers ^^ Be careful

• Ok XD Merci Hermione, j'aurais pas su comment arranger les codes
  
  Pour ce qui est de ma fiche, je la continue au cours des prochains jours. Je n'ai pas eu le temps à cause des cours

Pas de soucis ! Tu as prévenu donc c'est noté =)

150 ans, 10 chèvres, 3 singes, 1 dauphin et 1 tour du monde plus tard : Bienvenue !
Good luck pour ta fiche - désolé, je ne saurais le dire en russe/moldave/suédois/whatever you are x)

• Merci Ji Hyuk 8D
  
  Juste pour préciser, je suis russe XD

Citation :

Juste pour préciser, je suis russe XD

Okay XD Je prends note...